Après Ce Kidnappe... Ma Vie A Changée [TERMINÉE]

Chapitre 08: La Police Débarque

PDV INCONNU:

Je regardais les informations quand on annonce la disparition d'une jeune fille. Vu que je ne suis pas intéressé par ces choses, je prends la télécommande pour changer la chaîne mais je m'arrête en voyant son image qui apparaît. Elle a l'aire d'une personne que j'ai déjà vu quelque pars.

Je plisse mes yeux et essaie de m'en souvenir tout en écoutant la journaliste parler à une femme âgée d'au moins 42 ans, je pense.

-La jeune fille du nom de Jimaima Carter demeure introuvable...

-Jimaima... Je marmonne. Ce prénom me dit quelque chose !

La porte d'entré qui s'ouvre attire mon attention. C'est sûrement mon amant qui vient de rentrer du studio d'enregistrement.

-Chéri ? M'arrive sa voix du couloir. Je suis rentré, t'es où ?

-Dans le salon... Viens voir par ici.

Je fais « pause » sur l'image de la jeune fille brune pour que mon amant la voit.

-Tu n'es pas encore prêt pour sortir ? Il demande. Qu'est ce que tu attends ?

-Vient et regarde cette fille, son visage ne te dit pas quelque chose ?

Mon ange vient vers moi puis encercle ma taille de ses bras musclé et dépose son menton sur mon épaule. Il plisse ses yeux devant l'image pendant quelques secondes puis son visage s'éclaircit enfin.

-Dit, ce n'est pas la fille qui a pris une photo avec nous lors du meeting ? Il déclare.

-Oui, bien sure ! Je m'exclame en tapant mon front. C'est la fille qui aime qu'on l'appelle Jim au lieu de Jimaima.

J'enlève le code de la télévision, mais cette fois je vois ce qui m'a mis mal à l'aise devant mon amoureux.

-... un homme s'est fait attaqué par ce même kidnappeur. Ajoute la journaliste. Mais, par bonheur, il n'est pas mort et c'est celui-ci qui nous a aidées à déchiffrer le matricule de sa voiture et à faire son portrait robotique.

-Oh, non ! Je m'exclame en reconnaissant mon propre fils. C'est pas vrais...

PDV JIMAIMA:

-Emil Reinke ! Revient la voix du haut-parleur. On vous donne dix minutes avant d'intervenir !

Je m'approche de la fenêtre et regarde à l'extérieur à travers le rideau, je découvre toute une équipe de fliques devant et autour de la maison, en plus des journalistes.

-Habille-toi, Emi. Je dis à mon amant. Tu es dans un sérieux problème, là.

Il se lève puis commence à remettre ses vêtements sous mon regard admirateur. Il est bien foutu ce brun avec ce corps de ouf.