Chapitre 12

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NORY

On arrive dans un salon et on voit une table remplie de nourriture.

Méduse : vous devez avoir faim. Je vous en prie servez-vous, je vais vous préparez un vrai repas.

Percy : tu crois que c'est sans danger ? Demande-t-il à Grover.

Grover : écoute je vais pas te mentir, là je suis tellement affamé que je suis prêt à tentez le coup.

Percy se retourne pour regarder Annabeth et moi.

Percy : merci d'être venue.

Annabeth : je te signal que je risque plus gros que toi là.

Percy : pourquoi ?

On entend des bruits de talons alors on se cache encore les yeux.

Méduse : tu as peur que j'ai de la rancune envers toi parce que tu es la fille d'Athéna ? Ne t'en fais pas. Après tous nous ne sommes pas nos parents. Nous avons peut-être plus de points communs que tu ne le crois. Je vous en prie, asseyez-vous.

On se regarde tous les quatre avant d'aller nous installez sauf Annabeth.

Percy : si vous n'êtes pas un monstre, vous êtes quoi alors ?

Méduse : une survivante.

Percy : vous devez être un peu plus que ça. Il y a une furie morte de trouille devant chez vous.

Méduse : c'est parce qu'elle sait ce que je pense d'elle. J'ai horreur des brutes. Quand l'une d'elle ose s'aventurer chez moi, elles finissent pas rester bien plus longtemps que prévu. Le cadeau que les dieux m'ont donné, est invincible contre les brutes.

Annabeth : ce n'est pas un cadeau que ma mère vous a donné, c'est une malédiction.

Méduse : tu restes loyale à ta mère ?

Annabeth : oui.

Méduse : tu l'as soutiens quoi qu'il arrive ?

Annabeth : coûte que coûte.

Méduse : tu l'aimes ?

Annabeth : oui évidement.

Méduse : moi aussi, je l'aimais. De tous mon cœur. Vous savez comment je me suis retrouvé dans cet état ?

Grover : moi oui.

Méduse : vraiment ?

Grover : je crois.

Moi : tous le monde sait comment vous vous êtes retrouver dans cet état.

Méduse : la déesse Athéna comptait plus que tous au monde pour moi. Je le vénérais, je la prierais tous les jours, je lui faisais des offrandes. Je n'ai jamais eu de réponses. Je n'ai jamais reçu de signe de reconnaissance de sa part. Je n'étais pas seulement comme toi, ma chérie, j'étais toi. J'aurais pu continuer à la vénérée ainsi toute ma vie...malgré son silence. Mais un beau jour, un autre dieu, est venu briser ce silence. Ton père. Dit-elle à Percy. Le dieu de la mer, à dit qu'il m'aimait. J'avais l'impression qu'il me regardait comme personne ne m'avait regardé avant. Mais Athéna à décrété que mon comportement lui avait fait honte et que je méritais une punition. Pas lui...moi. Elle a décrété que chaque personne qui poserait ces yeux sur moi, n'aurait pu l'occasion dans témoigner.

Annabeth : ça s'est pas passé comme ça. Ma mère est toujours juste. Toujours.

Méduse : c'est ce que les dieux veulent vous faire croire, qu'ils sont infaillibles. Mais ils sont comme toute les autres brutes. Ils nous rendent responsables de leur propre manquement.

Annabeth : je vous dis que ça s'est pas passé comme ça. Et vous vous dites n'importe quoi.

Méduse : ça sent le brûler. Tu viens me donner un coup de main en cuisine ? Demande-t-elle à Percy. Le déjeuner doit être prêt.

Percy nous regardent et j'hoche négativement la tête pour lui dire de ne pas y aller, mais il ne m'écoute pas et il se lève pour rejoindre Méduse.

Annabeth : Grover ?

Grover arrête de manger pour regarder Annabeth.

Annabeth : prépare-toi à courir.

Ma meilleure amie me regarde et je la regarde moi aussi.

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