Chapitre 27 :Un rapprochement.

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Pvd de Fadel....

-Ne vous inquiétez pas Madame,si vous respectez les consignes comme je viens de vous les donner, vous verrez que dans quelques jours,vous vous sentirez mieux.

-Merci Docteur, a bientôt.

-Au revoir, portez vous bien.

Disais-je à une de mes patiente avant qu'elle ne referme la porte derrière elle.
Je me suis alors précipité vers mon téléphone pour appeler ma mère,je voulais savoir comment c'était passé son rendez-vous avec Nadia.
Je stressais  depuis le matin en me posant des tas de questions à savoir :
"Etait-elle allé à ce rendez-vous ?"
Àvait-elle reconnue une ressemblance entre ma mère et moi?"

-Allô mon chéri , comment tu vas ?

Répond enfin ma mère a l'autre bout du fil.

-Salut Maman, cava, et toi?

-je vais bien ! Tu appelles à propos de Nadia j'imagine .

-Est-elle venue? Comment c'était ?
S'est-elle douter de quelque chose ?

-Mais doucement chéri!
Oui elle est venue et ça s'est très bien passé.
Ne t'inquiète pas, je ne crois pas qu'elle s'est douté de quelque chose sinon elle se serait pas confié à moi.
Bon, même si c'est vrai qu'elle n'a pas arrêté de fixer mes yeux.

J'ai du froller un battement lorsqu'elle a parlé de ses yeux,car si une chose était certain c'est que ma mère et moi avions les mêmes yeux mais j'étais loin de me douter qu'elle puisse les reconnaître.

-Comment ça elle fixait tes yeux?
T'a t-elle demandé quelque chose ?

-Mais non! Du calme, elle ne m'a pas posé de question rassure toi ,tout c'est très bien passé, notre première séance était rempli d'émotions.
Elle m'a fait beaucoup de peine la pauvre.
C'est vraiment une fille très forte.
Mais elle est en manque d'affection ça se sens.
J'espère que tu pourras lui réconforter durant sa thérapie.
Bon mon chéri je dois te laisser, j'ai une consultation, prend soin de toi, bisous.

- merci maman.

Disais-je avant de reposer le combinet .

Je fus soulagée de savoir qu'elle n'avait pas posé de question à ma mère.
Cela voulais dire qu'elle ne se doutait de rien.
Mais en même temps triste par ce qu'elle venait de me dire.

La pauvre, ça d'u beaucoup la chamboulé de se confier, je voulais être à ses côté pour lui remonter le moral mais j'avais encore des consultations à faire.

J'ai décidé alors de l'appeler pour prendre de ses nouvelles.

Mais son téléphone sonnait dans le vide.

Pourquoi elle ne décrochant pas ?
Se doute t-elle de quelque chose et  ne veux plus me parler?

J'avais insister plusieurs fois mais en vain.
L'inquiétude m'avait alors  gagné une seconde fois.

J'étais entrain de penser à elle lorsque j'ai entendu des bruits devant la porte de mon bureau.

-"Mademoiselle attendez, vous ne pouvez pas entrer comme ça dans le bureau du docteur."

-"J'ai le droit d'entrer quand je veux ! C'est mon cousin idiote!"

-"Non attendez...."

Puis la porte s'était ouverte sur Safia.

J'aurais du m'en douter,il y'avait que elle pour faire tout ce vacarme.

-Salut Fadel , pourrais-tu dire à ta folle de secrétaire qui suis-je ?

Un lourd secretOù les histoires vivent. Découvrez maintenant