📍Suisse, Ostermundigen
PDV DE CAMILLE RUEVES :
Je viens de me réveiller, Pau et moi nous nous sommes endormis rapidement hier soir. Il était fatigué et moi aussi, je me lève faisant attention à ne pas le réveiller, je dépose le plaid sur ses épaules avant de rejoindre la cuisine pour préparer le petit déjeuner.
Je suis entrain de faire cuire les pancakes quand des bras m'encerclent par derrière. Je lève la tête faisant face à la seule personne qui est dans cette maison.
[Pau]: Bonjour mademoiselle. "me sourit il"
- Bonjour jeune homme. "lui souriai-je en retour"
Il essaie d'attraper un pancakes mais je lui envoie un coup dans le torse le poussant vers l'arrière.
- touche pas à ça !
Le brun retourne dans le salon en faisant mine de bouder, je le regarde en me moquant de lui. C'est un grand enfant, il est si drôle.
J'arrive quelques minutes après et dépose l'assiette de pancakes sur le table, il ne perd pas une seconde avant d'en attraper un.
Je me moque encore plus.[Pau]: Quoi me regardes pas comme ça, tes pancakes sont trop bons. "dit-il la bouche pleine".
- On parle pas la bouche pleine.
[Pau]: Oui pardon maman. "s'amuse-t-il".
Je le regarde tournant ma tête de droite à gauche, l'aire de dire "j'en peux plus de toi".
Il me regarde en retour offensé et dépose sa main sur son cœur en me désignant coupable.
Je m'approche de lui, dépose mes mains ses deux pectoraux avant de le pousser pour qu'il s'allonge sur le canapé. Je suis dessus lui, nos visages sont si proche. J'ai envie de l'embrasser, mais finalement nous ne sommes rien lui et moi.- Bon aller je vais à la douche moi. "quittant cette tension qui aurait pû me faire craquer".
L'homme ne dit rien, comme ci il était devenu muet. Je le regarde une dernière fois avant de quitter cette pièce.
Qu'est ce que nous sommes entrain de faire ? On ne peut pas faire ça, nous sommes deux colocataires rien de plus.
Il ne suffit de quelques secondes avant que Pau me rejoigne dans ma chambre, heureusement pour moi je ne mettais pas encore déshabillée.- Pau mais ça va pas de rentrer dans ma chambre comme ça, j'aurai pu être nue ! "l'engueulais-je".
Il dépose ses lèvres sur les miennes en posant ses mains sur mes hanches avant de quitter la pièce me laissant complètement immobile.
Eh oui, il m'avait rendu la monnaie de ma pièce, je l'avais chauffé deux secondes avant mais il avait quand même gagné. Pau 1 Camille 0.[..]
[Mathis]: Tu viens me voir ce soir, j'ai une course ?
- Ouai carrément, c'est à qu'elle heure ?
J'ai été moins présente avec mes amis ces temps ci, je vais me rattraper. Avec Mathis nous entrons dans le cours de sciences, ce n'est pas la partie la plus passionnante de la journée, on va décortiquer un grenouille. Heureusement pour moi Mathis est avec moi et il m'a promis de le faire, quel homme galant !
[Madame Martin]: Camille tu pourrais aider ton ami au lieu d'être sur ton téléphone !
Je lève les yeux de mon téléphone pour regarder la professeur qui était debout devant moi.
- Je suis désolée madame mais une grenouille c'est mort je touche pas !
[Madame Martin]: Vous voulez bien me suivre dans le couloir, je voudrais vous parlez.
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no es tan malo compartir
Fanfiction- Alors tu es pressée de rencontrer ton colocataire ? - Je suis stressée, imagines on ne s'entends pas ! - Penses pas au mal Cam, je suis sûre qu'il est génial ! Alors comment est ce fameux coloc ?