Chapitre 21

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Bonne lecture...



" Je la mangerai bien

cette fraise sur tes lèvres".


Deux semaines riche en rebondissement ce sont écoulé depuis l'incident avec Hudson. Depuis, il ne m'a adressé la paroles que pour me donner des ordres. Il m'a ordonné de tuer toutes les personnes qui avait participé aux meurtres et kidnapping des enfants. En outre je suis retournée à mon métier de mercenaire. Qui honnêtement, m'avait manqué.


- S'il vous plaît, laissez-moi la vie sauve ! hurle ma victime, s'agenouillant à mes pieds, m'implorant de lui laisser la vie sauve. Drôle d'homme pour un Tsar.


- Te laisser la vie sauve, dis-tu ? Lançai-je, le défiant. Il hoche fréquemment la tête.

Je m'abaisse à sa hauteur, son regard apeuré rencontre le mien, puis j'essuie du pulpe de mon doigt le filet de sang sur son front. Une petite entaille si insignifiante comparé aux crimes dans lesquelles il a participé.


- Ces enfants ne méritaient pas cela. Commençai-je d'une voix glaciale, plus froide que le métal de mon glock dans mes mains. Es tu d'accord avec moi ?



- Oui, oui, tu as raison ! Cri-t-il. Je perçois dans ses yeux une once d'espoir. Mais je la lui vole en lui tirant une balle dans le front. Son sang gicle sur mon visage et son corps s'effondre lourdement sur le sol.

Un appel téléphonique me fait manquer un battement. C'est le téléphone de ma victime qui sonne. Je me penche pour retourner son corps et récupère l'appareil, mais je me fige sur place. Une petite fille souriante anime l'écran, accompagnée de la phrase :

"ma fille chérie".

Mon pouce hésite sur la touche verte, tandis que des pensées tourbillonnent dans ma tête. Décidée, Je glisse mon pouce sur la touche verte.


- Papa ou es-tu ? Tu m'avais promis de venir. Une voix enfantine retentit au bout de l'appel, il doit sûrement s'agir de la fille sur la photo.


- Papa ? Tout va bien ?


Constatant que personne ne répondait, elle a raccroché, et l'instant d'après je m'accroupi au côté du cadavre. Celui de l'être cher de cette petite fille. Son père. Je le lui ai volé, comme on me l'a arraché à moi.


- Ta fille t'attends à la maison pourriture. Maugréai-je.

Certes cet homme méritait de mourir, mais cette petite ne méritait pas qu'on lui prenne son père. J'aurais préféré ne jamais répondre à ce téléphone. Une once de culpabilité envahit mes sens. J'inspire profondément pour tenter de me calmer puis je me relève pour récupérer la rose blanche désormais imbibé de sang. Par respect envers sa fille.

Non Clarke dépose la, il méritait ce mal.


- Qui est-ce ? Demandais-je en relookant les horizons.


Soudainement, dans un clignement de cils j'atterris dans mon lieu de cauchemar. Dans laquelle j'ai passé le tiers de mon temps.

Tu ne me reconnais pas Clarke ?

Une voix remplis d'animosité s'adresse à moi, je comprends, je suis en pleine crise.

Je suis ton imagination.

Plusieurs mains ensanglantées me surprennent en s'agrippant à mes jambes, ce qui me fit tomber sur les fesses. Un cris étouffé m'échappe lorsque je constate que je suis dans un lac de sang.

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⏰ Dernière mise à jour : May 03 ⏰

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L'HOMME AU TRÔNEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant