Quand l'enfer rencontre la lumière

Chapitre 29

Maria Lopez, 

Cela fait maintenant deux semaines que nous sommes enfermées ici, je n'ai pas vu l'extérieur depuis que nous avons débarquées ici précipitamment. J'ai du mentir à mes patrons que je suis malade pour ne pas venir, mais niveau salaire ça va commencer à tirer mais Vanina me dit que je n'ai pas de soucis à me faire pour l'argent... Je ne penserais jamais dire sa un jour mais mon boulot me manque... Ne voir personne et faire du sport tout les jours, je commence à en avoir marre... 

Maria: On peux arrêter pour aujourd'hui ? 

Vanina: Encore un petit effort et c'est finie ! 

Elle m'entraine à me battre, elle me fait faire du renforcement musculaire et niveau tir maintenant j'arrive à plutôt bien gérer. Ce que j'aime le plus ici c'est le soir, je sors dehors regarder les hauteurs de la ville qui ai tout illuminé, je trouve sa magnifique !

Au niveau de ma relation avec Vanina dans l'ensemble tout va bien mis à part ces crises de colère... Elle en fait pas beaucoup mais j'ai encore du mal à gérer la situation et parfois c'est compliquée... Mais elle reviens toujours vers moi pour s'excuser et je vois bien qu'elle ai complètement désemparer face à sa, et moi je vois juste une femme en souffrance et qui d'être comprise. 

Vanina: C'est bon on arrête pour aujourd'hui, tu as énormément progresser bravo ! 

Maria: Merci mais j'ai une bonne entraineuse et qui ai au passage super sexy 

Elle rigole et elle viens me prendre par la taille et m'embrasser, dans ses moments là j'ai tellement envie de lui dire combien je l'aime et que je suis littéralement tomber amoureuse d'elle mais je ne peux pas.. J'ai peur de lui avouer mes sentiments et je pense que c'est trop tôt et je n'ai pas du tout envie de l'effrayer... 

Nous sommes assises toute les deux sur une des terrasses de la villa, je sens son regards qui ai perdu dans le vide, 

Vanina: Tu sais ma vie n'ai pas facile... 

Je l'écoute et je la laisse parler, je ne veux pas être celle qui force pour lui arracher les mots de la bouche. Non si elle veux me parler alors elle le feras d'elle même, 

Vanina: Je vis dans se monde de violence, de règlement de compte, de territoire et d'argent depuis que je suis née, je ne l'ai pas voulu mais je n'ai pas le choix et j'ai à force aimer ce que je fais... Parfois je me dit que je ne suis pas normale mais je ne connais que sa... J'ai du traverser beaucoup d'épreuves, le viol notamment.. Chaque fille et femme passent par là pour accéder à la mafia, certaines aiment et d'autres détestent cette partie... Dont moi, j'en veux tellement à mon père pour sa.. Qu'il ai laisser ces personnes me toucher, alors que je l'implorais de ne pas le faire ! Mais pour lui a cette époque je n'étais qu'un morceau de viande et il me vendais pour arranger ces petites affaires. Depuis je ne ressens plus rien, je caches mes émotions et je suis froide, devoir tuer ces chiens qui m'ont violer m'arrangent bien et je n'ai aucune pitié envers eux ! 

Maria: Je sais que tu ne veux pas de ma pitié alors je le ferais pas mais je veux quand même te dire que je suis désolée. Je ne te forcerais jamais à faire un truc que tu n'as pas envie je te le promet ! 

Elle se tourne vers moi et elle à une larme à l'œil, je viens la prendre dans mes bras et nous restons là sans un mot mais parfois une étreinte vaux plus que les mots ! D'un coup elle me sers plus fort contre elle et je finis par entendre du bruit ce qui n'ai absolument pas normale... 

Vanina: Il y a du monde avec nous ma douce, fait ce que je t'ai appris et surtout reste bien auprès de moi. On va essayer de rejoindre le garage pour partir 

Maria: Mais... Je ne vais jamais y arriver... 

Vanina: Bien sur que si ! 

Maria: Attends... Je t'aime.. 

Vanina: Moi aussi je t'aime mais là faut y aller ! 

J'ai pas le temps de digérer son je t'aime qu'elle me prends la main et nous sommes en train de courir à travers les coup de feu... 

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