Le lycée Hunter

S'il te plaît Gon, dis oui!

PDV Gon:

Misao: Aller quoi tu va pas faire ton rabat joie!

Gon: Laisse moi j'ai pas envie.

Misao: Oh aller faut bien qu'on en profite. On est là rien que tous les deux, chez moi.

Gon: C'est pas la question. J'ai pas envie de le faire voilà tous.

Misao: Tu vas voir on va bien s'amuser.

Me disais t'il en passant sa mains dans mes cheveux, tous en collant de plus en plus son corps contre le mien. J'essaya de me reculer mais il m'en empêcha en passant son bras autour de ma taille.

Misao: Tu conte aller où comme ça?

Gon: J'en sais rien mais loin de toi.

Misao: C'est pas très gentil, après tous se que je fais pour toi. Tu me doit bien ça.

Il commença à glisser dangereusement sa mains vers mon entre jambes. Ne voulant pas répondre à ses attentes je lui bloque la main.

Gon: Retire tes salle pâtes.

Misao: Qu'est-ce tu vient de dire?

Gon: ... J'ai dis lâche moi.

Misao: Tu crois vraiment que t'as ton mot à dire?

Gon: Oui parce que c'est de mon corps qu'on parle.

Misao: Certe, mais pour le moment ton corps m'appartient, et tu sais très bien pourquoi.

Gon: ...

Misao: Alors tu vas pouvoir retirer ta main et me laisser faire se que j'ai envie. Je me suis bien fait comprendre?

Gon: Tu préférerais pas faire autre chose?

Misao: Nan!

À se moment là il se détachant de mon emprise et agrippa violement mon membre, se qui me donna un frisson.

Misao: On le fera que tu le veuilles ou non. Et après tu verras, tu me suppliera de recommencer.

Gon: J'en doute.

Misao: T'inquiète, on va très vite le découvrir.

Après ces quelques mots, il me tourne et me plaque violemment contre la table de la cuisine.

Misao: Tu va voir, je vais réussir à te faire jouir de plaisir et me suppliera de continuer.

Sans un mot de plus, il colle sa tête sur mon coup, et commence à me faire des suçons tous en glissant sa mains sur mon torse. Je n'arrêtais pas de lui demander d'arrêter, sûrement agassé de m'entendre, il m'embrasse sauvagement en passant rapidement sa mains dans mon caleçon, en enfonçant deux de ses doigts dans mon anus.

Gon: Nan arrêt... arrêt j't'en supplie. Laisse moi tranquille.

J'ouvris les yeux brusquement... Attends je suis dans un hôpital? Alors se que je viens de voir n'était qu'un cauchemar? Nan c'était belle et bien un souvenir de se weekend, ça me donne envie de vomir rien que dis pensé.

Mitho: Gon tu es enfin réveille. Quelle soulagement.

Gon: Tante Mitho, qu'est-ce que tu fais là?

Mitho: Je suis venus voir comment t'allais. Quelle question.

Gon: Comment tu savais que j'étais là?