Oui, je le sais très bien.- Ce serait cool d'y faire un tour, tu penses pas ?
Et je redoute ce moment. Je ne veux pas qu'il me sorte de sa vie..
- Keara, tu m'écoutes ?
...Je ne le supporterai pas.
- Keara ?
Je l'aime trop.
- Keara !
Je sursaute. Quoi ? Qu'est-ce qu'il a dit ?
- Hum ? Tu me parlais ?
- Non, je m'adressais au chien juste à côté de toi. Rigole t-il.
Je lâche un rire gêné.
- Qu'est-ce que t'as ?
- Rien...Je vais bien.
- Va falloir te la jouer plus convaincante si tu veux que je gobe ça.
Il arque un sourcil.
- Dis moi tout.
- Je...Je veux pas te déranger avec mes problèmes.
- Si je te le demande, c'est que ça ne m'ennuie pas.
Je soupire. Il est sérieux.
- En...Enfaite je...ça fait...tu vois...
Je me tais. Les mots se mélangent dans ma tête. Je ne sais plus quoi faire. Les larmes montent.
- T'es enceinte. C'est ça ?
Je me fige. On dirait que le temps s'est arrêté et que nous sommes les seuls à nous mouvoir. Et là, c'est trop. Mon cœur se serre puis une, deux, trois et bientôt une multitude de larmes coulent le long de mon visage. Je craque, je pleure.
Nicolas le remarque et me prends dans ses bras.
- Comment tu l'as su ?
- Je m'en doutais un peu depuis ta soudaine maladie.
- Maintenant qu'est-ce qu'on va faire ?
- Tu le gardes ?
Je décolle ma tête de son épaule et le fixe de mes yeux larmoyants. Son regard est impénétrable.
De quoi il parle ?
- Évidemment que je le garde ! Le contraire ne m'a jamais traversé l'esprit !
- C'est bon. C'était juste une question. Pas la peine de faire ta femme enceinte !
Il veut me faire rire mais je veux vraiment qu'on ait une discussion sérieuse.
- Est-ce que toi tu veux que je le garde ?
Je le sens se raidir. Bien que son avis n'impactera ni de près ni de loin ma décision, j'en ai besoin. Je veux savoir ce que je représente pour lui. Je soupire.
- Écoute, Nicolas. Je sais que tu ne veux pas d'enfants et je suis désolée de t'en donner. Je ne te demanderais pas de prendre ton rôle père ni même de l'assumer. Je voulais juste que tu le saches.
- À toi de m'écouter Keara. Ce n'est pas parce que je ne veux pas d'enfants que je ne m'en occuperais pas ou même que je ne l'aimerais pas. Je suis un gentleman et j'ai ma fierté. Cet enfant, on l'a fait tous les deux alors tu n'es pas seule, je suis là.
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D A I S Y
" Je suis dans la chambre "
Là, je viens de rentrer de boite avec mes amis. Il doit être 21 heures ou un truc du genre. Kurty m'a dit qu'il me préparait une surprise que je ne suis pas prête d'oublier. Je suis si impatiente.
Je monte à l'étage et longe le couloir jusqu'à notre chambre. À peine j'ouvre la porte que je me sens propulsée sur le lit.
Je reconnais mon lion
On s'embrasse. L'adrénaline monte au fur et à mesure que ses mains s'aventurent sur mon corps. Nos gestes sont donc plus rapides, plus brusques, plus sauvages.
Il déboutonne ma chemisette et je me retrouve en soutifs. Il me caresse mais moi, ce n'est pas ce que je veux. Je promène mes mains sur ses hanches jusqu'à heurter un truc bien dur.
Enfin...
J'ouvre la braguette de son pantalon et le lui baisse. Comprenant où je voulais en venir, il soulève ma jupe et m'enlève ma lingerie de ses mains expertes. Et là, je me retrouve au dessus de lui. Il veut que je prenne le contrôle.
C'est excitant
Au moment où il allait me rentrer dedans, je sens un métal froid sur ma chatte et pas le temps de comprendre que j'entends un coup de feu.
Je hurle et me tortille de douleur. Kurt, lui, semble assez ennuyé et me pousse sur le côté.
La douleur est insoutenable. Je sens mes muscles vaginaux se déchirer les uns après les autres.
- P....Pourquoi ? Lui demandé-je en pleurs, la bouche en sang.
Il se retourne vers moi avec son air las.
- Tu fais tâche. Donc, je te nettoie.
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K E A R A
General Fiction[....................] Il ouvre la porte et entre. Je râle avant de refermer la porte. Bonsoir la soirée merdique ! - Tu veux quoi ? - On sort. - Comment ça « on sort » ? Il souffle fort. - Mais t'es pas possible toi ?! Tu es fatigante à la long...