6 ✰: Diamante

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L'INSOUPÇONNABLE





MAYRA CHÀVEZ

À Dallas au Texas, aux États Unis.

— J'aurais du m'en douter que tu n'aurais pas tenue parole. affirme-je

— Je te retrouve enfin et tu crois que je vais te laisser repartir dans ton chez toi, on n'est pas dans le monde des bisounours alors arrête rêve sorcière. Le plus drôle dans tout ça, c'est que je n'ai pas eu besoin de bouger mon petit doigt, tu es venue à moi.

Erreur je suis pas venue ici pour toi mais pour Alzira, alias ta soeur.

— Tu vas payé les conséquences de tes actes.

— Ah oui ? dis-je faussement étonné. Pourtant je ne vois pas ce que j'ai peu faire de mal à part me défendre.

— Tu sais très bien de quoi je parle, alors joue pas à ça avec moi.

— Mais chérie on joue déjà.

Il m'attrape par la gorge et me plaque contre le mur.

C'est la dernière fois que tu m'appelles comme ça, c'est clair ? me chuchote-t-il d'une sanglante

Je dois pas me laisser intimider, je dois le montrer que j'ai pas peur de lui. Lui montrer que c'est moi qui commande. Mais je ne réponds rien, je lui laisse un peu d'autorité, voyons je ne suis pas si cruelle.

Où peut-être que si..

— Qu'est-ce que je fais la déjà ? demande-je en rompant le silence

— Ici c'est moi qui pose les questions. dit-il d'une voix tenace en repartant vers son verre de whisky

— Sinon quoi ?

Il se retourne en arquant un sourcil.

— Sinon quoi ? répète-je

— Eh bien on peut dire que tu as du cran, m'avoue-t-il en se rapprochant de moi et m'attrape par la nuque. Mais pas assez pour me dominer, Sorcière. prononce-t-il

Deuxième règle ne jamais se laisser se déstabiliser par son adversaire, toujours la tête haute en encrant mes yeux dans les siens. Ils sont d'une couleur si fascinante, je n'avais jamais rien vu de telle. Ses pupilles sont d'un mélange marron et bleu.

Il me lâche et je finis par me redresser.

— Je vais te donner une bonne leçon, ce soir là t'aurais du m'écouter et lever ton jolie petite cul de se sofa mais tu en as décidé à ta manière et s'en est le prie à payer pour m'avoir tenue tête.

— Ouais je sais j'ai un jolie cul par contre ce qui est d'écouter ce qu'on me dit, ça je ne sais pas le faire. lui adresse-je en le provocant

— Tu peux arrêté ton petit manège, je vais te la faire avalé ta langue.

Finit-il par me dire.

Seule dans son bureau avec lui, un moment de génance s'abat. Une bibliothèque remplis, sûrement d'anciens bouquins, des plans afficher sur le mur, un coin rempli de bouteilles d'alcool on dirait que c'est inée chez eux les mafieux et son bureau remplie de documents si je serais seule je vérifierais bien un coup d'œil mais je ne le suis pas.

L'INSOUPÇONNABLE  [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant