Not That kind of girl Tome 1

Parties XXVIII : CARTER / LANAYA

Dès que je passe ma langue sur son téton gorgé de désir, un son diablement sexy lui échappe. Merde, je n'ai jamais désiré une femme autant que Lanaya et ça me rend dingue. Comment peut-elle me faire autant d'effet ? Elle passe une main à l'arrière de ma tête pour me caresser les cheveux.

Tout en gémissant, elle ne cesse d'onduler sur ma queue aussi dure qu'un poteau. Une fois que j'ai fini avec son sein droit, je passe au gauche. Si seulement tu n'étais pas une escort Lana, tout aurait été différent. Sa peau est d'une douceur... Fais chier, si je continue à m'exciter, je vais définitivement finir par perdre ce jeu. Malaxant, mordillant, léchant et embrassant, je crois bien que je suis amoureux de cette magnifique poitrine. Je relève la tête pour observer Lanaya qui soutient aussitôt mon regard. Nous nous fixons qu'une fraction de seconde avant de céder tous les deux à cette tension qui nous consumait.

Quand ses lèvres se pressent enfin contre les miennes, un sentiment de soulagement me submerge. Je comprends très vite que cette femme causera ma perte. On s'embrasse comme deux amants fous amoureux qui ne se sont pas vus depuis des années. Chaque pression, coup de langue, mordillement sont frénétiques et à la fois maladroits. Bordel, j'ai besoin de la sentir... Immédiatement. Je soulève Lanaya dans mes bras sans pour autant mettre un terme à notre baiser. Je monte les escaliers aussi vite que je peux tout en prenant bien soin de ne pas me casser la gueule. Arrivé dans ma chambre, je la dépose délicatement sur le lit avant de me détacher d'elle pour retirer mon pantalon et caleçon à une vitesse qui me surprend moi-même. Je me penche ensuite sur Lanaya pour la toucher et l'embrasser. J'ai tellement envie de la baiser que je sens mon cœur battre dans tout mon corps.

- S'il te plaît, Carter, ne me torture pas plus, je n'en peux plus, alors prends-moi, gémit-elle.

Elle n'a pas besoin de me le demander deux fois. Je tends la main vers le tiroir à côté du lit et récupère un préservatif que j'enfile précipitamment pour faire ce qu'elle me demande. En la pénétrant, j'oublie tout, il n'y a plus que Lanaya en cet instant... La sensation que je ressens en la prenant est incroyable. Putain, je n'ai jamais ressenti ça pour aucune autre femme. L'entendre gémir sous mes assauts ne fait qu'augmenter mon excitation. Je la baise plus brutalement et au moment où je la sens se resserrer contre mon membre, je me retire rapidement. On vient juste de commencer, il est hors de question qu'elle vienne maintenant.

- Carter, souffla-t-elle de frustration.

- Je compte bien te baiser toute la nuit, donc on va faire durer le plaisir un peu plus longtemps, déclarais-je en la pénétrant de nouveau.

LANAYA
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Le souffle court, seules nos deux respirations se font entendre dans le silence plat de sa chambre. Je me demande quelle heure il peut bien être.

- Tu as perdu, lançais-je pour briser le calme dans la pièce.

Carter se retourne vers moi pour m'observer, un sourire narquois aux lèvres. Il sait parfaitement que ce que je viens de dire est faux. Nous avons perdu tous les deux. La tentation était bien trop forte que, l'espace d'un instant, j'ai toute oubliée.

- Ce n'est pas exactement le souvenir que j'ai.

- Tu m'as embrassé, tentais-je désespérément de lui faire croire.

Il y a 500 000 $ en jeu. Oui, et il fallait y penser avant de lui rouler une pelle, me gronde ma moi-intérieure. Mon séduisant partenaire me toise sans aucunement perdre son sourire, merde, il est beaucoup trop canon. Non, Lana ne te laisse pas avoir par sa gueule d'ange. Cet homme est un démon. Putain, oui, un démon ultra-sexy qui plus est. Stop !

- Lanaya, on sait tous les deux que c'est faux.
Zut, bye, bye, argent facile.

- C'est ce que dirait un mauvais perdant.