Chapitre 16:une galère.... Un nouveau départ.

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Pdv de Nadia.

Cela fait maintenant un mois que j'étais dans  cette nouvelle maison, et cette peur que j'avais a mon arrivée avait disparue. Cela grâce à mon client de nuit qui est si sympa .les bons cœur existent toujours on dirait.
Ma patronne Madame Seye n'ait pas au courant de notre petit secret .

je voulais tourner la page et refaire ma vie. Je voulais  éffacer toutes ces années de souffrance que j'ai eu à passé dans la famille Khazil. Surtout ce jour où ils m'ont humilier devant les voisins et chasser de la maison en plein nuit ,car d'après ma tante j'avais déshonorer toute la famille Khazil .Et que je ne pouvais plus rester  chez elle car je faisais honte à sa famille et que  je risquais d'influencer ces enfants.
Je m'en rappelle encore comme si c'était hier lorsque je la suppliais de me pardonner,de ne pas m'abandonnée et que je n'avais nul part où aller à cette heure de la nuit.
Mais elle m'avait claquer la porte en guise de réponse.
Je suis resté deux heures de temps à attendre  devant la porte sous les regards de quelques voisins debout, derrière leur fenêtre, éspérant qu'elle ai pitié de moi et qu'elle finisse par  m'ouvrir la porte.
Certains parmi nos voisins avaient l'ère d'avoir pitié de moi et d'autres me regardaient avec m'éprit et se gênaient pas de me crier des gros mots.

Perdant espoir,j'ai commencé à marcher dans l'obscurité, pied nus sans bagages ni argent Fatma m'avait tout pris.

les larmes aux yeux, j'ai continué à marcher jusqu'à arrivé devant une maison, que j'ai regardé  un long moment.

Je m'étais arrêté devant la maison de Sofia , je regardait sa fenêtre hésitant à frapper à sa porte mais les souvenirs de notre dispute de la dernière fois m'était revenue en tête et  m'avaient découragé. Et je savais que si je débarquais si tard chez elle je devrais leur fournir des explications.hors il m'était impossible d'expliquer quoi que ça soit même à ma meilleure amie.je me disais que ,de toute façon la nouvelle leurs sera parvenue dès demain matin c'est sûre.

J'ai donc continué mon chemin en me retournant sans cesse pour vérifier si personne ne me suivait.
Je tremblais de peur et j'avais l'impression d'être dans ces films d'horreur que je regardais souvent,j'appréhendais une brusque frayeur sui viendrait de quelque part.
Mon adrénaline était chargé prêt à me donner la force pour courir en cas de danger.

Plusieurs fois, des voitures s'étaient  arrêté et me klaxonnaient mais aussitôt j'accélérais mon rythme sans me retourner.Des hommes garaient leurs voitures a mon niveau et se m'étaient à crier:

-" C'est combien pour une nuit ?"
"Hey oh On te parle là!"

Mon cœur battait tellement fort que j'avais cru qu'il allait s'arrêté.Ma robe était courte et transparente car j'étais en pyjama quand on mise à la porte.

Heureusement ils ne sont pas restés trop longtemps et étaient finalement parti.

Sans m'en rendre compte,j'avais marché jusqu'à l'université.
J'étais contente et soulagé pensant  que ma galère était finie.
Mais ce n'était que le debut dr lon calvaire.
 le gardien m'avait  interdit l'accès au logement car je n'avais pas ma carte qui montrait que j'étudiais làba et que j'étais aussi à jour au payement ou que je disposais  d'une bourses.

Mon Dieu que faire?
Pourquoi avais-je  retiré toute ma bourse?
Comment j'ai pu être aussi bête?
Repetais-je sans cesse en me modissant.

Je ne savais plus quoi faire ni où aller, j'étais morte de fatigue et de faim.
Aprés quelques minutes de marches ,j'en pouvais plus.
Je me suis assise  sur un banc public et m'endormir sans le savoir.

Un lourd secretOù les histoires vivent. Découvrez maintenant