Chapitre 33

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Nous fêtons le premier de l'an ici. Nous sommes le 29 cela fait deux jours que nous sommes ici.
Manu et Romain son ensemble dans une même chambre se qui nous laisse à chacun une chambre. C'est géniale sauf que c'est deux chambre par étage avec juste une salle de bains qui les séparent.
Évidement celle du haut son plus spacieuse, et c'est Lionel qui a pris la deuxième.

Je me retrouve donc en bas avec Lorenzo.

La cousine de Romain nous a rejoins car elle vie dans le village voisin. Et c'est vrai qu'elle a l'aire de taper dans l'oeile de Lionel.

Cette après-midi Romain a décider aller skier. Nous avons donc louer des skis et nous sommes parti vers les télécabines.

J'ai un peu le vertige donc je n'aime pas trop monter dans se genre de trucs donc j'hésite à monter. Oui ? Non ? Oui ? Non ?

- Bon Val' comme t'es pas décider, moi je monte. T'iras dans le prochain avec Lorenzo. Me dit Manu en entrant dans MA cabine. Je ne veut pas être avec lui merde !

Je monte avec lui un peu a contre coeur, nous sommes les derniers. J'ai préféré laisser passer les autres personnes. Donc nous sommes tout les deux. Après avoir laisser passer 15 personnes et 12 cabines.

- Pff, si j'avais su que tu seras avec nous, je serais même pas venu.. Lui dis je

- Oh ça va Valentine. N'exagère pas s'il te plait.

- J'exagère pas ! C'est toi, tu m'as plus que déçu. Tu m'as embrasser, dit m'aimer. Et tu te mets en couple avec une autre ?

- Tu es jalouse ? Demande t-il

Je reste choquée, sans voix.

- ...

- C'était le but tu vois. Je refuse de me battre pour une fille  qui ne s'intéresse pas à moi.

A peine ses mots fini, la cabine s'arrête.

- Tu peux arrêté ton monologue. On est arrivé.

Je me mets devant la porte et vois que nous sommes a 600m du sol.

-- PDV de Manu --

Nous attendons Val et Lorenzo depuis maintenant 20 minutes.

- Vous êtes les derniers ? Demande l'homme qui s'occupe de faire monter les cabines.

- Oui oui, votre collège a fermer derrière nous. Répond une vielle dame avec ses petits enfants.

L'homme éteint le mécanisme. J'en conclus qu'ils ont sûrement du retourner au chalet.

Je propose alors un jeu, histoire de laisser au deux le temps de se réconcilier et voir plus qui sais.

- Le dernier qui arrive en bas paye le resto aux autres.

Et nous voilà entrain de dévaler la pente qui se tiens devant nous.

Évidemment je suis la première, le dernier est Lionel.

Nous voilà parti pour une pizzeria.

-- PDV Valentine --

Cela fait 40minutes que Lorenzo et moi sommes bloquer dans la cabine. Évidemment, le réseau ne passe pas, et puis quoi on n'es pas dans un film.

Lorenzo ne parle pas. Nous sommes bloquer et lui ne pense qu'a une chose. Joué à son jeu vidéo.

- Heu.. Tu sais quand même qu'on est bloquer dans une putain de cabine ? Demandais je, nerfs a fleur de peau.

- Bien sûr. Répond t-il très calmement, comme si la situation de l'atteignait pas.

- Et toi tu penses qu'à jouer ?! T'es vraiment trop con.

...

- J'ai bien fait de pas écouter mon coeur, et pas donner suite a notre baiser..

Je le vois se lever, il s'approche de moi. Sa bouche n'es qu'à quelques centimètre de la mienne et nos fronts se colle.

- Et que disait il, ton coeur ?

-  Que t'étais un véritable enfoiré. Et il n'avais pas tors. Tu me l'as prouvé a mainte reprise.

- Tu vas voir que je peut être plus qu'un enfoiré.

- Ah bon, tu peux être pir..

Se mec me prend toujours par surprise. Ne me laisse pas finir mes phrases. Il m'embrasse. Demande accès à ma bouche et à ma langue, se qu'évidemment je refus. Je veut le repousser.  Je veut me défaire de son emprise. Ma fierté n'attends que ça. Mais mon corps n'espérait que cette sensation tellement exquise.

- Ne me repousse plus, je sais que tu en as autant envie que moi.

Sur ses paroles, je me mord la lèvre et l'embrasse avec fouge et désire.  Je me retrouve sur ses jambes, ma poitrine coller à la sienne. Quand ses mains me caresse le dos, il passe sur un des bleus que les coups de Mathieu ont laisser. Cette douleur me rappelle les coups qu'il m'as infliger. Sur cette sensation, je me recule comme automatiquement.

Il attrape mon visage en coupe.

- Je suis désoler, mais je ne suis pas lui. Jamais je ne ferais se que lui t'as fais. Moi je t'aime réellement. Dit il.

Je ne pleure jamais. Mais la il y a trop de choses qui s'accumule. J'aime profondément Lorenzo. Je veut lui donner une chance.

- Pourquoi tu pleurs ? Me questionne t-il.

- Sans doute parce que je peut enfin dire que je t'aime.

A peine ai je prononcé mes mots que je le sens me serrer très fortement contre lui.

Après 3h dans la cabine, à rigoler, parlé, nous embrasser, nous commençons a ne plus supporté d'être la. J'ai froid, j'ai faim. Heureusement que nous nous tenons chaud mutuellement.

- Tu penses qu'il nous on oublier ? Demandais je a Lorenzo.

- Non, mais ils ont sûrement penser que nous étions rentré. Ou peut être qu'ils croient qu'on c'est entretués.

Je bâille, et m'endors dans les bras de celui que j'aime.

-- PDV de Manu --

Cela fait maintenant 3h30 que je suis sans nouvelles de Valentine ou de Lorenzo. Nous avons fini de manger, avons pris nos part qui restais pour leurs apporter.

Nous rentrons enfin dans le chalet, je suis tellement presser de savoir se qu'ils se sont dit.

- On est la les amoureux !! Aucune réponse.  Eh oh !! Toujours rien. Val' ? Lorenzo ?

Nous nous mettons tous a les chercher, a les appeler. Mais rien, personne ne répond, personne ne semble être la.

Je commence à franchement m'inquiéter.

J'essaie d'appeler Lorenzo, répondeur directement, Valentine.. La même chose. Deuxième tentatives, pareils. Je décide d'appeler les pompiers.

Après quelques minutes, les pompiers et la police arrive. Le policier nous demande une description des deux, quand et où nous les avons vue pour la dernière fois. Après se petit "interrogatoire" j'embarque avec Romain dans un hélicoptères pour essayer de les repéré.

Putain Val' t'es où ?

Dark RoseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant