les tournants de ma vie.

chapitre 35.

Salam aleykoum.

Omniscient.

Waël est dans une colère noir, deux jour deux jour qu'il ne sait pas où se trouve sa femme ou si elle va bien. Malgré avoir passé des heures à torturer moïse ce dernier refusa de parler.

Assis sur une chaise en face de Natasha, waël prend le malin plaisir de jouer avec son arme devant elle.

Les mains ligotées derrière la chaise, la jeune femme respirer anormalement vite, elle connais waël et sait de quoi il est capable, ce waël n'avait rien avoir avec le waël qu'il avait quitté et qui était tellement vulnérable qu'elle eut pitié de lui.

Elle devia son regard sur moïse les jambes attachées dans un lien, il est dans un état piteux, un frisson glacial couru le long de son échine, elle réprima un sursaut en le voyant se lever de toute sa hauteur. Elle avala difficilement sa salive en le voyant prendre un ciseaux.

Il arracha violemment le scotch de ses lèvres.

Natasha: tu ne pourras jamais me faire du mal zerrin je suis la mère de ta fille, est-ce que tu te vois lui dire que tu as tué sa mère.

Au lieu d'être déstabilisé, il rigola d'un rire qui la fait froid dans le dos.

Waël: sa mère qu'elle n'a jamais connu. Ma fille a une mère est elle s'appelle nihad ma femme, une femme au mœurs légère comme toi ne peut pas être sa mère, dit-il en la regardant droit dans les yeux. J'ai horreur qu'on me prenne pour un con alors je ne vais pas me répéter où est ma f.e.m.m.e, il articula les derniers mots avec tellement de froideur qu'elle eut un mouvement de recul.

Natasha: comment est-ce que je suis sensé le savoir, laisse moi m'en aller et je te jure que ça sera la dernière fois que tu verras mon visage.

Waël: que je ne me fais pas répéter Natasha.

Elle prena un long soupir, elle ne pouvait pas lui dire la vérité car elle a plus de chance de vivre avec waël qu'avec mike cet sans-cœur qui l'a de surcroît élevée, elle ne peut pas se permettre de le faire tomber pas tout ce qu'il a fait pour lui, nihad peut mourir elle s'en fou royalement tout ce qui l'intéresse c'est de récupérer cet homme qui l'aimait et qu'elle a blessé dans le passé en le trompant avec son cousin qu'il considérait comme le grand frère qu'il n'a jamais eu, ce dit-elle intérieurement.

Natasha: JE NE SAIS PAS PUTIN, C'EST VRAI QUE JE LUI AVAIS FAIT DES MENACES MAIS J'ÉTAIS JUSTE VULNÉRABLE, JE T'AIME PUTIN ET VOIR QUE TU NE ME DONNE PLUS D'IMPORTANCE COMME AVANT ME MET EN ROGNE PERSONNE NE MÉRITE TON AMOUR À PART MOI PERSONNE, J'ESPÈRE QUE LÀ OÙ ELLE SE TROUVE ELLE EN TRAIN DE MOURIR À PETIT AVEC VÔTRE BÂTARD DANS SON VENTRE DE PROSTITUÉE et qu'ell... AHHH, crie-t-elle en pleurant de douleur il vient de lui poignarder le ciseaux qu'il avait dans le cuisse en le regardant droit dans les yeux.

Il l'enleva lentement en savourant chaque crie de douleur s'échappant de sa gorge avec un sourire épingler sur les lèvres, la porte s'ouvre en fracas laissant apparaître les garçons qui le regarde les yeux grands ouverts.

Mehdi: on t'a laissé seulement cinq minutes seulement cinq, si tu continues comme tu vas finir par les tuer touts sans avoir obtenu la réponse à tes questions.

Waël: avec ou sans leurs aides je vais la retrouver après je prendrai le malin plaisir de finir ce que je viens de commencer.

Natasha: laisse moi partir, je jure de ne pas savoir où elle se trouve je t'en supplie, implora-t-elle les yeux larmoyants avec indifférence il met ses mains dans les poches de son patalon en les serrant dans un point pour cacher la rage qu'il ressentait.

Waël: appelez moi Kevin qu'il le soigne et qu'il ne touche pas à moïse, il ancra son regard de le mien qui avait gagner peu d'espoir. Je vais prendre le plaisir de te blesser te soigner pour enfin recommencer et si tu ne coopères toujours pas ça sera une balle dans tes deux yeux que tu recevras au moins tu rejoindras ainsi tes ancêtres, dit-il sournoisement en tournant les talons pour enfin sortir du sous-sol, sous ses supplication qui lui faisait un bien fou.

Un fugace sourire se dessine sur ses lèvres en retrouvant sa mère assise dans l'un des sofas dans le salon en le regardant les yeux injectés de sang.

Il s'avança vers elle dans un pas lent et déterminé. Il se plaça devant elle l'exposant toute sa hauteur.

Fatim: de quelle droit tu l'as retient ici pour qui est-ce que tu te prends hien.

Waël: de quelle droit est-ce que tu te permets de poser tes sales patte sur ma demeure Fatim ahmad dit donc je ne te savais pas si suicidaire.

Fatim: j'aurai dû te tuer avant même que tu ne vois le jour enfant maudit.

Un sourire se dessine sur ses lèvres tandis que sa mère c'était lever pour lui faire face non sans ciller. Elle la dévisagea mais déstabilisé en voyant se sourire moqueur qui naquit dans ses lèvres.

Waël: de la même manière que tu as tuer Méline, claqua-t-il froidement sa mère recula de surprise et de peur mêler, ses yeux se noyant de larmes.

Fatim: comment oses-tu m'accuser du meurtre de ma propre fille tu aurais dû mourir à sa place.

Waël: je pourrais sans doute donner ma vie pour elle mais ça ne changera jamais le fait que tu sois une meurtrière, tu as livré ta fille à moïse en le laissant dehors dans le froid, pendant que tu te tapais ton amant, ma petite sœur de neuf se faisait violer et tuer par ta faute par uniquement ta faute Fatim ahmad, tu as la femme la plus repoussante qu'il m'ai été donner de voir de ma vie, tu me répugnes.

Elle leva sa main pour la frapper mais il la stoppa fermement.

Fatim: j'espère ta femme mourra ainsi que le bâtard qu'elle porte.

Il serra la gorge de sa mère avec une force démesurée, elle ouvra grand la bouche à la recherche d'un bouffé d'air mais même avec ça elle ne pût respirer.

Adam poussa waël de toute ces forces en l'infligeant une gifle sanglante pour qu'il reprenne une certaine contenance de lui-même.

Waël: si par malheur je découvre tu as quelque chose à avoir avec tout ça, j'oublierai que tu es ma génitrice, je me ferai le malin plaisir de t'arracher petit à petit ton coeur de mes propres mains, dit-il avant de sortir du salon en s'engouffrant d'un pas rapide dans la première chambre qu'il trouva sur son chemin.

Quelques part dans les quartiers de New York.  Nihad était enfermé dans une petite maison entourer de garde, la main posée sur son ventre arrondi ces dents claquant de froid, son corps coucher sur ce carrelages glacés.

Elle ne sait pas depuis combien de temps elle coucher dans le sol recevant un repas une seule fois dans la journée. Elle avait faim et froid, sa gorge était sèche. Elle avala sa salive pour l'humidifier un peu.

Elle priait pour que dieu l'aide et que waël la trouva le plus rapidement possible car son bébé aussi est en danger maintenant mike a décidé de déclencher son accouchement d'ici deux jour elle ne sait pas ce qu'il compte faire de son enfant mais elle a l'espoir que waël le trouve avant que mike ne commet l'irréparable.

La porte s'ouvrait en fracas avant qu'une jeune femme ne soit balancer à l'intérieur comme une vulgaire petite chose. La porte se referme pendant que nihad dévisageait la jeune femme qui avait le visage cacher par ses cheveux.

Que fût sa choque en voyant cette dernière balancer ses cheveux en arrière une magnifique sourire collée au lèvres.

Nihad: Mira, murmura-t-elle faiblement avant de sombrer un sommeil profond