Alayna
Deux mois plus tard.
- On est arrivé ?
Stanley rigole en me disant la même chose que cinq minutes plus tôt. Les yeux bandés, Stanley m'emmène à une surprise. Même si je pense savoir ce que c'est, je ne dis rien par peur d'être déçue.
Stanley et moi vivons l'amour parfait depuis plus de deux mois. Lui, il vient de finir les cours et ne plus le voir tous les jours au lycée va me manquer, je dois l'avouer. Mais, si la surprise est celle que je pense alors je serais la plus heureuse.
La voiture s'arrête enfin, faisant grandir mon excitation. J'ai tellement hâte de voir ce qu'il me réserve. Je l'entends ouvrir sa porte avant d'ouvrir la mienne. Sa main se glisse dans la mienne quand il m'aide à descendre.
- Attention !
C'est trop tard. Stanley me rattrape avant que je n'ai le temps de m'écraser au sol. J'explose de rire, il me suit rapidement dans ma folie alors que je me redresse. Après quelques pas, il se place derrière moi et défais le bandeau sur mes yeux. Ce qui s'offre à moi me laisse sans voix.
- Voici notre nouveau chez nous.
Ses mains glissent sur mon ventre alors que je détaille notre nouvelle maison. Elle est grande, digne de la villa de mon père, mais dans les tons blancs. Il y a deux étages, un grand parking et un garage sur le fond.
À peine sommes-nous entrés que la beauté de notre maison m'éblouit. À droite, nous partons vers la cuisine et la salle à manger. À gauche, nous partons vers le salon et nos bureaux étant donné que Stanley reprend la mafia de mon père. En face de moi, il y a un grand escalier. Il nous fait monter et, avec de grands yeux émerveillés, je découvre plusieurs chambres.
- Pourquoi il y a autant de chambre ?
- Si jamais les garçons et April viennent dormir où si on envisage d'avoir des minis nous.
Mon cœur tambourine dans ma poitrine en l'entendant parler d'enfants. J'ai toujours voulu fonder une famille, ma propre famille, et la fonder avec Stanley est un rêve qui se réalise.
- Tu veux voir notre chambre ?
J'opine, impatiente. La porte s'ouvre et ce que j'y vois me fait sourire. Déjà, il y a un grand lit contre le mur, au milieu de la pièce. En face de moi, il y a un balcon et quand je m'approche je remarque une piscine juste en bas.
En face de notre lit, il y a une grande douche à l'italienne. Transparente. Je lui lance un regard complice en comprenant pourquoi il a décidé d'avoir une douche comme cela.
- Je voulais pouvoir te mater même sous la douche.
Je ricane en secouant la tête avant de me tourner vers la porte, pas loin du lit. Je l'ouvre pour découvrir un grand dressing avec, de chaque côté, plusieurs vêtements et chaussures.
- Stan, c'est magnifique.
Il me sourit avant de me tirer vers lui et de nous jetés sur le lit, puis de sceller nos lèvres. Ses bras s'enlacent autour de ma taille et il nous retourne, de façon à ce que je me retrouve à califourchon sur lui.
- En disant oui à ma demande en mariage, tu as fait de moi l'homme le plus heureux et le plus chanceux au monde, dit-il en passant une main dans mes cheveux.
Mon pouls s'accélère et il le sent sûrement puisque nos cœurs sont collés l'un à l'autre. Tout autant que le mien, le sien s'emballe grâce à mes prochains mots.
- Je t'aime, je chuchote comme si c'était un secret.
- Je t'aime.
Les battements de mon cœur ne se calment pas, surtout quand il m'embrasse par la suite. Ses mains se faufilent sous mon t-shirt, me faisant sourire contre ses lèvres. De suite, je sens son érection grandissante sous mon intimité.
- Combien veux-tu d'enfants ?
Je me recule pour réfléchir. Je n'ai jamais vraiment réfléchis au nombre, je savais juste que j'en voulais et que je leur donnerais tout l'amour possible.
- Deux, je pense. Et toi ?
- Si tu en veux deux, alors on en fera deux. Si tu en veux huit, alors on en fera huit.
Je souris en le sentant glisser sa main sous ma jupe. Il décale rapidement mon string pour titiller mon clitoris. Je soulève mes hanches pour l'aider à baisser son jogging et son boxer. Rapidement, il glisse à l'intérieur de moi.
Depuis peu, nous n'utilisons plus de préservatifs. Nous sommes tous les deux clean et je prends la pilule. Les sensations sont décuplés et c'est plus plaisant pour nous deux.
Il agrippe mes hanches pour m'aider dans mes mouvements tandis que nos bouches se dévorent, autant de fois qu'elles le peuvent. Mon ventre se tord déjà. Depuis qu'on utilise plus de préservatifs, je ne tiens pas très longtemps. Ça ne nous empêche pas de le faire plusieurs fois d'affilé.
- Maintenant que nous sommes chez nous, je ne te laisserais aucune seconde de repos.
Je souris, impatiente. Déjà chez mon père il ne me laissait pas beaucoup de repos mais j'ai hâte de savoir ce qu'il me réserve pour l'avenir.
Nos bouches entrouvertes se collent quand nos ébats s'intensifient. Ma tête part en arrière quand je n'arrive plus à me contenir, mes mains s'accrochent dans ses cheveux. Il embrasse mon cou en me donnant un coup de rein brutal qui me pousse au bord du précipice. Dans cette position, je peux le sentir encore plus profondément. J'ai même l'impression de l'avoir dans mon ventre.
- Stan...
- Je sais, mon cœur, je sais.
Le dernier va-et-vient m'est fatal, mon corps est parcouru de spasmes et mes gémissements se transforment en cris. Mon sexe se contracte autour du sien et je sens le sien se contracter de suite après. Il jouit juste après moi et nous tombons en arrière.
- Avant de te faire des gosses, je te promets de te faire jouir autant de fois que possible.
Et il réalisa sa promesse.
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Passion mortelle
RomanceAlayna vient de perdre sa mère. Vivant chez son copain, elle doit changer de lycée pour venir dans le sien. Cependant, en voyant les amis de son copain, elle comprend vite qu'il y a quelque chose qui cloche. Quand plusieurs démons de son passé vont...