19-no me rompas el corazón

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📍 Espagne, Barcelone

PDV de Pau Cubarsì :

[Casadó]: J'ai oublié mon téléphone, j'arrive. "nous dit-il nous laissant tout seul dans l'ascenseur avec Camille".

Les lumières de l'ascenseur s'éteignent, je regarde Camille qui me regarde également.

[Camille]: Me dis pas que l'ascenseur est en panne parce que je vais faire une crise d'angoisse. "me dit-elle respirant de plus en plus fort".

- Eh viens là, tout va bien se passer. "dis-je en posant sa tête contre mon torse pour la rassurer".

Je lui fait des papouilles essayant de la rassurer.
Je sais que c'est les gars qui ont montés un plan, mais je ne vais pas lui dire puisqu'elle va s'inquiéter plus.

Elle lève la tête et dépose ses lèvres sur les miennes. Camille intensifie se baiser en mettant ses mains sous mon tee-shirt.
Mon dieu l'effet qu'elle me fait, je descends mes mains le long de son dos m'arrêtant juste au dessus de son postérieur.

- Je peux ? "lui demandais je l'accord avant de mettre mes mains plus bas"

La brune hoche la tête répondant positivement à ma demande. Sa langue dans ma bouche et inversement, je la porte.
Nos baisers deviennent un peu plus intense à chaque instant.
Je dépose des baisers dans son cou prenant soin de marquer mon territoire.

- J'espère que tu as un foulard. "rigolais je".

[Camille]: Bien sûr.

Elle retire son haut ne me laissant aucune visibilité sur sa poitrine puisque nous sommes dans le noir.
Ses mains autour de mon cou, elle bascule sa tête en arrière appréciant le moment.

- Camille, je ne veux pas faire ma première fois dans un ascenseur.

[Camille]: Moi non plus.

Nous nous r'habillons après avoir trouvé nos vêtements dans ce noir.
J'espère que les garçons ne vont pas nous laisser encore longtemps ici.
Ça avait failli déraper mais je préfère faire les choses bien en prenant notre temps de le faire.

[Camille]: Pau ?

- oui ?

[Camille]: Après le match je dois rentrer en France. "me balance-t-elle".

- Pourquoi ? Il y a un problème ?

[Camille]: Il y a un hommage à mon père, je dois rouler au circuit Paul Ricard.

- Rouler ? Mais rouler quoi ?

[Camille]: C'est une course de karting.

- Je peux venir avec toi c'est la trêve hivernale après ça, je peux prendre des jours.

L'ascenseur s'ouvre laissant pas le temps à Camille de répondre.
Les garçons nous attendent devant tout content, je regarde la brune partir sans même adresser un seul regard à mes coéquipiers.

[Casadó]: Alors ?

Je trace ma route sans même lui répondre, ça ne vaut pas le coup.
Camille a laissé un froid en moi, pourquoi elle m'avait balancé ça sans même me donner aucun détails ou aucune raison ?

Je sais que les gars pensaient bien faire quand ils ont fait ça, mais nous n'avons pas besoin d'eux pour cela.

Le repas se termine, Fermín nous ramène à la maison.

no es tan malo compartirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant