Chapitre 21

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NORY

Comme on est rechercher par la police, on ne peut plus prendre les transports qui nécessite un billet, alors on a décider de marcher.

Percy : à mon avis. Cette quête va être plus difficile que ce qu'on imaginait. Je me disais un truc. J'ai pas volé la foudre originelle. Et vous non plus vous l'avez pas volé. On est à peu près sûr que c'est Hadès, mais il l'aurait pas dérober lui-même. Donc finalement, on sait pas vraiment qui a volé cette éclaire, ni pourquoi, et jusqu'à qu'elle point c'est grave.

Avec Grover et Annabeth on se regarde, et Percy nous regarde un part un.

Percy : et bien sur c'est moi qui m'en aperçois en dernier.

Grover hoche positivement la tête.

Annabeth et moi : oui. Dit-on en même temps.

Percy : bon...d'accord, disons qu'au début, j'avais pas vraiment la tête à ça, mais depuis le fleuve...je vois plus les choses de la même manière. Celui qui m'as sauvé, et qui a aussi sauvé Nory. C'est mon père. Je crois que j'aurais jamais imaginer, qu'il ferait ça un jour pour moi. Maintenant, je me rends compte que c'est sérieux.

Grover : voiture.

On tourne tous la tête et effectivement on entend le bruit d'un moteur.

Moi : c'est pas une voiture, c'est une moto. On la laisse passer, venez.

Je tire ma meilleure amie avec moi, et on part se cacher derrière, quelque chose en bêton.

Percy : vous savez ce que je crois, on a pas juste un objet à retrouver. Il faut aussi qu'on se transforme en détective.

Moi : oui.

Percy : c'est moi ou tu me fais la tête ? Je croyais que tu le ferais plus ?

Moi : je te fais pas la tête.

Percy : je t'assure que si. C'est parce que t'as appris qu'on est reliées ensemble, depuis tous ce temps ?

Moi : non.

Percy : oh, j'ai compris. Tu sais on va pas en faire toute une histoire. Tu as le droit de me prendre dans tes bras. Maintenant qu'on est amis.

Moi : j'y crois pas.

Percy : et entre amis on se prend dans les bras. Enfin, c'est ce que je pense.

Moi : la ferme.

Annabeth : l'un de nous va mourir.

Percy : quoi ?

Moi : je te demande pardon ?

Annabeth : quand on était au parc avec Grover, j'ai vu les trois divinités du destin. Et j'ai vu Atropos qui coupait le fils.

Percy : et c'est mauvais signe ça...

Grover : elles tissent les lignes du destin, de tous les vivants. Quand elles coupent un fils...

Annabeth : ça veut dire que l'un de nous va mourir. Dit-elle en coupant Grover.

Percy : mais on va tous mourir, un jour ou l'autre.

Annabeth : bientôt. On nous prévient. C'est un présage.

Percy : d'accord, la je crois qu'il faut qu'on parle de cette histoire destin. Trois vieilles avec une pelote de laine ne savent pas ce qui va se passer. C'est ce que je choisie qui décide ce qui va se passer. Et je suis libre de choisir ce que...je veux.

On entend la moto s'arrêter suivie d'une voix masculine.

? : besoin d'aide ?

On se regarde tous les quatre avant de relever la tête pour regarder cette personne.

Grover : je vous demande pardon ?

? : vous avez besoin d'aide ou c'est pas la peine ?

Grover : non. Non c'est pas la peine, on a pas besoin d'aide. Mais merci de nous poser la question. En revoir.

Puis on se rassoit sauf qu'on entend encore cet homme.

? : ça n'a pas l'air d'aller.

Annabeth relève sa tête pour dire.

Annabeth : on attend rien de vous.

? : tu en ai sur ? Parce que j'ai l'impression que vous êtes un peu à la bourre.

On se regarde tous les quatre avant de se lever, pour regarder cet homme.

? : c'est seulement dans quelques jours pour le solstice d'été. Et bien qu'une bonne guerre, ne me déplairait pas je l'avoue, en tant que ton cousin, je crois qu'il faudrait que je vous aide.

Percy : cousin ?

Annabeth et moi : Arès.

Arès : la fille d'Athéna. Et la fille d'Aphrodite et Héphaïstos.

Annabeth : pourquoi vous nous aiderez ? Comment vous êtes au courant de ce qu'on est en train de faire ?

Arès : parce que je fais exactement la même chose que vous. Zeus à envoyer tous ses enfants à la recherche de la foudre originelle. Bon les gamins, moi j'ai faim. Il y a un restau pas mal, pas très loin. Si vous avez besoin de mon aide, vous m'y retrouverez là-bas. Mais trainez pas. J'ai pas l'éternité.

Il remet ces lunettes de soleil avant de s'en aller.

Percy : c'est mon cousin ? C'est quoi, cette famille de dingue ?

Moi : venez.

On se remet à marcher tous les quatre pour rejoindre Arès dans le restaurant qu'il nous a parler.

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