Les lumières aveuglé nos deux concurrents, qui se soir étaient là pour s'affronter pour la deuxième fois.En duo encore.
— Et bien c'est à vous de commencer Jordan Bardella. Dit Caroline.
Les premières minutes de mon point de vue rendaient l'atmosphère tendue.
Maintenant autour de Gabriel.
Mais je ne pus m'empêcher de le couper dans ses mensonges mensongers.
— C'est faux.
— C'est vrai.Je me tournai pour l'affronter ce qu'il faisait déjà. Quand la parole fut à moi, je me permis de reprendre ses propos et de les corriger un par un.
— Mais pas du tout Jordan Bardella !
— Laissez-moi finir.
— D'accord...
— C'est pour ça que monsieur Attal ne sait pas ce qu'il dit comme à son habitude.Un débat qui semblait entourer d'une aura malsaine.
Un nouveau jeu de regard, c'était instauré.
— C'était à l'époque ou c'était aujourd'hui ! Le Premier ministre commençait à bouillonner.
— Ohh soyez...restez élégant monsieur Attal,
— Mais je-
— Restez élégant.Le cœur de Gabriel s'emballa soudainement, donnant l'impression que son corps entrer en contact avec de la lave.
Jordan dit cela avec un tel sourire que Gabriel ne savait plus quoi regarder, sa fossette ? Ses lèvres ? Ses yeux ? Ses épaules ?
La chaleur montait en lui comme de la braise. Tandis que monsieur Bardella semblait être calme, il pouffait et ne se cachait pas des cameras, pour détailler le Premier ministre sans retenue.
Les joues rouges de nouveaux, le débat arriva a sa fin.
— Le deuxième débat pour Gabriel Attal et Jordan Bardella merci d'avoir regardé ! bonne soirée à tous !
Enfin, les deux adversaires pouvaient se lever, pour se quitter par une poignée de main.
— Bien joué monsieur Bardella. Rajouta Gabriel, pendant qu'ils se serraient la main.
Jordan lui esquissa un léger sourire avant de serrer un peu plus la main du Premier ministre touchant son poignée du bout des doigts.
Augmentant la pression chez Attal.
— Je vous retourne ... le compliment.
Et les deux se quittèrent ainsi.
Mais dans sa voiture Attal reçu un appel.
— Ah Emmanuel c'est vous que ce passe-t-il ?
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Se tutoyer peut-on essayer ?
RomanceL'arrogance, est-ce donc cela qui pousse le Premier ministre a dévisager longuement Jordan Bardella ? Jordan Bardella, joue-t-il de la faiblesse du Premier ministre, ou il n'est pas indifférent aux petits sourires retournant de son adversaire. - D...