CHAPITRE 17: INAUGURER LA MAISON.

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***CHAPITRE 17 : INAUGURER LA MAISON.***

**LOYD MBAZOGHO**

J’arrive devant le portail et je klaxonne, le portail s’ouvre quelques minutes plus tard pour me laisser rentrer et garer devant le parking. Je coupe le contact sans retirer la clé et je prends mes affaires sur le siège passager. J’ouvre enfin la portière pour descendre et je tombe sur Reb vêtue d’un haut rouge aux allures de voile qui ne cache rien de sa poitrine et du string en dentelle rouge qu’elle porte en dessous. Elle a relevé ses cheveux en un chignon haut et a une pantoufle de la même couleur. J’ai noté des perles autour des reins qui n’étaient pas là la veille ni ce matin. Je l’ai regardée et j’ai souri, c’est dans ce genre d’accoutrement qu’elle m’accueillait à la maison en Chine au point où nous avions eu du mal à respecter son cycle.

Lucrèce : (L’air de rien) Tu as pu tout avoir ?

Moi : (Souriant) Oui, c’est à l’arrière.

Lucrèce : Ok.

Elle s’est retournée et est allée ouvrir la voiture pour prendre quelques sachets, les moins lourds puis elle a pris la route de la maison. Je suis resté debout en train de l’admirer en souriant, j’apprécie le spectacle qu’elle m’offre avec ses formes voluptueuses. 1 an, c’est long, j’ai beaucoup à faire aujourd’hui. J’ai fini par prendre une partie des sachets et je suis rentré dans la maison puis à la cuisine où j’ai vu qu’elle avait déballé quelques cartons pour sortir des ustensiles et la vaisselle.

Lucrèce : (Sans me regarder) Pose tous les sachets sur l’îlot, je vais trier et ranger au frais et dans un des placards.

Moi : D’accord.

J’ai posé et je suis retourné prendre les derniers sachets que je suis venu poser avec le reste sauf le poisson que j’ai mis dans l’évier. Elle était déjà en train de s’activer pour le petit déjeuner et je suis venu l’enlacer par derrière en posant mes deux mains sur ses hanches tout en collant ses fesses contre mon bassin.

Moi : (Lui faisant un bisou sur l’épaule) J’adore ta tenue, elle me donne des idées.

Lucrèce : (Souriant en découpant les saucisses) Si ce sont des idées de rangement, je suis preneuse.

Moi : (Caressant sa fesse avant de l’empoigner) Beaucoup de rangement et des extras.

Lucrèce : (Se cambrant légèrement) Je ne suis pas contre un rangement express là tout de suite, les lieux en ont grandement besoin.

J’ai souri en empoignant davantage ses seins. Je l’ai retournée et j’ai commencé à lui faire des baisés dans le cou avant de descendre sur ses seins que j’ai sucés à travers son haut tout en pressant fortement ses fesses. Je suis remonté vers son visage et je me suis emparé de ses lèvres dans un baisés fougueux en la serrant contre moi. Elle a baladé ses mains sur moi et est venue s’arrêter devant mon sexe bien dur dans mon pantalon. Elle l’a caressé puis m’a légèrement repoussé pour ouvrir le bouton de ma culotte et la braguette n’a pas tardé à suivre, elle s’est accroupie pour me la baisser en même temps que mon calcif. Elle a levé ses yeux pour me regarder avant de saisir ma verge de sa main droite, elle l’a ensuite ôté pour la remplacer par sa bouche, j’ai soupiré d’aise en fermant les yeux pour apprécier la délicatesse avec laquelle elle me suce. C’est juste indescriptible et incroyable.

Moi : (Ouvrant mes yeux et saisissant sa nuque) Shit Reb, c’est bon. J’aime ce que tu me fais.

Elle m’a tendu au max et j’ai fini par la relever pour la soulever en pressant sa fesse, j’ai mis son slip sur le côté et je me suis lentement enfoncé en elle. Nous avons tous les deux gémi de plaisir pendant qu’elle me mordillait le cou.

L'AMOUR SUFFIT-IL? TOME 2.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant