Les plus grandes nurseries d'étoiles, ils donnent naissance aux plus massives des étoiles.
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note sur l'abréviation : très spécifique mais (m/r) sera votre métier de rêve! pensez à quelque chose que vous avez toujours voulu faire.
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La matinée était passée à toute vitesse... Peut-être était lié au fait que je m'étais réveillée il y a trois heures ? Ou justement au fait qu'il n'était que 14 heures. Toujours était-il que la thérapie arrivait toujours trop vite et qu'encore une fois je ne voulais pas y mettre les pieds.
Assise dans la voiture, je tentai d'atténuer mon souci en me rappelant qu'il ne me restait donc que 2 séances avant la liberté. Comme toutes les autres, elles n'allaient pas être si terribles que dans mes pensées mais il existait toujours la possibilité que j'aurai pu être autre part pendant cette heure.
Un tic nerveux secouait ma jambe continuellement alors que le silence laissait mes pensées divaguaient. Ma mère ne parlait que très peu au volant pour une raison inconnue (concentration ?) donc il n'était pas hors normes que je profite des trajets pour rester plongée dans mes réflexions.
à demain ! ;)
Pas la peine d'ouvrir la conversation pour me rappeler parfaitement du dernier message d'Oikawa. Après mon débordement mercredi soir j'avais été soulagée de voir que rien n'avait changé dans nos échanges. Jeudi et vendredi avaient encore laissé place à de longues conversations, seulement stoppées par le sommeil. Aujourd'hui allait être la première fois que je le revoyais depuis qu'il m'avait donné son numéro et j'était heureuse de dire que j'en connaissais bien plus sur lui.
Néanmoins, je ne savais toujours pas la raison pour laquelle il était dans une thérapie en premier lieu mais je me rappelai vite qu'il n'en savait rien non plus à mon égard. Il y avait une sorte d'accord non dit entre nous où nous refusions de parler de nos problèmes sérieux, se concentrant au contraire sur des choses légères et, certes, futiles.
C'était en parlant de ces choses futiles qu'il m'aidait à m'échapper de mes soirées de révisions. Avant de lui parler, je résumais mes nuits soit à bosser soit à me tourner en rond dans mes pensées, considérant chacune des issues possibles de mes examens. Dorénavant, mes nuits étaient plus longues et plus calmes, pas que je ne travaillais plus mais au moins, je pouvais m'endormir en paix sans ressentir le besoin de me poser des centaines de questions.
Après quelques feux rouges, le bâtiment de béton apparut par delà la voiture. Contrairement à ce que j'avais pu penser, il faisait assez chaud pour une journée de décembre si bien que je ne portais qu'une petite veste. Le soleil tapait dehors, aussi maigrement qu'il le pouvait mais il tapait, et je remarquai quelques promeneurs baignés dans les rayons, un sourire plaisant aux lèvres.
D'un autre côté, les fêtes de fin d'année approchaient à grands pas à la grande joie des citadins mais pas la nôtre. J'avais entendu dire que Sendai décorait déjà la ville mais chez nous, le nouvel an voulait surtout dire « froid » sans la consolation des festivals.
— Je t'avais pas demandé mais tout se passe bien ?
Ma mère sortit de son silence et en entendant sa question, je ravalai une réponse sèche pour dire à la place :
— Ah oui bien sûr.
Seul un reniflement me parvint de la conductrice lorsqu'elle passa l'entrée du parking. Comme à son habitude, ce dernier était presque vide aussi ma voiture pila en face de l'entrée. J'avais déjà attrapé ma veste depuis la banquette arrière si bien qu'en quelques secondes j'étais déjà hors de la voiture.
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𝐇𝐈𝐆𝐇 𝐀𝐂𝐇𝐈𝐄𝐕𝐄𝐑𝐒 | 𝘵. 𝘰𝘪𝘬𝘢𝘸𝘢 𝘹 𝘳𝘦𝘢𝘥𝘦𝘳
Fiksi Penggemar❥・"ᴡᴇ ᴄᴀɴ ꜰᴀʟʟ ɪɴᴛᴏ ᴛʜᴇ ꜰʟᴏᴏʀ, ᴡᴇ ᴄᴀɴ ʜɪᴅᴇ ʙᴇʜɪɴᴅ ᴛʜᴇ ᴅᴏᴏʀ" Toute ta vie, on t'avais trouvée spéciale, hors du commun jusqu'au jour où la vague t'avait rattrapée. Pourtant tu n'étais pas la seule à sentir ce vide ; un inconnu connaissait aussi se se...