Avertissement de contenu : Ce chapitre contient des scènes explicites de torture physique et de violence intense. La lecture est déconseillée aux personnes sensibles à ce type de contenu.
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Point de vue de : Zane
Je ne me souviens pas quand je suis arrivé devant la cellule du traître.
Mais une chose est claire je vais savourer chaque instant.
Traître: Je vous en supplie ! Je suis innocent-
Sans attendre, je commence ma séance de torture, des méthodes que même les âmes les plus endurcies ne supporteraient pas.
Thomas se tient droit près de moi, son visage impassible, mais je perçois une légère tension dans ses épaules.
L'homme, ligoté sur une chaise en bois, me regarde avec des yeux agrandis par la peur. Je m'approche, un couteau à la main.
Homme: Je vous promets que-
Je tranche son premier doigt.
Le cri qui s'échappe de sa gorge est strident, presque animal, et ses pleurs commencent à couler mêlés au sang.
Zane: Si tu ne dis rien, tu vas subir bien pire.
Mais ses pleurs redoublent, et ma patience commence à s' effriter.
Je fais signe à un des hommes d'apporter le feu pour chauffer la lame de mon couteau.Homme: Elle m'a donné de l'argent !
Zane: Continue.
Sa voix tremble alors qu'i fixe le sol, incapable de soutenir mon regard.
Je commence à brûler sa chair, et l'odeur âcre de la chair carbonisée envahit la pièce, mais ce que je préfère, c'est le son.
Ce crépitement.. Cette preuve sonore de ma domination.Zane : Ne joue pas avec moi. Qui lui a donné l'adresse ?
Homme :J-
Thomas, toujours stoïque, le gifle violemment.
Thomas:Parle !On n'a pas toute la nuit !
Zane: Moi, j'ai toute la nuit.
Thomas me regarde surpris par mon ton glacial.
Zane: Je n'arrêterai pas jusqu'à ce que la mort l'emporte.
Avec une précision chirurgicale, J'enfonce la pointe chauffée du couteau dans son œil. Le globe oculaire crépite sous la chaleur, et l'homme hurle de douleur. Ses cris résonnent contre les murs de la cellule, mais ils ne font qu'alimenter ma concentration.
Zane: Puis, tu as aidé ses Hommes à brûler l'étage où moi et Caterina étions.
L'homme, pris d'une crise de panique, se met à convulser, les yeux révulsés.
Zane: Apportez-moi de l'eau oxygénée à haute concentration.
Thomas fronce les sourcils, intrigué, mais ordonne immédiatement aux hommes d'exécuter ma demande.
Thomas: Ce n'est pas pour nettoyer les plaies ?
Zane:Tu verras.
En moins de dix minutes deux hommes apportent un grand bassin rempli d'eau oxygénée concentrée à 30 % de peroxyde d'hydrogène Cette concentration, dangereusement élevée, est suffisante pour provoquer des brûlures chimiques sévères. Parfait.
Le traître, déjà affaibli, sa plaie à l'œil suintant de sang, tente de se redresser, mais ses forces l'abandonnent.
Sans un mot, je lui saisis la tête avec la main protégée et la plonge dans le bassin. Le liquide bouillonne et siffle à son contact. Les cris du traître résonnent dans la pièce, se mêlant au bruit effervescent du peroxyde.
Il se débat, son corps se tordant sous lagonie cherchant désespérément à échapper à la douleur nsupportable qui envahit ses poumons et brûle sa chair.
Je lève la tête du bassin, et il halète, crachant le liquide qui le ronge de l'intérieur.
Homme :E-elle voulait v-viser C-Caterina!
Zane: Je sais.
Homme: M-mais vous étiez dans s-sa chambre !
Zane : Donc, elle ne voulait pas me tuer?
Homme: Oui! Oui!C'était pour Caterina, pas pour vous!
Zane : Quand on ne sait pas, on se tait. Tu penses vraiment qu'elle m'aurait épargné et qu'elle aurait visé uniquement Caterina ?!
Tu crois que je laisserai quelqu'un toucher à un cheveu de Caterina sans riposter ?
Rien que pour avoir insinué une telle absurdité, tu vas regretter de ne pas être déjà mort !Mon sang bouillonne, et sans un mot, je replonge brutalement sa tête dans l'eau, observant avec une satisfaction morbide les bulles d'air se raréfier, signe de son agonie. Les minutes s'étirent, le liquide devient rougeâtre, saturé de sang
Thomas : chef..I-il est mort.
Zane: Je sais.
Je laisse le corps inerte retomber sur la chaise l'eau oxygénée dégoulinant de ses cheveux et de ses plaies béantes.
La pièce est silencieuse à présent, seule l'odeur âcre de la mort flotte encore dans l'air.Je me tourne et quitte la cellule, Thomas à mes côtés.
Zane :ll y a longtemps avant que tu ne viennes, je lui ai brûlé son manoir.
Thomas reste silencieux digérant ce qu'il vient de voir.
Zane : Elle nous vise, moi et Caterina. Adriano a dû lui parler du collier.
Thomas : Donc, on doit partir d'ici..?
Zane: oui.
Je me tourne lentement vers lui.
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Point de vue de : Thomas
Zane: Tu es aussi pâle qu'un fantôme.
C'est presque divertissant de voir quelqu'un comme toi se décomposer devant une simple scène de torture.Le chef me regarde avec une intensité quasiment effrayante.
Il pense que je cache quelque chose..?
Puis, il tapote mon épaule, ce qui me fait sursauter.
Thomas : Je... je suis désolé, chef. Je vais rester concentré. C'est juste que voir ça de si près, ça... ça ne laisse pas indifférent.
Ensuite, je ressens une montée de honte alors que mon chef se tourne avec un sourire en coin.