chapitre 2.

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Salam aleykoum.

7h

je me lève de mon lit et je pars dans la salle de bain me laver me brosser les dents je fais mes soins de visage je me maquille légèrement avant de partir m'habiller.

Je m'habille comme ça :

Je sors de ma chambre avant de sortir carrément de la maison j'ai pas envie de voir leurs visage.

Je monte dans ma voiture je démarre pour partir travailler.

J'arrive à mon lieu de travail je salue la réceptionniste avant de monter dans ma chambre sans un regard pour personne.

Ils ont pris l'habitude sur le faîte que je ne suis pas là pour chercher des amies

J'ai mûri seule et sa va continuer comme ça l'amour, l'amitié n'existe pas dans ce monde.

La seule que J'avais n'ai plus de ce monde et j'ai pas besoin d'une autre.

Je vous passe le travail je sors de mon lieu de travail pour partir manger.

Après avoir fini de manger je pars me promener mon passe-temps préféré musique à l'oreille.

Je regarde la ville de New York les passants avec leurs sourires une très belle ville qui ne m'a rien appris que la souffrance.

La violence quelque chose que toute personne normale évite est devenue ma quotidienne la seule chose qui m'a permis d'être aujourd'hui en vie.

Je regarde ces jeûnes filles de mon âge qui ont le sourire jusqu'au oreille.

Alors que mon sourire fait partie Maintenant des rares choses qu'on voit.

Pourquoi moi est-ce que je ne mérite pas d'être heureuse je ne me rappelle pas d'avoir fait du mal à quelqu'un.

Je ne sais pas pourquoi tout cette méchanceté envers moi.

Les gens qui faisaient semblant de m'aimer le temps m'a montré leurs vrais visages.

Leurs sources hypocrite leurs modestie envers moi.

Tout ça n'était qu'une jeu pour eux j'ai été trop poignarder dans ce bas monde.

Avec ces gens le mot de s'entraider n'existe pas tout se qu'ils savent faire c'est te jeter dans la gueule du loup et regarder te faire maltraiter leurs réjouis.

Je sors mon téléphone pour regarder l'heure qu'elle fût ma surprise quand je vois qu'il est 20h.

Je marche vite pour rejoindre ma voiture.

Je démarre pour rentrer dans mon monde de souffrance.

30min de route plus tard je me gars avant de descendre de la voiture je rentre dans la maison.

Je regarde toutes ces gens assises leurs regards qui me donné toujours cette envie de vomir.

Sofia:approche que je te présente à mes invités.

Je la scrute de haut en bas et je tournes mes yeux sur ces six paire de yeux qui me regarde avec un regard tellement pervers que j'ai une envie de vomir.

Moi: ils n'ont pas besoin de me connaître ta compagnie les suffit largement.

Je tournes les talons pour partir quand l'un d'entre eux me tiens le poignet.

Je le regarde avec mépris.

Moi:t'ai-je permis de me toucher avec tes sales pattes.

Lui:sofia je pense que vous lui avez pas appris le RESPECT on t'a pas dis qu'une pute devrait respecter ses clients.

J'enlève ces doigt autours de ma poignée avant de lui donner un coup brutal dans son entrejambe.

Moi:la pute c'est ta Salope de sœur que tu as laisser chez-toi pour venir là où passer ton jambe en l'air comme tu as l'habitude de le faire alors que tu en as une chez toi. Je tranche mes mots avec tant de certitude.

Je me retourne pour rentrer dans ma chambre qui est prolongé dans le noir.

Comme mon cœur l'est je rentre dans la salle de bain je me lave me brosse les dents avant de me mettre en pyjama.

En short et débardeur avant de renter sous la couette pour m'endormir.

Même si je me suis couché je sais qu'elle ne va pas me laisser dormir.

J'étais entrain de dormir quand je me sens jeter hors du lit avant qu'une l'eau glacée s'en suive je ne réagis pas sur le champ sachant déjà c'est qui.

J'ouvre mes yeux avant de les cligner plusieurs fois pour m'habituer à la lumière je me lève avant de les regards à tout de rôle.

Un ructu m'échappe en voyant leurs visages assombrit par la colère.

Moi:le monsieur des punitions est venu pour en donner à sa fille préférée.

Frank: tu vas commencer par fermer ta gueule pourquoi aimes-tu nous faire perdre autant d'argent.

Frank:c'est si difficile pour toi d'écarter tes cuisses.

Moi:pour moi oui mais pour ta femme elle en sera ravie. Je souris. Vue que tu ne peux pas la satisfaire.

Ma voix est pleine de provocation je le regarde toujours avec indifférence en sachant déjà ce qui va en suivre j'ai pris l'habitude d'être punis voyons qu'elle sera ma punition pour aujourd'hui.

Sofia: tu peux la fermée tu m'as humilié devant ces personnes.

Moi:pourtant l'humiliation est ta quotidienne si c'est n'est pas par ton Pd de mari c'est par tes clients.

Frank me regarde avec mépris avant de me donner un coup de pied en plein ventre.

Je gémis de douleur avant de me relever je le défit du regard avant de m'assoir sur la chaise.

En les regardant en toure de rôle.

Moi:ne te prive pas. Dis-je en souriant alors que je sais qu'il ne va pas me ratée. Tu sais frank j'ai arrêté d'avoir peur de toi depuis que j'ai appris que tu n'es que la toutou de ton grand frère.

Frank:il sourit. Tu as peur de mike en un tel point que même son prénom ne dépace pas ta gorge.

Je me sens frémir en entendant ce prénom qui est la cause de tout mes cauchemars mais crise de panique,d'angoisse.

Mais je me reprends très vite pour éviter qu'il est un point sur moi.

Moi:tu veux dire ton Pd de frère qui est non seulement un imbécile mais aussi un violeur sa ne me surprend pas de quelqu'un qui n'a pas hésité à se taper la femme de son frère je ne sais même pas comment le qualifier. Retorquais-je en regardant sa femme qui est devenue toute blanche.

Le regard de frank vire dans un noir tellement profond je devrais avoir peur mais je ne le suis pas.

Pour l'atteindre il faut toucher là où sa fait mal il n'a jamais pu digérer la trahison de son frère qui n'a pas hésité à le tromper avec sa femme ce qui fait qu'il a décidé de faire prostitué sa femme pour calmer son égo.

Frank:ferme vraiment ta gueule. Dit-il à me donnant un coup de poing dans la joue. Tu ne peux pas fermer ta gueule hein.

Moi:tu n'as tellement pas de couille si j'étais à ta place j'aurai fait la même chose que lui mais le petit à peur de son maître.

Sur ces mots il commence à me rouer de coup quand je commence à m'affaiblir il me lâche avant de sortir de la chambre suivi de sa femme.

Je m'endors sur le sol j'avais trop mal pour me lever.

les tournants de ma vie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant