J'espère que celui-ci vous plaira tout autant que j'ai aimé l'écrire. 😍😍😍 bonne lecture 😍.
Assène-moi du plus violent des amours.
Un coup de couteau vient de se planter comme un coup de poing dans le fond de mon amour d'enfant. De forts moments intenses. Il me fait tourner la tête. J'en ai vidé des litres de mouille bien chaude et acide, ces derniers temps. Entre mes cuisses, puis son sperme entre mes seins qui giclait comme une fontaine dans ma bouche et entre mes fesses rouges. C'est une vidéo d'horreur pour les prudes, néanmoins pour moi, c'est une sensation plus qu'agréable. Je me sens poignarder à chaque fois que sa queue pénètre mon intimité. Les volets à demi clos, la lumière du jour ne m'éclaboussent pas entièrement. Je caresse du bout des doigts le tissu en satin, je sors d'un cauchemar absolument atroce. Mon souffle est coupé. Pré de moi, juste un oreiller vide. Une marque d'un corps absent, où peut-il être ? L'homme avec lequel je viens de dormir. Je regarde l'horloge au-dessus de ma table de chevets, elle indique 3 :30 du matin. Je prends le temps de respirer le parfum imprégné par le tissu sur lequel ses cheveux étaient déposés. Mes yeux perçoivent à peine le fond de ma chambre. Je suis en culotte. Mes cheveux sont collés à mon dos et sur mon visage en sueur, j'ai la sensation d'avoir couru un marathon. Alors que je suis allongée dans un lit. J'attrape une bouteille d'eau pétillante qui ne pétille plus vraiment, je l'avoue. Je marche jusqu'à la salle de bain et asperge mon visage d'eau.
— Tu as fait un cauchemar ?
Je sursaute !
— Tu m'as foutu une de ces frousses !
— Oh, je suis navré.
— Toi non plus, tu ne dors pas !
J'ai la sensation étrange qu'il n'est pas fatigué.
— J'ai du mal à dormir avec ton petit corps vulnérable et sans défense immobilisé à mon côté, brrr. Non ! Impossible ! Je ne peux pas rester sans rien faire.
— Je te rends vulnérable ?
— On peut dire ça !
Aurai-je réussi à percer sa carapace ?
Il s'avance vers moi et me serre dans ses bras. Sur son torse, je respire et ressens son battement de cœur. Sa peau est douce, elle frôle mon visage et je dépose un baiser afin de lui acclamer mon amour.
Il me repousse violemment, je ne comprends pas son geste.
— Qu'ai-je fait ? Tout en m'excusant aussitôt.
— Tu ne dois absolument pas faire ça, petite sotte.
— Pourquoi ?
— Zone interdite !
— Même pour moi ?
— Tu n'es pas la seule à qui j'interdis cette zone, ma soumise.
— Mais moi... Je ne suis pas comme toutes tes autres soumises.
— Tu es désobéissante. Et tu aimes me taper sur les nerfs.
— Tu trouves cela assez agréable, non ? Que l'on te résiste ?
Il froisse du nez. Je perçois son froid intérieur. Pourquoi est-il aussi distant ? Son passé lui est-il si insupportable ? Que me cache-t-il ? Je cherche à savoir ce qui se cache derrière ces airs de dur. Qu'est-ce qui le fragilise ? J'ai les yeux qui piquent. Puis je retourne dans la chambre. La mine déconfite dû à sa réaction. Plutôt surprenante pour dire vrai. Je me recouche, une larme sur le coin de l'œil. Il me suit au pas, je ne m'en suis même pas rendu compte.
— Je ne voulais t'offenser. J'ignorais à quel point j'ai agi méchamment.
— De façon brutale, oui !
— Parfaitement.
Je me redresse en essuyant une larme qui me coule sur le bord du nez.
— Tu ne t'ouvres à moi qu'avec tes éternelles punitions, comment veux-tu que ne te comprenne davantage ?
— Que veux-tu, je suis fait comme ça.
— J'en suis bien consciente, mais je suis ta copine, oui ou non ?
— Ma copine, il se met soudainement à souffler puis à exploser de rire.
— C'est ça aller, fous-toi de moi, je suis quoi alors qu'une chienne qui assouvit tes fantasmes pervers ? Je m'esclaffe et je hausse le ton afin de lui montrer ma désapprobation.
— Oh, calmez-vous, mademoiselle Victor. C'est la première fois que je l'entends m'appeler par mon nom de famille. Je reste bouche bée.
— Tu m'appelles par mon nom de famille désormais ? C'est nouveau ça encore ?
— Je pensais que ça t'aurait au moins administré un rire, bon tant pis écoute. J'aurais essayé.
— J'approuve alors !
Je le vois me sourire de nouveau, l'heure tourne et de toute façon, je n'ai plus sommeil, cela dit l'heure indique déjà quatre heures vingt sur le cadran. Je suis d'humeur câline. Bien que le sexe ne soit pas le moment. J'en meurs d'envie. Je le taquine du pied afin de l'inciter à lire dans mes songes.
— Que désires-tu Manon ?
Je le laisse un instant fulminer, puis je mordille mes lèvres en souriant comme une petite chaudasse.
— Toi, c'est toi que je désire et maintenant.
— Tu ne perds jamais le nord toi.
Il glisse sa main sur ma culotte, elle est chaude comme la braise. Je souhaite qu'il me la retire sans discuter. Ma bouche avait déjà un goût de lui. Le goût de son pénis bien calibré. Un membre bien gros de 20 centimètres. Lorsqu'elle est au repos, son phallus m'excite tout autant que lorsqu'il se lève pour me montrer tout son talent. Mon maitre à une façon bien à lui de me démontrer son approbation. Dès lors où je peux prendre quelques initiatives. Je caresse ma vulve sous ma culotte, je suis toute mouillée. Une glaire translucide et onctueuse glisse de sous mes doigts, la texture ressemble à de la colle, c'en est presque drôle de jouer avec, j'en lèche son contenu. Toutefois, avant même d'effectuer ma démarche. Il m'ordonne :
— Non ! Stop, ne dépose pas ce délicieux met dans ta bouche, j'en serai jaloux.
Délicatement, il attrape mon poignet et suce la glaire afin de m'exalter devant sa dégustation.
— Lèche-moi la chatte.
Oups aurais-je poussé le bouchon un peu trop loin ?
— Avec joie !
Sa langue provoque en moi un électrochoc, je suis surexcité. J'ai les tétons qui pointe en flèche. Puis il me demande de ne pas bouger d'un pouce. Un long moment passe, lorsque je perçois un objet étrange dans ses mains qu'il me brandit avec fierté.
— Tu veux me torturer ?
— T'immobilisé.
— Ça me va ! Dis-moi, la barre ne va pas trop m'embêter, j'espère ?
Il me retourne sur le ventre, me donne une fessée que j'ai bien méritée. Je ressemble à une grenouille et cela ne me dérange pas plus que cela. Puis mes bras sont enchainés à la barre ainsi que mes chevilles. Ce n'est pas une posture avantageuse. Néanmoins, mon postérieur est en évidence. Sa main glisse doucement sur ma vulve. Un spasme me traverse. Un coup de fouet, je manque de m'asphyxier. Pris par surprise, je me retiens de crier. Puis un second coup plus puissant et encore un autre. De plus en plus fort et douloureux.
Assène-moi ta souffrance, vas-y tant que je la comprends. Pensé-je tout en respirant plus rapidement.
— Alors, tu comprends pourquoi je suis comme ça désormais ?
— Tu es sadique.
— Je suis ton geôlier, ton bourreau et toi tu es la pour servir à ma bonne grâce.
— Bien Monsieur.
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Dans les sombres secrets de Manon
PuisiEntré dans le monde d'une soumise dévergondée. Dans ce milieu dans lequel elle vit, le Bdsm est un péché. Tous les fantasmes dont elle rêve vont-ils finir par se réaliser ?