CHAPITRE 23-

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Jake a tracé trois cercles sur nos cartes des endroits où l'on pourrait éventuellement trouvé d'autres réfugiés. Du moins c'est ce que la carte qu'il a trouvé dans la maison abandonné indiquait. Trois localisations.

J'évite de dire à Jake que ces localisations pourrait vouloir dire tout et n'importe quoi. Des endroits qu'ils ont visités ou un camp entier de réfugiées, rien n'est sur. De plus je ne lui ai pas dis qu'il y a une chance que sa mémoire lui ait joué des tours et qu'il n'a pas les localisation exactes.

Mais puisque c'est le seul semblant de plan que nous avons je me tais.

Pourtant après le deuxième endroit visité non concluant je m'autorise à soupirer.

— Quoi ? S'énerve-t-il.

— Mes parents sont en danger et j'ai l'impression que tu as oublié ce pour quoi nous sommes partis de notre maison. Oui trouver d'autres réfugiées serait génial mais ça nous détourne du but. On a perdu deux jours pour aller d'un point à un autre sans rien trouver. Je m'inquiète pour mes parents et toi tu fais comme si je n'existais pas depuis des jour !

Il laisse planer un long silence. Trop long.

Je sors du bâtiment en furie. J'ai besoin de réfléchir. Nous sommes dans une ville en ruine mais pour le moment elle est la plus grande que je n'ai pu voire. Notre maison à la mer était un peu plus loin de la ville et elle comportait beaucoup de maisons de vacances.

Cette ville comporte plusieurs immeubles hauts, détruit pas le temps mais certains d'autres eux tiennent encore debout.

Jake à penser à aller voir d'abord dans les immeubles haut. C'est la que sont les points les plus stratégiques. En hauteur afin de voir de potentielle ennemies arriver.

Le soleil à son point le plus haut me brûle la peau. Je divague dans les petites rue de cette ville abandonnée, las de la compagnie hostile de Jake. Sa gentillesse était de courte durée.

Je passe devant plusieurs boutiques de vêtements, de nourritures toutes à moitié en ruines. Nous n'avons pas eu beaucoup de détail sur les guerres qui ont ravagé notre monde avant la Renaissance, mais après tout ce que j'ai pu voir je n'ose pas imaginer l'horreur que c'était à ce moment.

Je pénètre une petite cour entourée d'immeubles de trois étages. Une magnifique fontaine est planté au milieu. Il n'y a plus d'eau et dans le fond s'entassent des centaines de pièces de monnaie.

J'en ramasse quelques une pour les analyser. Nous n'avons pas de monnaie de nos jours. Seulement des cartes bancaires. Mais je sais que mon père aimait l'histoire et qu'il aurait adoré visiter toutes ses ruines et collectionner toutes sortes d'objets.

Peut-être devrais-je leur trouver quelques souvenirs. Leur donner des bibelots de l'ancien monde pour leurs prouver que je n'ai jamais cesser de penser à eux. Et de cette façon ils auront toujours un petits quelques choses pour ne pas m'oublier.





Je prétend alors être en vacances en quête d'une boutique de souvenirs pour surprendre ma famille.

Je ramasse les pièces les plus jolie de la fontaine que je range dans ma poche. Mon père sera fasciné c'est certain.

Je continue de déambuler dans les rues à la recherche de souvenirs, de préférences quelques choses qu'on n'a pas déjà dans notre ville. J'aimerais de l'authentique, du vintage, de l'histoire pur.

Après plusieurs heures à arpenter toutes les rues de cette ville en prenant soin d'éviter l'immeuble où j'ai laissé Jake, je capitule. Je n'ai rien trouvé de spécial. La plupart des objets sont cassés, réduit en poussière où pas très innovant... Rien qui pourrait les faire vibrer.

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