Chapitre 17

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NORY

On est de retour dans la wagon des petits déjeuner, toujours avec la police et avec la fameuse témoin.

Percy : donc si j'ai bien compris on attend en ce tournant les pouces, en attendant de savoir à quel genre de monstre, on à faire ?

Annabeth regarde le policer avant de dire.

Annabeth : je crois pas que ce gars soit un monstre.

Grover le regarde aussi avant de dire.

Grover : c'est dure à dire.

Percy : d'accord, mais si c'est pas un monstre, à quoi ça rime cette histoire ? Pourquoi quelqu'un mettrait notre cabine en pagaille ?

Grover : peut-être qu'il chercher quelque chose ? Quelque chose de précieux.

Moi : on a rien de précieux sur nous.

Annabeth : ceux qui pensent que Percy à voler la foudre originelle n'est pas de cet avis.

Percy : c'est vrai.

Grover : je vois pas comment ils pourraient chercher quelque chose qu'on à pas.

Moi : en tous cas pas question qu'on passe la journée au poste de police de Saint Louis. Il faut qu'on trouve un moyen de s'enfuir et tout de suite.

Quelqu'un me touche l'épaule et je lève la tête pour voir la femme qui est la fameuse témoin.

? : est-ce que je peux m'assoir ?

Je ne dis rien et elle pose son sac avant de s'approcher de nous.

? : mes pauvres petits chéris.

Elle pousse légèrement Annabeth avant de s'asseoir avec elle et Grover.

? : vos parents vous on laissez ici tous seuls ? Tu te rends compte, ma belle ? Dit-elle en s'adressant à son sac. Tous le monde sait que ça fait peur de se retrouver tous seuls. Ne vous en faites pas. Je suis maman. Dit-elle en nous prêtent attention à nouveau. Je sais à quel point ça doit faire peur.

Elle se tourne vers le policer qui nous surveille et elle lui dit.

? : excusez-moi, pouvez-vous nous laissez un peu d'espace, une minute ? Je crois...je crois que votre présence les angoisses.

Il s'en va et elle nous regarde tous les quatre.

? : je vous rassure tous de suite, je sais que ce n'est pas vous qui avez mis votre cabine en pagaille. Je voulais seulement me retrouver en tête à tête avec vous.

Annabeth et moi on se regarde en fronçant les sourcils. Pourquoi cette femme voulait ce retrouver seul à seul avec nous ?

? : il y a certaine chose qu'il faut que vous comprenez...

Grover : vous avez un truc coincé sur le haut de votre veste. Dit-il en la coupant. On dirait...du verre.

On regarde tous sa veste.

Grover : la vitre de notre cabine n'a pas été briser de l'intérieur. Elle à était briser de l'extérieur.

La chose dans son sac commence à s'énerver.

? : oui, ma petite chérie. Dit-elle en s'approchant de son sac. Oui, je sais.

On se regarde tous ne comprenant pas ce qui se passe.

? : tu meurs d'impatience. Plus que quelques minutes à attendre.

Elle se redresse avant de nous regarde à nouveau.

? : je sais que ce n'est pas de votre faute. Mais hélas, aujourd'hui vous allez être obligé, de payer pour toutes les fautes commises par vos parents.

Percy : écoutez-moi. Je ne vous connais pas, mais j'ai une idée de ce que vous êtes. On a croisé d'autres monstres comme vous et on s'en ai débarrasser.

? : d'autres monstres comme moi ? Eh bien ça alors...C'est normal qu'ils me ressemblent. C'étaient mes enfants.

Je commence à comprendre qui est cette femme. C'est la mère de tous les monstres. Échidna.

Percy : vos enfants ? Qu'est-ce que ça veut dire ?

Grover : la mère des monstres.

Moi : Échidna.

Son sac s'énerve une nouvelle fois et elle pose sa main dessus pour le calmer.

Échidna : c'est curieux. Que tu me qualifie de monstre. Sachant que ma grand-mère qui est aussi ton arrière-grand-mère. Et qu'on fait tous partie de la même famille. Mais vous savez, à mes yeux. Les demi-dieux, sont des créatures beaucoup plus dangereuses que les monstres. Ils sont turbulant. Violant. L'unique raison de mon existence, c'est de me dresser sur le chemin de monstruosité, comme vous. Elle c'est ma petite dernière. Dit-elle en parlant du monstre dans son sac. Elle n'est pas sous sa forme adulte. Pour l'instant. Dit-elle en rigolant légèrement. Et aujourd'hui...vous serez sa proie. Vous avez peur ça y est ? Dit-elle avec un grand sourire. Ça va aller. Dit-elle en s'asseyant. La peur c'est naturel. C'est un élément naturel de la chasse. La peur. Le doute. La confusion. Je voulais que vous soyez totalement conscient de ce qui allait vous arriver comme ça elle sentira mieux votre odeur. Je veux lui offrir la meilleure éducation. Parce que c'est ce que fait une bonne mère, pour le bien de ses enfants. Contrairement à vos parents.

Son sac continue de s'ouvrir et je sens mon cœur battre de plus en plus vite.

Échidna : vous feriez mieux de vous mettre à courir.

Quelque chose sort soudainement du sac et elle donne un coup à Percy, et je ressens une légèrement douleur à mon épaule. Annabeth lui plante une dague avant de nous dire.

Annabeth : courez !

Je me lève suivie des garçons et on part en courant.

? : hé stoppe ! Arrêtez-vous !

On continue de courir, et on s'arrête quand on voit Annabeth bloquer une porte, pour les policiers.

Grover : Percy.

Je regarde Grover qui retire un dard de l'épaule de Percy.

Percy : qu'est-ce que s'est ?

Annabeth : c'est un dard.

Moi : tu sais qu'elle genre de monstre à un dard comme ça ? Demandais-je à Grover.

Grover : non, j'en sais rien, mais ça présage rien de bon.

Moi : tu te sens bien ? Demandais-je à Percy.

Percy : ouais je crois. Pourquoi ? Vous croyez quand même pas qu'elle m'a empoisonnée ?

? : ouvrez cette porte !

Moi : aucune idée.

Le train s'arrête et on entend un gros bruit derrière nous, quand on se retourne on voit quelque chose au loin.

Grover : il faut qu'on se bouge !

On se remet tous les quatre à courir et on arrive à trouver un moyen de descendre du train. On s'arrête et on regarde le train.

Percy : pourquoi elle nous court pas après ?

Annabeth : Échidna à dit que la créature qu'elle cachait dans son sac était encore jeune. Elle s'aventurera pas trop loin de sa mère. Elle apprend à chasser...et on dirait que la partie vient de commencer.

Moi : chouette.

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