les tournants de ma vie.

chapitre 20.

Salam aleykoum.

Dans la peau de nihad.

J'ouvre doucement les yeux je m'assois sur le lit je regarde mon corps dénudé je fronce les sourcils alors que les événements d'hier me reviennent froidement.

Je ferme les yeux en essayant de maîtriser les battements de mon cœur je me rends compte que je ne suis plus vierge.

Ma virginité je me suis tellement battue pour ne pas la perdre dans ce monde de terreur que je vivais.

Je me sens vide totalement vide je ne regrette pas ce qui s'est passé entre nous parce j'étais constamment consciente.

En voulant m'éloigner des monstruosités souvenir de mon passé je me suis jetée dans ses bras sans arrière-pensée.

Regrette-t-il ce qui s'est passé entre nous je pense que le lit vide de toute trace de lui répond déjà à ma question.

Je passe mes mains dans mes cheveux en me demandant que deviendra notre relation maintenant prendra-t-il un autre tournant ou on continuera de ne pas se calculer comme on l'a toujours fait.

Je me lève pour me diriger vers la salle de bain mais la douleur que je ressens me force à me rasseoir brutalement sur le lit.

La porte s'ouvre sur lui il vient vers moi puis me tend sa main réticente au début mais je finis quand même par y posé la mienne il m'aide à me lever et m'entraîne dans la salle de bain.

Il m'aide à rentre sous la douche puis par fermer la chaise anglaise en s'asseyant dessus.

Moi: tu peux sortir, lui demandais-je.

Waël: il hoche négativement la tête, je t'ai déjà vu nue alors je ne vois pas pourquoi tu as honte que je reste là.

Je vois, j'active la jet d'eau à commencer en me baigné n'ayant aucune envie de débattre il sort son téléphone et scrolle son regard dessus je finis par éteindre l'eau je me couvre avec une serviette avant de me brosser les dents.

Il m'aide à ressortir de la salle de bain il change les draps, me pose sur le lit il part en direction du dressing tandis que je fixe un point imaginaire ne comprenant toujours pas le tournant qu'a pris notre relation.

Il revient en me donnant un jogging gris, un t-shirt oversize noir et mes sous-vêtements.

Je m'habille sous son regard je ne saurai décrire l'aura qui brûle dans ses yeux.

Il me tend un plateau garnis je me mets assouvir la famine qui danse à moi.

Après avoir fini de manger je le remercie il se contente d'hocher la tête il le prend avant de le posé sur la commode.

Moi: pourquoi je lis de la culpabilité en toi.

Il semble surprit par ce que je viens de dire mais se reprend en abordant encore son air impassible.

Moi: j'étais totalement constante alors tu n'as pas besoin de t'en vouloir.

Waël: c'est n'est rien de la culpabilité nihad.

Moi: alors du regr...

Ma parole se coupe quand il pose ses lèvres sur les miennes mon visage entre ses mains il rompit le baisé en ancrant son regard dans le mien.

Waël: je t'interdis de penser à ma place, dit-il entre deux baisés, tu es à moi nihad depuis le jour où j'ai relié ton nom avec le mien et hier j'ai juste marqué ma territoire, il niche sa tête dans mon coup, je ne partage pas et ça tout le monde doivent le savoir.