Durch die Zeit

Chapitre 21

Le lendemain matin j'apprends qu'il ne faudra à Gustav qu'une semaine pour qu'il nous fabrique une nouvelle montre. Rien qu'une toute petite semaine...Mais je dois chasser toute ces idées pour pouvoir profiter pleinement de cette belle journée. Je me maquis, me coiffe et m'habille en vitesse je ne veux la faire attendre. Rien que Clène et moi je suis trop content. Je m'apprête à partir quand je croise Tom (le vieux).

-Tu pars où comme ça, de si bonne heure?
-J'ai un rendez vous.
-Avec une fille ?
-Possible.

J'hésite à tout lui raconter, mais non, pas tout de suite.

-S'il te plait ne dit rien à Bill il va un encore me charrier, ça me soul.
-T'inquiète, tu me connais, je suis une tombe.
- Justement je te connais trop bien pour savoir que tu tiendras ta langue 3 heure et qu'après tu diras tout.
-Si t'es pas content ta qu'à nous la présenter ta charmante demoiselle.
-Ouais bref... à plus.

Je cours jusqu'à la plage. Mais elle est immense ! Heureusement il n'y a pas encore beaucoup de monde à 10 heures. Je l'aperçois adossé à un palmier. Mais elle fume ?! Non en fait ça sort de la fumée de couleur ?!

-Salut ! S'écrit elle, et elle saute dans mes bras.
-Salut mon amour, t'as mis beaucoup de parfum aujourd'hui.
-Mais non c'est ma « vapote » abrutie, rigole t'elle.
-Ta « vapote » ??
-A oui j'ai oublié que tu venais du passé, mince. En fait une « vapote » c'est comme une cigarette sauf que c'est sans danger pour la santé, c'est de la vapeur d'eau qui sent le parfum et ça sort colorée. C'est super fun !
-Euh ouais peut être

Nous marchons sur le sable chaud, main dans la main. Tout est parfait. Elle pose sa tête sur mon épaule.

-J'arrive pas à croire que je sors avec toi ? Me souffle-t-elle.
-Si tu ni crois pas je n'ai qu'à m'en allait, ris-je.

Je pars devant mais elle me saute dessus par derrière ce qui nous fait tout les deux tomber en avant.
Nous nous retrouvons par terre. Elle m'embrasse tendrement.

-J'y crois plus que tous mon amour.

Nous partons tout les deux dans un fou-rire. On joue ainsi sur la plage durant toute la matinée. On se court après, on tombe et on s'embrasse encore et encore.

-Ça se passe bien avec Bill et les autres, me demande t'elle.
-Ouais tranquille sauf avec Bill est insupportable.
-Ah j'avoue ça doit être trop étrange de se voir en plus vieux.
-T'imagine même pas. Tu fais un truc cet aprèm ?
-Non ma cousine travaille toute la journée.
-Tu veux venir dans chez moi.
-Ouais trop ! Je n'osais pas demander.

Nous nous dirigeons vers la villa. Clène est impressionnée par la taille. Georg (vieux) est en train de faire un petit barbecue sur la terrasse.
-Oh salut Clène, s'exclame Tom suivie de près par Georg et Gustav.
-Ça va ?
-Oui tout est génial avec Bill.

Non pas lui ! Il faut vite la cacher.

-Tu as ramené quelqu'un ? Me demande Bill.
-Euh oui elle s'appelle Clène c'est ...une amie.
-Bonjours.
-Et pas un peu plus ?
-Tu devrais le savoir c'est ta vie aussi, lâchai je.

Oh my god où est ce que j'ai embarqué cette pauvre fille.

-A table les enfants, cri Georg.

On se rassemble tous autour de la table du jardin. Tout le monde pause des questions sur Clène. On aurait du rester sur la plage on était plus tranquille. En plus Bill se marre tout le temps sans raison. Si elle se rend compte que je vais devenir comme ça, elle ne voudra plus jamais me voir. De toute manière il ne nous reste plus qu'une semaine ensemble. Une semaine...
A la fin du repas Clène nous propose à moi, Gustav, Georg et Tom de nous emmener faire un petit tour dans Los Angeles. Je sais pas pourquoi mais je sens qu'elle veut aller à un endroit précis, c'est une surprise elle est trop mignonne.

-Alors là je crois qu'il faut tourner à gauche, non à droite ou tout droit peut être.
-Si on se promène juste pourquoi y'a une direction précise, souligne Tom.
-Comme ça.
-On y ai !
- Ah je savais que tu nous emmener quelque part, s'écrit Georg.
-On le savait tous, rigolai je.
Nous entrons dans un grand bâtiment. Mais ceux sont des salles sans apesanteur, c'est génial !

-Alors ça vous plait ? C'est futuriste n'est ce pas.
-Trooop !

Je la serre de toutes mes forces dans mes bras.
Nous payons nos places et entrons. La porte est à peine fermée que je sens mon corps se détacher du sol. Je vole ! Enfin non je nage plutôt, c'est trop marrant se truc.

-Je veux descendre ! Se plaint Gustav.
-Arrête de nager Bill ça fait trop con, se marre Georg.
-Mais je t'emmerde.
-Eh j'ai perdu ma casquette, tu peux me l'attraper Clène s'il te plait elle est tout près de toi.
-Rêve.

Elle me l'envoi mais Georg l'a récupère avant.

-Georg mon ami..., essaie Tom.

Mais il fait direct la passe à Gustav. Tom soupire et tente de s'approcher de moi. Il me pousse de toutes ses forces sur Clène. Nous tournoyons l'un sur l'autre pendant quelque seconde.

-Vous êtes mignon tous les deux.

Au bout de trois quart d'heures de rire intensif, la pression descend et nous retombons sur le sol. Ce moment était magique. Quand nous rentrons à la villa, les autres ne sont plus là, ils doivent surement travailler ailleurs.

-J'ai vu que y'a une super salle de sport au sous sol on y va, il y a même une table de ping-pong, dit Tom.

C'est vrai la salle est superbe. Appareil de musculation, table de ping-pong, vélo d'appartement, tapis de cours... Au mur il y a plein de poster de nous.

-Aller on se fait un petit tournoi ? Proposai-je.
-Tu dis ça parce que tu gagne tout le temps, dit Gustav.
-Absolument. C'est partie !

Le premier match c'est moi et Georg. Ça se joue de peu mais je gagne quand même 9-11. Puis après c'est contre Tom le match le plus stressant en plus Clène a l'idée de mettre la radio.

Je veux t'emmener au pays merveilleux
Là où mon cœur bat à cent à l'heure toi et moi en amoureux
Toi et moi, toi et moi en amoureux

Putain c'est quoi cette musique de merde. Je l'emporte quand même 8-11.
Après ce n'est plus moi qui joue.
C'est Los Angeles radio nous vous rappelons que le grand 10 km se déroulera dans deux jours. Les inscriptions sont encore ouvertes ! Nous vous attendons nombreux !
-Une course! On la fait ! s'exclame Tom
-Oui, s'écrit Georg.
-Moi aussi je veux bien, dit Clène, j'ai fait le marathon de Berlin.

Mais moi je ne veux pas le faire le problème c'est que Clène veut.

-Pourquoi pas, dis je.
-Toi faire du sport, s'exclame t'elle.
-Contrairement à se que tu penses on fait beaucoup de cardiaux pour les concerts qui sont très physiques.
-Allez c'est votre match ensemble, dit Gustav.

J'envoie la balle super fort pour lui prouver que je suis sportif. Mais elle arrive en plein dans ses doigts.

-Ça va ?
-J'ai rien senti, tu surestimes ta force.

Elle a beau fanfaronné je gagne le match 3-11. Je remporte aussi le tournoie.
Malheureusement elle part juste après pour aller au restaurant avec sa cousine. Tant pis on passera la soirée tout seul ici.