XX : heureuses retrouvailles

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J'arrive à Paris. Je courus dans la ville. Je me rend maintenant compte que je ne sais même pas où elle a accouchée. Je décide d'appeler Carla.

- allo Carla ?
- allo Timothée ? Tu veux quoi ?
- je veux savoir où Nina à accoucher.
- à la maternité Notre-Dame de bon secours, pourquoi ?
- pour rien, merci.

Je raccrocha et lança le GPS. J'arriva devant un bâtiment très... original.

NDA : oui, la maternité ressemble à ça, miskine 😔

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NDA : oui, la maternité ressemble à ça, miskine 😔

J'entra en vitesse dedans.

- bonjour, je viens voir Nina Dobrev s'il vous plaît. Pouvez-vous me dire la chambre ?
- bien sur. C'est la chambre... 224.
- merci.

Je courus vers l'ascenseur. Je monta 4 étages. La porte s'ouvrît. Des centaines de couloirs étaient là. Je courus vers un médecin.

- savez-vous où se trouve la chambre 224 ?
- oui. Vous allez tout droit, puis vous tournez à droite. C'est la chambre tout au bout.
- merci.

Je suivis sa direction. J'arrive enfin à la chambre. Devant la porte de celle ci, mon cœur accéléra. Je vais la revoir après 9 mois. Avec mon propre fils. Je toqua à la porte. Celle ci s'ouvrît sur une femme âgée de la cinquantaine. Son visage se décomposa.

- bonjour madame, je viens voir Nina.
- qui êtes-vous ?
- je suis le père de Noah, le chéri de Nina.
- sérieusement ? C'est vous qui avez abandonné ma fille ?
- oui, c'est moi. J'en suis navré, je regrette.
- bon, je vous laisse passer. Ne faites pas n'importe quoi.
- qui est ce maman ? Fit la voix de Nina.

Sa maman se décala et quand elle me vit, une expression de colère fit place sur son visage.

- Timothée...
- Nina je suis désolé, sincèrement, je regrette. Je n'aurais jamais dus faire ça. Tu es là plus belle femme au monde et je donnerais ma vie pour toi. Pardonne moi je t'en supplie.

J'étais à genoux devant son lit, les larmes aux yeux.

- moi aussi je suis désolé. J'aurais dus rester en contact avec toi même après notre dispute. Oui je te pardonne. Et toi ? Tu me pardonnes ?
- oui, je te pardonnes.

Il se précipita vers moi et m'embrassa langoureusement. Ma mère, gênée, fit signe au reste des personnes présentes de quitter la chambre pour nous laisser tout les trois.

- je t'aime Nina.
- je t'aime Timmy.

A l'entente du prénom, il sourit, heureux que je le rappelle ainsi. Il regarda le bébé toujours dans mes bras.

- tu veux le porter ? Dis calmement et en souriant.
- oui. Dit il en souriant lui aussi.

Je pris le bébé et lui donna.

- alors tu vois, tu pose bien sa tête dans ton coude pour ne pas le blesser, et voilà.

Le voir porter mon bébé et le sien me fit pleurer de joie. Ils étaient beau. Le père portant son enfant. Soudain, Noah se mit a pleurer. Timothée, affolé, se tourna vers moi.

- je fais quoi je fais quoi ???
- ne t'inquiètes pas, donne le moi, il a faim.

Il me donna le bébé. J'allais sortir mon sein pour qu'il allaite mais je regarda Timothée.

- retournes tout s'il te plaît.
- Roooh ça va, je t'ai bien vu nue !

Je leva les yeux au ciel. Je déboutonna ma robe de chambre blanche à poids bleu et sortis mon sein sous l'œil interrogatif de Timothée.

- ne me dis pas que tu n'as jamais su comment les mères allaitent leurs bébés ?
- si si, bien sûr !

Je ris. Noah s'endormît en même temps qu'il se nourrissait.

- Nina ?
- hm ?
- je voulais savoir si tu acceptais de venir emménager avec moi à New York, avec Noah.
- c'est gentil mais tu es sur d'avoir de la place pour un bébé ?
- oh que oui, crois moi, j'ai sans doute un des appartements les plus grands de New York.
- ce serait adorable et incroyable mais... je pense que ma famille me manquerait.
- ce n'était qu'une idée après si tu ne veux pas t'éloigner de ta famille je comprendrais, je ne t'oblige en rien.
- non non, je suis d'accord mais... bon au pire ont s'en fiche, mes parents ont pourra les voir plus tard. Et puis c'est vrai que c'est mieux comme ça ont pourra réellement créer notre propre famille. Si tu savais comme j'ai hâte !

Il posa son front sur le miens avant de regarder notre enfant dormir.

- il est magnifique.
- il te ressemble beaucoup, dis je en souriant.
- non il te ressemble.
- non il te...
- c'est le fruit de notre union donc évidemment qu'il nous ressemble à tout les deux !
- je suis heureuse d'avoir créer ma famille avec toi Timmy.
- moi aussi ma femme, dit il en souriant.

Je rougis quand il m'appela « ma femme ».

You and MeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant