Un lourd secret

Chapitre 14:un secret devoilé

Pvd de Nadia

- je t'écoute?
me rappela fatma toujours en face de moi.

- d'accord.
répondais -je sans réfléchir longtemps.

- bien! D'abord ne me parle que quand c'est vraiment nécessaires tu entend?.Ensuite tu doit me remettre toute ta pansions à l'université puis me donner la clef de ta garde de robes et faire toutes mes courses de la journée ainsi que mes devoirs de maths et tu dira à ma Mere que c'est toi qui lui a volé sa carte bancaire l'autre jour. Puis enfin j'aurais besoin de toi pour gagner de l'argent mais par un service exotique . J'espère que tu sais de quoi je parle ?

Non sans blague?Elle se fou de moi??

-T'es séreuse ? C'est impossible! Change tes conditions je ne suis pas d'accord !

- heyy ici c'est moi qui décide! Soit tu le fait soit je dis toute la vérité et j'inventerai plus même tu me connais non?

- je peux te donner la moitié de ma pansions et de ma garde-robe mais quand à être ta pute jamais!

- Oh pourtant tu a fait ta pute pour en être lâ!

J'allais lui donner une grosse baffe sur sa grosse joue de merde lorsque quelqu'un m'a retenu la main en me blessant presque. Je me retourne puis vois:

Ayoube derrière moi.
Depuis quand il était là lui? Je prie Dieu intérieurement pour qu'il n'ait rien entendu.

- Qu'est-ce que tu voulais faire ? L'a gifler ? T'es devenu folle?
disait-il calmement avant de sortir.

Ouffff Je Dieu merci il n'avait rien entendu!

- Je t'attend dans ma chambre pour que tu me remette ce que je t'ai dit. disait fatma avant de partir à son tour.

Je partis la rejoindre et après une longue dispute on finit par être d'accord sur les conditions pour garder mon secret.

J'avais terminé tous mes travaux de la maison ainsi que le repas ,Ensuite je suis aller faire les courses de Fatma et passa récupérer ma pension que j'avais économiser à l'université pendant quatre ans et le lui remit malgré moi ainsi que la clef de ma garde-robe qu'elle dérangea avec joie.

J'ai décidé de me reposer un moment car j'avais atrocement mal partout et mes nausée n'avaient pas cesser.

Allongée sur le lit je repensais à cette journée, à Fadel, a ma grossesse, aux conditions de fatma, Bizarrement je n'avais pas trop confiance en elle. Qui sait si elle vas tenir ce secret encore longtemps ? Jusqu'à quand vas t-elle me faire subir ces caprices? Le Dr William m'avait pourtant dit que je devais me reposer suffisamment pour ma santé et celle du bébé .
Mais... Bon ..Cela ne me déplairait pas si ce bébé décidait de partir einh.
Mon Dieu comment pouvai-je être aussi cruelle? Brefff il n'est pas le bienvenu toute façon !

Loin dans mes pensées,des coups se firent sur la porte de la chambre et aussitôt elle s'ouvrit sans même attendre ma réponse. Je me demande à quoi ça sert de frapper alors?

Une voix familière qui m'avait tant manqué me fit pivoter en face d'elle.

: enfin te voilà!
S'écria t-elle.