Après Ce Kidnappe... Ma Vie A Changée [TERMINÉE]

Chapitre 46: Enfin un peu de repos!

Trois mois sont passés depuis la naissance des jumeaux, la mort d'oncle Gabriel et la grande découverte qui concerne mon lien avec les Lorenz.

Rien de très intéressant s'est passé, seulement les quelques visites de mes copines. Il y'a aussi la grande nouvelle qui concerne grand-frère Daniel, il est le nouveau chef de Carter Corporation. Il avait bannit sa mère et renvoyé l'avocat Benjamin Simmons.

En ce moment je me retrouve au manoir Lindemann dans le balconnet entrain de faire mon truque favoris, l'écriture. Till a organisé une fête barbecue et du coup il a invité tout le monde. Les garçons sont occupés à la grillade en discutant en Allemand.

-T'écris quoi, Jim ? Me demande mon beau-père, Paul.

-J'essai d'avancer avec le dernier chapitre de mon histoire. Je réponds en arrêtant d'écrire. Mais ça semble impossible.

-Et ça raconte quoi, comme thème ?

-Je te la laisse pour la lire, moi j'irai voir Gab et Yve. Je dis, simplement.

Je lui tends le cahier puis me lève et entre à la maison. Des cris de disputes attirent mon attention, je me dirige en sa direction mais m'arrête directement quand les voix deviennent plus claires.

-... mais Emi, je t'aime moi !!

-Tu ne m'intéresse en rien, Halima ! J'ai ma femme et mes enfants.

Notre servante, la fille que j'avais prise en ordre pour qu'elle s'occupe de mes enfants est entrain de draguer mon fiancé ! Elle se jette sur mon Emil et essai de l'embrasse mais celui-ci la rejette et la gifle. C'est à ce moment-là que je décide de mettre fin à ce cirque.

-Chérie, écoute-moi. Commence mon amant, reculant jusqu'à l'évier. Je te jure...

-T'es viré, Halima !! Je cri sur la fille. Je pense que tu connais la sortie.

-Madame, pardonne-moi... c'est de sa faute. Balbutie la servante mais je l'arrête.

-On ne mord jamais la main qui nous a donné à manger, maintenant dégage !!

La fille avale ses larmes de travers puis courre dehors de la cuisine. Je la regarde quitter la maison, sans demander son reste, puis me retourne vers mon amant.

-Jim, écoute...

Je ne lui laisse pas le temps de finir ses explications et plaque mes lèvres sur les siennes. Il ne répond pas directement au baisé, sans doute choqué.

-Ce n'est pas de ta faute, Emil. Je murmure, le souffle coupé. Tu attire beaucoup les ennuies.

-Merci de reprendre confiance en moi... Il dit entre deux bisous. Je t'avais fais une promesse et je n'ai pas l'intention de la briser.

On continu notre petit jeu pendant d'autres minutes, mais une toux bruyante nous fait sursauter. Je me sépare de mon fiancé et regarde en direction de la porte.