Sept ans plus tard
-Elina-
Je n'allais sûrement plus pouvoir chanter comme je venais de le faire pendant quelques jours.
Aujourd'hui avait eut lieu le plus grand concert que le conservatoire n'ait jamais connu. Et ce concert était dirigé par...moi ! Qui d'autre que la directrice de toute manière ?
Beaucoup de choses avait changées mais, une seule chose à la fois vous saurez tout en temps et en heure. Je pouvais juste vous dire que j'étais devenue directrice du conservatoire.
Toute contente de ma prestation, je me précipitais vers Pablo.
Il n'était pas seul, deux petites têtes blondes sautaient à ses pieds, fières de leur maman. Puis il avait un porte bébé, qui contenait un bébé.
- Maman ! Maman ! Maman !
- Ainhoa ! Ainhoa ! Ainhoa !
- Tu chantes trop bien, moi aussi je veux chanter comme toi quand je serais grande !
Je m'accroupissais devant mes jumelles et elles me serraient fort dans leur bras. Ma Ainhoa et ma Zoé, mes filles.
- Maman elle est sûre que tu chantes aussi bien qu'elle !
Je les embrassait fort fort fort. Je les aimait plus que tous mes filles.
Ça avait été une grosse surprise quand on nous avait annoncé que nous n'attendions pas un mais deux bébés. Une bonne surprise, qui nous avait tout les deux comblé de joie.
Par la suite nous avions confié les enveloppes contenant les résultats des sexes aux filles et les avions laisser tout organiser pour l'annonce.
C'était deux petites filles. Les prunelles de mes yeux.
- J'ai vaguement des souvenirs de toi devant moi hier soir, dans la même position...me chuchotait Pablo
Repensant à notre activité, je rougissais. Je relevais la tête vers lui. Il souriait, tout fier de sa bêtise.
- Les toilettes du restaurant, franchement on aurait pût faire plus glamour...rigolais je
- Tu m'as fait de la provocation toute la soirée !
Nous avions fait...des choses hier soir. Dans les toilettes du restaurant et dans la voiture. Les enfants nous attendait à la maison quand même, nous n'avions pas pût continuer là-bas.
Je me relevais et caressais la tête du petit ange qui se trouvait dans le porte bébé.
- Coucou bébé Antonio...
Antonio n'était pas vraiment notre fils. Sentimentalement parlant, il était notre fils et nous le considérions comme. Ce que je voulais dire c'était que nous avions adopter Antonio lorsqu'il avait seulement un mois. Ses parents ne voulaient pas de lui parce qu'ils étaient trop jeunes. Alors nous l'avions accueillit chez nous et à bras ouverts. Il était notre fils, et personne ne pouvait dire le contraire.
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Volver a vivir
RandomUne simple colocation peut t-elle changé toute une vie ? Elle en est la preuve. En emménageant dans cet appartement Elina n'aurait jamais cru ce qui allait se passer ensuite. Encore moins si on lui avait dit qui était son colocataire. Elina est pl...