Chapitre 50

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*Point de vue de Marie*
Je me mordus la lèvre. Qu'est-ce qui m'arrive j'ai une folle envie de l'embrasse. Non putain Marie reprends toi. Je n'eu pas le temps de tourner la tête qu'il écrasa ses lèvres contre les miennes. Ce fut un baiser plein de détresse, d'envie mais aussi d'amour. Je sens qu'il est encore amoureux de moi et ça me fait mal. Parce que moi j'aime Kendji. Plus que tout même. Je retire mes lèvres des siennes.
Moi : Excuse moi.
Zayn : Non c'est à moi de m'excuser. J'ai pas réfléchis ...
Moi : Ce n'est pas grave ...
Je détourna les yeux, mal à l'aise.

*Point de vue de Zayn*
Mais qu'est-ce qu'il m'a pris de l'embrasser ? Mais quel con que je suis! Je l'aime toujours ça au moins j'en suis sûr. Je la regardais puis baissais la tête.
Marie : Bon ben je vais y aller moi.
Zayn : D'accord. Ben salut et encore désolé.
Marie : T'inquiète c'est pardonné.
Elle me sourit et sortit de la chambre.

*Point de vue de Kendji*
Marie sortit de la chambre. Je lui sourit et elle vient s'asseoir à côté de moi.
Moi : Alors?
Marie : Il va bien. On s'est fait un câlin, on a parlé et ça fait du bien.
Elle sourit.
Moi : Tant mieux alors.
Marie : Embrasse moi.
Je la regarde avec incompréhension.
Marie : Embrasse moi Kendji maintenant.
Je ne comprends pas mais l'embrasse. Ce baiser est passionné, remplit d'amour, comme si elle voulait, m'annoncer quelque chose, effacer quelque chose? Je rompt le baiser.
Moi : Hé, on est pas à la maison là.
Je souris et elle rigole.

*Point de vue de Zayn*
J'ai tellement mal. L'amour fait tellement mal. Sans m'en rendre compte, les larmes se sont misent à couler toutes seules le long de mes joues. Hey faut que tu te reprenne Zayn, c'est pas le moment de pleurer. Je suis une vraie fillette moi en vrai. Ben oui c'est vrai je pleure tous le temps. Un homme ça ne pleure jamais normalement. Un homme qui pleure est une tapette, un homosexuel quoi d'après mon oncle. Mais le pire c'est de pleurer pour une fille. Si seulement j'avais mieux agis, elle serait toujours avec moi. De toute façon, j'agis toujours comme un con avec les filles.

*Point de vue de Marie*
Je me dirige vers un médecin.
Moi : Hum, excusez moi?
Médecin : Oui?
Moi : Quand est-ce que Zayn Malik pourra sortir?
Médecin : Ce soir.
Moi : Merci.
Je retourne m'asseoir.
Moi : Il sort ce soir.
Adeline : D'accord.
Plus personne ne parle. C'est long trop long.

*éclipse de la journée*
C'est l'heure pour Zayn de sortir. Nous l'aidons et montons dans la voiture direction la maison.

*Point de vue de Zayn*
On arrivait à la maison et je voyait la mère de Déborah en face de chez nous. Elle était en larmes. Je me demande ce qu'il se passe. Je descendait de la voiture et en plus je n'avais plus besoin de fauteuil roulant. Oui je sais vous allez trouver ça bizarre mais je me suis plutôt vite remis de mon mal de dos. Bref. J'allais donc vers la mère de Déborah.
Moi : Bonjour.
Mère de Déborah : Bonjour. Vous devez être Zayn?
Moi : Oui c'est exact. Et vous, vous êtes la mère de Déborah ?
Mère de Déborah : Oui mais appelez-moi Davina.
Moi : D'accord Davina.
Elle pleurait encore un peu.
Moi : Ça ne va pas?
Davina : Vous n'êtes pas au courant?
Moi : De?
Davina : Ma fille vous a donné son cœur.

*Point de vue de Marie*
On se regarda tous sous le choc. C'est donc Déborah qui à donné son coeur à Zayn? Zayn se retourna vers nous choqué. Je m'avance vers la mère de Déborah.
Moi : Bonjour madame, je suis une amie de Zayn.
Davina : Bonjour mademoiselle.
Moi : Je voulais vous remercier, votre fille est super courageuse. Je suis désolée madame ...
Elle ne me répond pas.
Moi : Je vais y aller moi.
Je regarde Zayn qui hoche la tête et retourne dans la maison.
Niall : Alors c'est elle qui as sauvé Zayn?
Moi : Ouais ...
Je m'ecroule sur le canapé et Kendji vient me rejoindre.

*Point de vue de Zayn*
J'étais vraiment sous le choc d'avoir appris ça. J'allais dans la cuisine et versais quelques larmes. Je m'en veux tellement de l'avoir jeté comme une merde. Si j'avais su. Je pensais qu'à me soulager. Purée mais je suis vraiment un salop moi. Je ne devrais même pas exister vu tout le mal que je fais. Je m'asseyais sur une chaise et pensais aux moments que j'ai passé avec Déborah. En fait, elle me manque.

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#Marie&Adeline

Moi, ma meilleure et nos deux colocataires [EN PAUSE INDÉTERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant