( J'suis gentille je vous poste une petite suite surprise mdr remerciez Myriam c'est grâce à elle ! Kiss Love <3 )
Précédemment :
Je le vois le dire à Faress et les deux se dirigent vers moi.
Bilel : qu'est ce que tu fais là ?!
Il avait dit ça d'un ton calme mais effrayant.
Je baisse les yeux en entendant sa question mais je me suis rappeler les mot de ma mère me disant qu'il ne fallait pas que je sois faible devant les gens. Donc je relève la tête et le regarde dans les yeux.
- c'est mes parents aussi. J'ai le droit d'être là !
Faress : fermes ta gueule j'vais te baffer !
- vous avez aucun respect c'est mes parents, c'est leur enterrement j'ai le droit d'être là ! Vous croyez que papa et maman serez fiers de vous ? De ce que vous me faites ? Une famille c'est censé être unie ! C'est censé s'aider dans les épreuves de la vie. Vous vous êtes là vous me rabaissez plus bas que terre !
Bilel : c'est ce qu'on fait. On s'aide entre nous, en famille. Toi t'existes pas, on a plus de sœur. S'ils sont mort c'est de ta faute ! Si t'avais pas fait ta pute à sortir dehors ils seraient toujours là !
- je sortais presque jamais ! J'étais toujours à la maison à aider maman ! J'ai toujours était droite ! Cette fois là j'étais chez ta pute d'Anissa !
Bilel : la traite pas de pute ! Entre toi et elle c'est plutôt toi ! Elle nous a dit que t'étais pas chez elle. Que t'avais dis ça juste pour te couvrir, qu'elle pouvait plus mentir parce qu'à cause de sa les parents sont morts.
- quoiiiii ?
Alors là j'ai pas supporté. Je me suis dirigé vers Anissa. Elle avait shaynez dans ses bras. Je l'attrape part des cheveux je l'amène devant mes frères.
Elle : mais qu'est ce qu'il te prend ? T'es folle !
- alors comme ça moi j'suis une pute hein ?! Moi j'étais pas chez toi ?!
Elle : non t'étais pas chez moi ! T'étais chez Aymen ! T'as dis ça juste pour pas que t'es frères sache que t'avais un gars !
Là s'en était de trop. J'ai sauté sur elle et je la frappais. Je me défoulais sur elle. Bilel nous a séparé.
Faress : attends en plus t'étais chez un gars ? Les parents sont morts parce que t'étais chez un gars ?!
- j'étais chez elle !
Bilel : en plus tu mens encore ?! Et pour en rajouter tu te bats pendant l'enterrement ?!
Et biiiim une gifle. J'ai sentis mes nerfs monter et j'ai pété les plombs.
- vous préférez croire une pute plutôt que votre sœur ?! Elle a fait genre d'être ma pote juste parce qu'elle kiffait Bilel ! Vous êtes là vous me frappez alors que même papa n'a jamais levé la main sur moi ! Vous savez quoi ?! Vous me dégoûtez ! Vous êtes même pas des hommes ! Croyez la, allez y mais quand vous aller savoir la vérité c'est même pas la peine de venir me voir ok ?! Vous me décevez de trop ! Je pensais que vous me connaissez un minimum quand même ! Surtout toi Bilel ! On était toujours ensemble, on était comme les deux doigts de la main. Tu me connaissais par cœur. Et là tu préfères croire cette pute plutôt que ta propre sœur. En tout cas vous formez un beau couple. Un couple de bâtard. À partir de maintenant vous aussi vous n'êtes plus rien pour moi. À mes yeux vous existez plus. Et Sachez une chose, le mensonge prend l'ascenseur et la vérité les escaliers. Méditez bien sur cette phrase et quand vous saurez, regrettez bien parce que je ne serais plus là pour vous.
Après ces mots je leur tourne le dos et pars en direction de l'arrêt de bus et j'éclate en sanglots.
5 min plus tard y a la dame de l'autre jour qui arrive avec le même petit garçon.
Elle : Salem ma fille
- bonjour tâta
J'essaie de me calmer mais j'y arrive pas. Elle a sans doute du le remarquer vue que tout de suite après elle m'a prit dans ses bras.
Elle : calme toi..
Elle me berçait en chantonnant un chansonnette. Je me calmais petit à petit.
Elle en souriant : c'est bizarre, à chaque fois que je te vois tu pleures. Fais moi un beau sourire pour voir ?
Elle m'a fait rire.
Elle : c'est beaucoup mieux quand tu souris.
- merci tâta
Elle : tu ne veux toujours pas me raconter ?
J'hésitais à lui raconter. Elle m'inspirait confiance. Elle est très gentille cette femme. Elle me rappelle beaucoup ma mère. J'ai besoin d'en parler aussi..
Bon je décide de tout le raconter. Je lui ai tout dis. En lui parlant mes larmes coulaient sans cesse. À la fin elle a pleuré avec moi.
Elle : c'est le mektoub ma fille. Ça s'arrangera in sha Allah ne t'inquiète pas.
- oui..
Le bus arrive et on parle toujours. Elle me dit que le petit c'est son petit fils. C'est le fils de sa fille et qu'elle s'en occupe pendant que sa fille travaille.
J'arrive à mon arrêt et lui dis au revoir.
Je rentre chez Aymen et je pars me recoucher. Y a que dans mes rêves que j'suis apaisée, que je sens tout mes problèmes s'envoler.
Cette fois là j'ai rêvé de mes parents. Ils étaient habiller en blanc et ils étaient dos à moi. Quand je les ai vue j'ai couru vers eux en les appelant. Ils se sont retournés le sourire au lèvres. Ils avaient l'air d'être bien et heureux.
- papa, maman !
Je les ai pris dans mes bras. On aurait tellement dit que c'était la réalité.
Eux : ma fille !
- pourquoi vous êtes partis hein ? Pourquoi vous m'avez laissé ?
Mon père : c'était notre heure Ayna. On ne t'a pas laissé, on est toujours avec toi. À chaque heure, chaque minute, chaque seconde nous somme avec toi, dans ton cœur.
- vous me manquez tellement.. Je veux vous rejoindre.
Maman : arrêtes de pleurer nana. Tu nous rejoindras un jour mais pas maintenant. C'est pas encore ton heure. T'as toute ta vie à construire encore.
- ma vie n'est rien sans vous..
Papa : chut. Aller nous devons te laisser. Prends soin de toi et n'oublies pas que tout ce qu'il t'arrive ne t'arrives pas par hasard. C'est écrit ma fille, c'est ton destin.
Et ils commencent à s'éloigner de moi. Non non non pas encore. Ils peuvent pas me laisser une deuxième fois.
- non s'il vous plait revenez ! Me laissez pas !!
Je me réveille en sueur. Mon téléphone sonnait. C'était Aymen. Je réponds d'une toute petite voix.
- allo ?
Lui : ça va ? T'as une petite voix. T'as pleuré ?
- ça va ça va.
Lui : t'es où ?
- au lit
Lui : j'arrive.
Il raccroche. Je regarde l'heure il est déjà midi. J'ai dormi tout ce temps ? Je me lève et je vais préparer à manger pour Aymen. Quand j'ai fini je pose la table. Et 10min plus tard Aymen arrive. Il avait l'air énervé..
Lui : azi ils m'ont soulé au Taff !
- qu'est ce qu'ils t'ont fait encore ?
Lui : rien ils parlent trop mal les gens.
Aymen est banquier.
- comment ça ?
Lui : soit disant j'suis un arabe et que j'suis un banquier je vais leur voler leur argent. Heureusement on m'a calmé là bas parce que sinon je l'aurais niquer ce fils de..
- fini pas ta phrase. Sa mère ou son père n'y sont pour rien.
Lui : ouais ouais. Bref ça va toi ?
Il vient me faire un bisous sur le front.
- tranquille hein.
Il me porte et m'amène au salon. On se pose.
Lui : racontes moi.
Je lui raconte tout.
Lui : mdrrrrr mais t'es sérieuse tu l'as frappé ?
- ouais.. J'suis dégoûtée.
Lui : mdrrr putain j'aurais trop aimer voir ça ! Toi qui frappe pas et qui est toute douce et gentille !
- je regrette de mettre salit les mains.
Il rigole encore un peu et reprend son air sérieux.
Lui : et tes frères là, ils sont sérieux dans leur délire ?
- non mais c'est bon eux. Un jour ils apprendront la vérité et ils vont voir à quel point ils ont été con.
Lui : ils abusent de trop. Je vais aller leur parler pour leur remettre les idées en place.
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Ayna - Avec ou sans lui, la vie continue.
Fiksi UmumJamais mieux servis que par soie même, ça je l'ai compris une fois seule face aux gens que j'aime.