Je me réveillais le lendemain, reposé et mes doutes semblant avoir disparu à mon grand soulagement. Les événements sociables me mettaient toujours la pression et je ne pouvais pas agir désagréablement puisque nous étions en famille. Derrière moi, un corps chaud me collait et des mains m'enserraient. J'eus un sourire, trouvant que j'étais à la bonne place. Je fermais alors de nouveau les yeux, la lumière du matin éclairant timidement les yeux et me rendormis jusqu'à un second réveil, dû au soleil haut dans le ciel. Cette fois-ci, j'étais seul dans le lit et grognais malgré moi. Je voulais non seulement retrouver la chaleur du corps à mes côtés et aussi Dean. Deux jours que nous étions officiellement en couple, ou aurais-je du dire officieusement puisque nous étions cachés actuellement, et j'avais envie de sa peau. Comme si mes pensées l'avaient attiré, il apparut en serviette dans la chambre. Ses cheveux mouillés étaient dans tous les sens et il se les séchait avec une autre serviette. Voyant mes yeux ouverts, il ferma la porte et la bloqua. Il se pencha pour me saluer d'un léger baiser sur les lèvres, et indiqua :
« Tout le monde est occupé en bas. »
J'eus un léger rire, et lançais :
« Information intéressante. »
Il sourit et regarda mon corps. S'humidifiant ses lèvres, il annonça :
« Dommage que je sois douché.
-Mais pas moi, indiquais-je en jouant de mes sourcils. »
Il ria, et secoua son visage alors qu'il laissa tomber sa serviette quand il s'arrêta devant nos valises. J'eus tout le loisir de détailler son arrière train, et je geignis :
« Tu joues avec mes nerfs. »
Il ricana alors que je virais le draps, redressais mon T-Shirt et virais mon bas et mon caleçon, et glissais ma main jusqu'à mon membre, bien réveillé. Volontairement, j'écartais les jambes et pris une position indécente.
« Je vais devoir jouer seul, soupirais-je. »
Un son surpris passa les lèvres de Dean, qui se tourna et écarquilla les yeux en me voyant m'affairer sur moi-même. Je le fixais, ma respiration se raccourcissant en notant le désir brûlant dans ses yeux. Il scruta sa serviette, mon pénis, le sien qui se réveillerait d'ici à quelques minutes sans aucun doute.
« Naos, dit-il. »
J'émis un son réflexif, et mordais en même temps ma lèvre parce que je jouais très bien avec moi-même. Je ne tins plus le regard incandescent de Dean, laissais tomber mon visage en arrière tandis que je m'affairais. Je me fis violence pour ne pas faire plus de bruits. Ma respiration, pourtant, se fit de plus en plus lourde. De mon côté, j'attendais une quelconque réaction de Dean et osais un regard vers lui. Ce fut le mouvement de trop puisqu'en quelques secondes, il fut sur moi et m'embrassa férocement. Il chassa aussi ma main de mon intimité et la plaqua au-dessus de mon crâne. Sa langue se fraya un passage dans ma bouche, et j'en fus fort heureux. En quelques secondes notre baiser vorace se transforma en pipe de la part de Dean, qui m'annonça au-dessus de mon membre :
« Aucun risque que je ne sois sale. »
Il avait même préparé une serviette. J'eus un léger rire qui se termina en jurons quand sa langue glissa sur moi. J'attrapais son oreiller pour étouffer mes bruits. Entre deux grondements étouffés de ma part, je murmurais :
« Tu as déjà tailler des pipes ? »
Un rire se répercuta sur mon aine, et Dean déclara :
« Non. Mais j'apprends par le mimétisme, Naos. Tu m'as beaucoup inspiré. »
Sur ces paroles, il m'avala et je mordis son oreiller sous le coup de l'émotion. C'était vraiment bon d'être dans sa bouche. Sa langue joua, il m'aspira, se retira et m'embrassa. Il redescendit et se fit de nouveau plaisir à me rendre fou. Je balançais mes hanches sans m'en rendre compte et j'entendis alors Dean tousser. Je me redressais, et déclarais :
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On dit que les opposés s'attirent...
Storie d'amoreDeux lycéens. Deux parents remariés. Naos et Dean ont grandi ensemble. Leurs parents se sont mis ensemble alors qu'ils étaient encore jeune. Cependant, entre eux, l'entente n'est pas au rendez-vous. Leurs différences est notoire. Quand l'un est spor...