Le lendemain, réveille à 8h00, je vais me doucher, je m'habille d'un pantalon classe slim de couleur blanc, une chemise rose fushia, la veste qui va avec le pantalon et des haut escarpins blanches. Je me maquille légèrement mascara, et un rouge à lèvre nude.
Je déjeune, je me brosse les dent. Quelques minutes plus-tard, je reçois un message de Nassim qui me dis qu'il est en bas, je descend donc.
Lui : Ah ça va, ta retenue la leçon.
Moi : Prend moi pour une conne, aussi.
Lui : On ira pas jusque là.
Moi : Roule, tu va m'énerver bêtement.
Lui : -rire- Genre la meuf. Ta pas trouver plus serrent comme pantalon, non ?
Moi : Non, j'avais pas trouver.
Lui : Fou toi de ma gueule.
Moi : Avec grand plaisir.
Il me regarda de travers, et continua la route. Arriver à l'entreprise on salue nos collègues, Nabil n'était pas encore arriver, Nassim monta avec moi dans mon bureaux, arriver, il ferme la porte derrière lui.
Lui : Ta crus j'ai oublier le bisous d'hier soir ?-sourire en coin-
Moi : C'est toi, qui me la donner.
Lui : Ta aimer.
Moi : Hunhun.
Lui : Je veux le même.
Moi : Demande à quelqu'un d'autre.
Lui : Non, j'veux ça vient de toi.
Moi : Et si j'ai pas envie ?
Lui : Sauf que, tu en a envie.
Il me choppa par les mains, me colla à lui et pris mes lèvres avec les siennes.
Lui : J'aime.
Moi : Tu joue ?
Lui : Non.
Moi : Tu me le jure ?
Lui : W'Allah je joue pas.
Moi : Donc, il va falloir qu'on parle.
Lui : De ?
Moi : Moi.
Lui : Quand ?
Moi : Ce soir, ou quand tu veux.
Lui : Ce soir, je vais dans mon bureau. Tu va au café à 09h00 ?
Moi : Non, j'aime pas.
Lui : Je viendrais dans ton bureau.
Moi : Oui.
Il me regarda une dernière fois, et sortit du bureau pour faire place à Adriana.
Adriana, c'est ma collègue, on s'entends super bien. Elle m'a tout raconter sur sa vie, et moi pas...Je ne sais pas si je peux faire confiance, mais elle m'a l'air tellement sage, gentille, et..Serviable. C'est une française- Espagnol.
Adriana : Comment se porte mon Algérienne ?
Moi : Bah écoute ça se passe, et toi ma Franco- Espagnolitah ?
Elle : Super !
Moi : Et ta fille ? Elle va mieux ?
Elle : Oui, grâce à Dieu elle va beaucoup mieux.
Moi : Pourquoi n'a tu pas pris un jour de congés afin de rester un peu près d'elle ?
Elle : Il y'a Jules, faut bien qu'il serve à quelque chose, je les est pas fait toute seule mes enfants.
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Deux classes social différentes
RomanceEntre amour, peine, douleur, et tristesse, venez découvrir l'histoire de Kawtar et Issam, leur HISTOIRE.