chapitre 18.

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Salam aleykoum.

Dans la peau de nihad.


Debout devant la fenêtre le regard rivé dans l'horizon je pense à comment ma vie à pût prendre un autre tournant dans seulement 4mois.


C'est ainsi continuera-t-elle chaque jour qui passe avec le nouveau obstacles qui se présente à moi.

J'avais déjà compris que les problèmes m'aiment et que même assise dans ma chambre ils me viennent uniquement pour me hanter.


Je me demande si je réussirai à dormir cette nuit pourtant je sais déjà que je n'y ai pas arrivé après quatre ans c'est n'est pas aujourd'hui que je vais y arriver.


J'ai eu mes 22ans il y'a maintenant une semaine mehdi m'avait suggéré de sortir ou même faire quelque chose pour se merveilleux jour.

Merveilleux ou malheureux c'est ce que j'aurai aimé lui demander parce que moi j'aurai vraiment aimé ne pas naître.

Depuis que je suis née je n'ai connu que l'injustice.

Les yeux noyés dans la douleur.

Le cœur toujours lourd.

Les larmes qui ont toujours exprimé mes souffrances.

Mon sourire remplacé par le néant.


Mon corps remplacer par un sac de box.

Ils étaient tous des faux.

Ils m'ont détruit en néant la vie à tellement été injuste avec moi je me suis toujours demandé si je parviendrai à être heureuse un jour.

Les seules personnes qui font mon bonheur maintenant sont layana et Sonia.

Je n'ai connu que la violence à une telle point que je me demande toujours pourquoi ils sont si bienveillants avec moi.

Est-ce de la pitié.

Ou juste de la mensonge.

Font-ils semblant ou tiennent-il vraiment à moi.

Je sors de cette chambre que je partage avec waël si on m'avait dit un jour que je dormirais dans le même lit avec un homme je ne l'aurai jamais crû.


Je descends les marches avant de sortir carrément de la maison je monte dans l'une des voitures pour partir chercher layana à l'école.

J'arrive quinze minutes après je me tiens sur le capot de la voiture en entendant qu'elle sort.

Je la vois venir vers moi avec sa maîtresse celle-ci me regarde avec hostilité.

Mais je l'ignore complètement je m'avance vers eux quand je vois layana courir vers moi.

Je la prends dans mes bras elle sourit de toute ses dents.

Layana: tu vas toujours venir me chercher maintenant maman.

J'hoche uniquement la tête devant son air enfantine elle sourit avant de dire au revoir à sa maîtresse qui n'arrête pas de nous dévisager.

Je l'attache dans son siège auto avant de monter côté conducteur pour démarrer.

Layana: tu sais je n'aime pas vraiment l'école.

Moi: et pourquoi donc, dis-je en souriant devant son mine faussement triste.

Layana: parce que les maîtresses sont méchantes elles sont gentilles avec que si c'est papa qui est venu me chercher ou mes oncles.

Je comprends mieux pourquoi celle-ci me regardait aussi mal.

les tournants de ma vie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant