les tournants de ma vie.

chapitre 12.

Salam aleykoum.

Dans la peau de nihad.

J'étais assise en train de ranger mes valises la tête en l'air, je me sens triste de quitter layana mais je dois partir loin d'ici guettez l'ironie <<triste>> pourtant je le suis tout le temps mais je me sens vraiment mal aujourd'hui.

J'ai comme l'impression qu'on m'annoncerai une chose qui ne va nullement me plaire ça fait trois semaines maintenant depuis que je les ai fais part de tout ce que je savais.

Une semaine que je ne les ai pas vue même layana mais bon peut-être que son père lui manque, je décide d'appeler Sonia sa fait quand même une semaine que je ne lui est pas parler vue qu'elle débordait par le travail c'est temps ci.

Je l'appelle en face time elle répond au bout du deuxième sonneries, elle sourit les cheveux soigneusement attachés en queue de cheval.

Moi: salut toi.

Sonia: elle sourit, salut la revenante.

Moi: j'évitais juste de te faire perdre ton travail.

Sonia: je te jure qu'il devient de plus en plus grincheux il m'énerve tellement ce connard.

Moi: je souris face à sa désespoir, démissionne.

Sonia: peut-être après mon mariage, dit-elle la tête dans les nuages.

Sonia: dis moi tu as une fois était amoureuse. Me demande-t-elle les yeux pétillants.

Moi: je fais une grimace, non et je ne cherche pas à l'être.

Sonia: tu ne veux pas être aimée un jour.

Moi: t'oublie que c'est en cherchant le besoin d'être aimé que je me suis retrouvée dans ce pétrin que j'ai grandi.

Sonia: toute personne à le besoin d'être aimé tu es juste tombée sur des mauvais personnes.

Moi: qui m'ont aussi fait comprendre que l'amour est juste une acte de souffrance.

Sonia: pas de souffrance mais de bonheur même s'il y'a des représailles.

Moi: je trouve pas l'importance de l'amour.

Sonia: le sentiment d'aimer et d'être aimé en retour est une chose magique, l'amour est la plus belle chose qui puisse exister sur ce bas monde quand il est réciproque bien sûr quand on aime on ne voit jamais du négatif sur la personne qu'on aime tu préfère même te voiler la face dans n'importe quelle situation, sur ces sauts d'humeur, sa façon d'être désagréable tu ne verrais que du positif quand il s'agit de lui, tu préfère être aveugle, sourde, muet face n'importe quelle situation même quand c'est un meurtrier tu ne verrais pas ce côté des choses, tu sais pourquoi, parce que on ne choisit jamais de qui tomber amoureux comme on dit souvent le cœur a ses raisons que la raison même ignore, l'amour n'est pas seulement une chose que tu dois vivre qu'avec ta famille ni amis mais une chose que tu partageras avec la personne qui sera une partie de toi, ta moitié celui ou celle que tu partageras le restant de tes jours celui qui te comprendra dans les moments où personne essaye de te comprendre cette personne ne sera pas seulement ton amour mais aussi ton épaule tu te sentiras toujours en sécurité avec lui tu te sens anxieuse quand il est loin de toi tu auras toujours ce sentiment que tu peux le perdre à tout moment qui te fera angoissé comme du n'importe quoi,crois moi c'est un sentiment magique tellement magique je ne saurai t'expliquer ma chère. Finit-elle la tête dans les étoiles.

Moi: je vois madame s'est pris pour la défenseuse de l'amour.

Sonia: inchallah tu trouveras ta moitié un jour comme moi.

Moi: inchallah, bref.

Sonia: tu compte reprendre le travail.

Moi: je ne sais pas vraiment je verrai avec le temps.

On continue à me parler, elle me raconte ses journées au bureau avec son connard de patron comme elle aime si bien le dire.

On était toujours en appel quand la porte de la chambre s'ouvre en fracas ce qui m'oblige à rompre l'appele avant de faire face à waël et layana qui se trouvent maintenant à quelques mètres de moi.

Layana saute dans mes bras tandis que je l'attrape de justesse elle me fait un bisou dans la joue toute souriante je lui rends son sourire avant de regarder son père qui tenait des papiers dans les mains.

Layana se pose sur mes genoux face à son père, celui-ci préfère rester debout, il me tend les papiers.

Je les prends méfiante avant de me mettre à lire ce qui est dedans plus je m'avance plus je me tends il se fou de ma gueule ou je rêve.

Je lève les yeux vers lui avec un regard indéchiffrable tandis qu'il me scrute comme si je n'étais qu'une minable devant lui.

Waël: signe.

Moi: as-tu bu.

Layana me regarde avec un grand sourire ma tête ne fait qu'une toure quand elle prononce ses dires.

Layana: c'est vrai que tu seras ma mère, sourit-elle, je peux t'appller maman.

Un silence glacial s'en suive sérieusement à quoi il joue ce connard d'où il vient se mettre devant moi pour m'obliger à l'épouser et sans me consulter en plus.

Je vois layana perdre petit à petit son sourire pour laisser place à une mine triste.

Layana: toi aussi tu ne veux pas de moi nespa, murmure-t-elle avant de fondre en larmes.

J'essaye de la calmer je me vois dans cette petite quand j'étais plus jeune elle demande d'attention d'une figure maternelle comme j'en demandais quand j'étais petite.

Quand je réussis à la calmer je lui dis que j'accepte d'être sa mère je ne vois pas être égoïste parce que moi j'aurai aimé qu'on me traite de la même façon quand j'avais son âge.

Je vois son père feindre un sourire c'est tout ce qu'il voulait amener layana avec lui pour pouvoir m'avoir.

Quand elle comprend enfin que j'accepte d'être sa mère un magnifique sourire se dessine sur son visage avant même que je puisse me réveiller de se choque je vois ses amis rentrés avec une fille qui doit avoir la vingtaine elle me sourit tendrement mais je reste impassible je ne suis pas du genre à donner l'heure aux inconnus ils sont accompagnés de deux hommes.

Dans même pas 30 min je me retrouve marier religieusement et civilement en une fraction de seconde la fille qui était avec eux était mon témoin tandis que ses amis étaient les tiens.

Je comprends que tout ça était préparé depuis le début, ils m'ont bien eu en tous cas je viens de passer à nihad assaf à nihad El Assad je me sens mal je me retiens tellement de pleurer alors que sa m'arrive rarement l'envie de pleurer mais je déteste d'être en état de faiblesse.

Encore une nouvelle épreuve parfois je me demande si je serai un jour tranquille dans ma triste vie.