Deux classes social différentes

Chapitre 15

**DANS LA PEAU DE MYAH**

Nous sommes à l'hôpital, il y' a : Imran, Issam, Ayem, les parents de Kawtar, Aimen, et les frères de Issam.

Issam : C'est finit.

Moi : Issam, elle a perdue son seul et unique bébé. Le fruit de votre amour, comprend-la.

Lui : Pourquoi vouloir divorcé ? Je n'es rien fais dans l'histoire moi.

Ayem : Met toi dans sa peau 5 minutes. Une belle-mère mauvaise, la femme de son beau-frère mauvaise, sa belle soeur mauvaise. Tu crois qu'elle compte vivre toute sa vie dans cette situation ? Elle a passer 2 ans et...Regarde-là.  Elle est sur un lit d'hôpital, et elle a perdue son bébé.

Mourad : Ex- femme s'il te plait.

Ayem : Excuses-moi.

Moi : Je peux comprendre Issam que t'en souffre. Une épreuve comme celle-là, faut être à deux. Toute seule elle y arrivera pas. 

Issam : Elle ne me laissera jamais rester avec elle, j'ai fais le con. J'ai pas était présent, je suis mauvais moi aussi.

Kays : Arrête Issam !

Khali Zouheir : Ce n'est pas de ta faute Issam, ne t'inflige pas ça !

Khalti Zohra : Elle se réveille, faites moins de bruit.

Imran-rire- : Fallais faire moins de bruit quand elle dormait.

Khlati Zohra : Skout nta. -à Kawtar- Je vais chercher le médecin, attends ma puce.

Elle par donc chercher le médecin.

Kawtar regarder autour d'elle, elle touchait son ventre et s'est rendu comptes qu'il était plat. Des larme coulent le long de ses joues, elle tourne la tête vers la fenêtre, elle ne regardait personne, ne parlait à personne.

Le médecin : Bonjour Madame, je vais vous faire quelques petits exercices à fin de voir si tout va bien.

Kawtar fit un geste de la tête comme réponse.

Le médecin bougea les bras, les pieds, regarder ses yeux etc...Afin de voir si tout était dans les normes.

Lui : Parfait, nous allons vous gardez encore quelques jours afin d'être sur que tout va bien. Par contre pour la famille, Kawtar aura besoin de beaucoup de repos, pour aujourd'hui ça va, mais la prochaine fois venez seulement deux par deux, s'il vous plait.

Imran : Oui, on ne le savait pas .Excusez-nous.

Le médecin : Y'a pas de mal. Au revoir Messieurs Dames -à Kawtar- A tout à l'heure.

Kawtar : Oui.

Dès que le médecin partit, un silence s'installa dans la chambre. Quand Kawtar, pris la parole.

Elle : J'étais heureuse, j'étais bien. Je l'aimais mon fils, je lui est tout donner avant sa naissance. Je n'attendais que ça, mais il a fallut qu...Qu'elle me pousse pour que je perde ma raison de vivre, mon bébé, mon Noaman.

Issam : Kaw....

Elle : Sortez, laisser moi toute seule. Sortez, ne revenez pas s'il vous plait. Ne revenez pas.

Personne n'osa répondre, on sortit tous de la chambre.

Kays : Elle va vraiment mal.

Imran : Il fallait s'y attendre.

Aimen : Et ce n'est pas finit.

Moi : Il va falloir la soutenir, l'aider à s'en sortir. 

Mourad : On sera là.

Puis chacun rentra chez sois.

Mes filles, elle dormaient chez ma mère, j'étais donc toute seule avec Imran.

Lui : Elle va prendre du temps à s'en sortir, hein ?

Moi : Beaucoup, beaucoup de temps.

Lui : Pour Issam, tu crois qu'elle veut vraiment le divorce ?

Moi : Je penses pas, elle en état de choque. Mais se serait dommage.

Lui : Il l'aime à mourir c'est dingue !

Moi : Ils s'aiment tout les deux. Elle a mis du temps à l'aimer, mais elle a finit par l'aimer, et là...

Lui : Tout s'est envolé. Son bonheur, sa joie de vivre tout est partit.

Il était triste, je le pris dans mes bras.

Moi : Elle va s'en sortir avec l'aide d'Allah, Imran.

Lui : In Shâ Allah.

**DANS LA PEAU DE KAWTAR**

Depuis la dernière fois, personne n'est venue me rendre visite tant mieux, je ne veux voir personne ni parler à qui que se soit. 

Une photo de mes échographies que j'avais faites, les larmes qui coulent le long de mes joues pour venir se poser sur l'échographie. Mon fils, mon bébé, mon Noaman, mon amour....Il est partit, il s'en est aller, j'aurais préfèré que se soit moi à sa place. 

J'étais enfin prête d'avoir un enfant, en prête de porter la joie d'être mère. On m'a enlever mon droit.

Moi aussi j'avais le droit de voir mon fils faire ses premiers pas, me réveiller pendant la nuit pour lui donner le biberon, lui changeait les couches, faire des grimaces horrible pour le voir sourire, entendre ses éclats de rire, le voir faire ses premières dents, le bercer, l'embrasser...Le bonheur d'être mère, je l'ai plus, on me la déchiré.

Issam...C'était le fruit de l'amour qu'on partageait, il n'a pas était là pendant ma grossesse je l'admet, je suis folle de lui, je l'aime. Mais...Mais je n'es plus la force d'affronter quelconques épreuves, sentiments avec lui. Je l'aime w'Allah, mais je n'es plus la force. Je sais plus où j'en suis.

Je lui est rendu les bagues, il a dû mal le prendre, je lui fait du mal, mais je vous jure s'en est trop. Jamais je ne me pleins, jamais j'aurais étais jusqu'à là, mais elles ont gagné, elle auront ce qu'elles voulaient depuis le début de notre amour, de notre mariage même. Notre divorce, notre souffrance elles l'auront. J'ai perdu, elles ont gagnés.