no es tan malo compartir

7- conciliaciones

📍 Barcelone, Espagne

PDV de Berta Gallardo :

Le match vient de commencer je suis en place famille avec Camille Rueves, elle est concentrée sur le match.
Son regard se porte sur le joueur numéro 2, Fermín m'avait prévenu qu'il y a avait quelque chose entre les deux colocataires.
C'est la mi-temps et les garçons perdent 2-0, avec toutes les blessures c'est compliqué.

Je suis au comptoir avec Camille, nous prenons un verre de Coca. Les parents de Pau sont présents, je ne sais pas si Camille l'est a déjà rencontré.

- Tu as rencontré les parents de Pau ?

[Camille]: Non.

- Ils sont juste là avec Irène sa sœur, je vais aller les saluer viens.

Je sens le regard de Camille se poser dans le mien, elle trifouille ses doigts comme ci elle était stressé.
La famille de Pau sont des personnes très aimable et gentils, elle ne devrait pas s'inquiéter.

- Salut les Cubarsì.

[Irène]: Salut Berta, comment tu vas ?

- Très bien et vous ?

[Irène]: Super. "me sourit elle".

Irène est une femme très souriante, tout comme son frère d'ailleurs.

- Je vous présente Camille Rueves, la colocataire de Pau. "dis-je en montrant Camille".

[Mère de Pau]: Nous sommes heureux de te rencontrer Camille. "sourit la mère du jeune homme".

[Camille]: le sentiment est partagé.

La brune claque la bise à chacun d'eux tout en gardant son sourire qui illumine son visage.
Irène et nous deux sommes assise attendant le départ de la seconde mi-temps qui devrait débuter dans quelques secondes. Les joueurs sont tous placés, ils semblent encore plus déterminés qu'à la premier mi-temps. Mon copain n'est pas encore sur le terrain, je le regarde qui me salue du banc.

[Irène]: Et alors Pau n'est pas trop chiant avec toi ?

[Camille]: Non il est adorable. "sourit elle".

PDV de Camille Rueves :

Je discute avec la sœur de mon colocataire, le match se déroule plutôt mal pour nos barcelonais. C'est la 86' et ils perdent 4-2, Pau est toujours sur le terrain et je vois qu'il est agacé. Je comprends totalement son agacement, ses coéquipiers en défense ne l'ont pas du tout aidés.

C'est la fin du match, les joueurs rentrent dans le vestiaire directement. Leurs joues sont rouges, ils sont déçus et c'est compréhensible.

[Irène]: On va rejoindre Pau en bas, tu viens ?

- Je vais vous laisser en famille.

[Irène]: Comme tu voudras.

La blonde descend les escaliers suivie de ses parents rejoignant le couloir des vestiaires.
Seulement quelques minutes après je descend avec Berta. Les parents sont dans le couloir, Pau n'est pas là.

- Pau n'est pas là ? "demandais je".

[Irène]: Il est déçu, il ne veut voir personne

Je ne répond rien, c'est compréhensible.
J'entre dans la pièce où sont les joueurs en suivant Berta. Ils sont tous assis devant leurs leurs casiers, aucuns d'eux ne parlent.
Je m'approche de Pau qui à la tête baissée en direction de sol. Je m'accroupis devant lui en déposant mes mains sur ses genoux. Son visage se lève plantant ses iris verte dans les miennes.