Partie 33 : J'ai cru mourir mais c'est dans tes bras que je revis.

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( je sais je mets du temps à poster les suites mais à chaque fois que je décide d'écrire y a toujours quelque chose qui me coupe dans mon imagination mdrr désolée encore une fois et merci à celles et ceux qui me suivent encore )

Précédemment :

La mere d'ali : benti ils ont raison. C'est ton mari, tu dois être là pour lui. C'est ca le rôle d'une femme. Une femme se doit d'être là pour son mari. Elle doit le calmer quand il est énervé, elle doit le consoler quand il va mal. Elle se doit être un pilier pour lui. Elle doit tout lui pardonner.

Je sais qu'elle a raison, qu'ils ont tous raison mais non. Je peux pas lui pardonner. Pas maintenant. J'ai trop la haine contre lui..

Le docteur rentre dans la chambre et me dis qu'ils doivent me garder en observation et que je pourrais sortir dans deux jours. Tout le monde rentre sauf Bilel. J'aime pas les hôpitaux et j'aime encore moins y dormir. Il le sait alors il est restait jusqu'à que je m'endorme. Vous vous dîtes surement que j'y suis resté longtemps sur ce lit d'hôpital sans personne mdr mais j'étais pas consciente. Là je le suis et j'ai peur de dormir dans un hôpital seule. Le lendemain je me réveille, j'ai mal au crâne et j'ai faim. J'essaie de trouvé le bouton pour appeler l'infirmière mais quelque chose me freine dans ma recherche. Sur le fauteuil à coté de mon lit, je vois Aymen couchait dessus. Il dort profondément. Je vais pas vous mentir en disant que ça m'a rien fait de le voir, c'est mon mari et je l'aime mais je lui en veut toujours et je sais pas y a un truc qui bloque. Il a l'air apaisé dans son sommeil. Il s'est laissé aller, je le vois à ses cheveux. Ils sont plus long que d'habitude mais je trouve que ça lui va bien. Sinon à part ça il a pas tellement changé. Bref j'arrête de l'admirer et j'appuie sur le bouton pour appeler l'infirmière. Elle arrive, je lui fais un signe pour pas qu'elle fasse trop de bruit pour pas qu'Aymen se réveille.

Elle : Ah je vois que monsieur est toujours là

- Comment ça ?

Elle : Eh bien hier lorsque vous vous êtes endormis votre frère, si j'ai bien compris, allait s'en aller et ce monsieur est arrivé à ce moment là. On lui a dit que les visites étaient fini mais il a insisté pour pouvoir rester en disant qu'il était votre mari. On a donc accepté de le laisser dormir ici, comment refuser à un mari aussi amoureux de voir sa femme

Quand elle a dit ça, ça m'a fait un pincement au cœur.

- Merci c'est gentil de votre part madame.

Elle : C'est normal, c'est mon métier de prendre soin de vous

Elle me fait un petit sourire que je lui rend.

- Sinon est-ce que je pourrais m'apporter à manger et un cachet pour le mal de tête s'il vous plait ? J'ai un mal de crâne horrible !

Elle : Je vais aller chercher votre médecin, on ne sait jamais ce qu'il vous arrive vue que vous venez de vous réveiller d'un coma.

Elle s'en va, je me tourne vers Aymen et je vois qu'il est réveillé et qu'il me fixe.

Lui : J'arrive pas a y croire..

Je le regarde mais je lui répond pas.

Lui : Putain t'es réveillé pour de vrai !

Je le regarde encore, il a les yeux tout rouge et cerné. Il va mal et quand je le vois comme ça j'arrive pas à lui en vouloir. C'est l'homme de ma vie, je l'aime et je l'aimerais à vie.
Je me décale un peu de mon lit pour lui laisser un peu de place et tapote sur le lit pour qu'il comprenne. Il se lève et se couche en me prenant dans ses bras.

Lui : Comment j'ai eu peur Ayna ! Tu sais pas toi ! Je serais devenu quoi sans toi ? T'es ma vie hbiba, j'peux pas vivre sans toi. Je suis désolé Nana tu sais pas comment je regrette ce que je t'ai dis ! J'suis devenu fou, c'était de ma faute si t'as pris la voiture. J'aurais pas du croire ce qu'on m'a dit, j'aurais jamais du douter de toi. T'es ma femme et j'ai confiance c'est juste que sur le coup j'ai pas réalisé. J'étais juste énervé et c'est parti en coui**e. Pardon, Pardon omri, pardonne moi d'avoir tuer notre fils..

Je lui prend la main, là ça va trop loin. Il croit que c'est lui qui a tuer notre enfant.

- Chuuut, arrêtes. Dis pas n'importe quoi. C'est Dieu qui en a décidé ainsi. Je te pardonne bébé

Il me serre plus fort encore et je l'entend renifler. je lève la tête et lui essuie ses larmes. y en a qui penseront que c'est un pd mais non, mon mari c'est pas un fragile. J'aurais trouvé ça bizarre qu'il ne pleure pas justement.. J'ai décidé de lui pardonner, j'arrive pas à lui en vouloir. L'amour prend le dessus. Aymen m'embrasse.

Lui : Putain ça m'avait manqué ! Tu m'as manqué hayati !

- Toi aussi omri

Il me ré embrasse

Y a le docteur qui arrive.

Docteur : heum heum

On se détache et je baisse la tête. Aymen quand à lui, il rigole. Je le frappe et il rigole encore plus.

Docteur : C'est beau à voir. Enfin monsieur à retrouvé le sourire !

Aymen : Ma femme s'est enfin réveillé, comment voulez vous que je ne souris pas ?

Docteur : Je comprend votre joie. Bon madame qu'avez vous ?

- J'ai mal à la tête. C'est horrible

Docteur : C'est tout à fait normal, vous sortez d'un coma assez long. Je vais vous amener des cachets et ça passera.

- D'accord merci docteur. J'ai faim aussi

Docteur : Le repas arrive à 12h

- et il est quel heure là ?

Docteur : 11h

Aymen : C'est bon je vais t'acheter un tacos, tu le sais que c'est pas bon les repas ici !

- Euuuuh.. Non je sais pas, j'ai jamais été aussi longtemps dans un hôpital..

Aymen : Ah ouais c'est vrai !! Non mais vas y c'est pas bon, c'est mieux tu goûte même pas ! Je vais t'acheter un tacos je reviens hbiba.

Il me fait un bisous sur le front et sort de la chambre avec le docteur.


( voilà la suite assez coute je l'avoue mais j'essaierais d'en écrire une autre dans la semaine. Mais je garantie rien parce que je suis en stage et ça me fatigue beaucoup. Déjà que cette suite je l'ai commencé y a un moment déjà et je viens de la finir mdr. Et faite pas attention aux fautes d'orthographes svp. Désolé encore pour tout ce temps d'attente. Love et force à vous celles qui continuent à me suivre malgré tout.. <3 )





Ayna - Avec ou sans lui, la vie continue.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant