Que feras-tu si je t'aimais?

Song thirteen

P.D.V SungDong

J'ouvris brusquement les yeux, réveiller par un énorme bruit sourd. Je me relevai par la suite en regardant autour de moi la salle. Cet étrange son venait du fait que je m'étais endormit sur le piano. J'avais surement bouger.... Je me frotta les yeux qui ont surement gonflé, avant de m'étirer doucement. Je me leva peniblement pour prendre mon portable, une fois celui-ci en main je l'alluma. 18h03 s'affichait sur l'écran de verouillage suivis d'une multitude de message. Je les suprima tous d'un coup incapable de trouver la force pour les lire. Quand je m'abaissa pour prendre mon sac, mes cheveux encore humide me retomberent sur le visage. C'est a se moment la que je lacha un petit éternuement. Je me releva tout en prenant mon malheureux sac, qui avait reçu le même sort que moi, sur mon épaule droite. Je redoutais de l'ouvrir pour y decouvrire l'état de mes cahiers, alors je me contentais de faire comme si je ne savais rien. Vu l'heure, je devais me rendre a l'agence au plus vite, donc je n'ai pas le temps de me changer chez moi. Je sortis, donc, prudemment, de la salle pour maventurer dans les escaliers. Personne. Normale, vu l'heur, je me dirigea vers les vestiaires du gymnase.  Mais, c'est quand j'ouvris la porte de celle-ci, que des voix surgisse.

- Pfff...Elle l'a bien chercher de toute façon! Dit une voix féminine inconnu. Je rentra doucement pour y voir la propriètaire.

- C'était tellement drôle! Je pouvais distinguer trois fille habiller de tenu de danse, mais je savais qu'il y en avait un quatrième cacher par les casier.

- Tu aurais vu son expression quand l'eau lui a atterri sur la tête? Les trois filles se mirent a rire. C'est alors que je les reconnurent. C'était elles qui m'avaient balancer le sceau d'eau.

- Tu ne ris pas HaRa? Mon sang se glaça. J'aurais dut m'en douter, Hara fessait danse le lundi soir, mais la dernière fois elle avait secher pour me voir danser moi...

- Ah... Quoi?

- Avoue que quand même, c'était drôle de voir la tête de cette peste quand elle ta vu! Les voix s'estompait peu a peu signe qu'elles s'en allait. Comment as tu pu être amie avec elle?

- Je.. Me le demande...

C'est sur ces mots qu'une porte se ferma, prouvant leur départ. Je rentrai a mon tour, choquée. Alors tout n'était que mensonge? Pourquoi? Comment? Plusieurs questions me virent a l'esprit tandis que j'enfilais mon survetement. Il n'etait pas tres épais mais je ne peu pas sortir tremper comme je suis! Je foura mon uniforme dans mon sac en piétinant mes bouquins déjà sacager. Tant pis, pensai-je en sortant du vestiaire. Une fois dehors, un vent plus que glaciale me prit. Je me mit a claquer des dents mais ne retroussa pas chemin. Je s'avait que je pouvait rentrer et m'expliquer après, mais une part de moi voulais a tout prix aller a l'agence mainteanant! Peut etre pour ne pas repeter les erreurs et avoir une mauvaise impression? Ou peut etre pour m'expliquer devant le directeur a propos de ce baiser. Nan, rien de tout cela. Je voulais y aller pour le voir. Lui. Pour avoir une chance de le croiser dans un des couloir, pour lui sourir discrètement, pour qu'il me face un petit clin d'œil complice... Pour s'implement me rassurer en le voyant. Oui, voila pourquoi je voulais a tout prix aller a l'agence.

J'ouvris les lourde porte de celle-ci et me presenta a l'acceil. La veille dame, un peu rondelette, étant au téléphone, me fit pasienter. Quand elle racrocha, elle me regarda d'un œil interogateur. Celle etait surement dut a ma tenu peu commune. Je lui communiqua mon nom et elle me donna plusieur papier. Elle me donna ensuite une carte que je devrais presenter a chaque entrer et sortit de l'agence. Je la remercia et m'aventurai dans les couloirs. Je me mit alors a chercher le numero de porte qui m'était attribuer. Je savais que, si toute cette histoire n'aurait pas eu lieu, JungKook serait a mes coter pour m'indiquer le chemin. Je l'imagine en train de sourire en m'aidant a porter toutes ses feuille innutile. Je l'imagine en train de tendre le doigt pour m'indiquer la bonne direction. Je l'imagine simplement...