Chapitre 21

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Myah, ma soeur et moi même attendions une réponse de Issam, celui-ci me regardait dans les yeux

Moi : Alors ?

Issam : J'peux pas faire de choix Kaw...T'es ma femme, c'est la mère de ma fille.

Moi : La mère de ta fille ? Pendant 6 ans tu la élevé tout seul, elle elle s'est barrer avec son autre mec. Je m'en suis occuper pendant 2 ans d'Ayrina, je lui est donner l'amour d'une mère qui était absente, je m'en suis occupé comme si c'était moi qui l'avait accoucher, et t'ose hésiter entre elle et moi ?

Samira : J'ai fais des erreurs je l'admet ! On ta jamais demander de t'occuper d'Ayrina.

Moi : Justement, je l'ai fais parce que j'aime Ayrina comme si c'était ma propre fille, je l'ai fais parce qu'elle avait besoin d'une "mère" sur qui elle pourrait se reposer, se confier et pleins d'autres choses. 

Elle : Si c'était une corvées, il ne fallait ni t'en occuper ni épouser Issam.

Issam : Tu va trop loin là Samira !

Moi :-rire- T'es vraiment trop conne, m'occuper d'Ayrina n'était pas du tout une corvée je t'assure, j'aimais prendre soin d'elle, j'amais la voir sourire, la rendre heureux. -rire nerveux- Tu crois que c'est aussi simple ? Mon mariage n'est qu'un mariage forcé...

Ayem : Kawtar....

Moi : Issam je ne l'aimais pas, je ne voulais pas divorcer parce que voir son père et mes parents triste par ce divorce je n'aurais pas était capable d'assumer. Alors je prenais sur moi, j'acceptait tout mes malheurs, j'acceptais le manque d'amour. J'ai tout accepter sans jamais me plaindre à qui que se soit.

Myah : Kawtar, arrête.

Moi : Puis, j'ai finis par l'aimé, j'ai finis par ressentir ce que je n'avais jamais ressentis auparavant. L'amour, le véritable amour. Je lui est tout donner, tout offert, je faisais mon maximum pour rendre heureux Issam, parce que je l'aimais comme j'ai jamais aimé. Je suis tomber enceinte moi aussi....

Myah : Kawtar, arrête s'il te plait.

Issam : Stop Kaw, stop !

Moi : Mais j'ai fais une fausse couche. -rire- Au final...Je me demande si tu as pas raison ? Je suis une épouse indigne, je n'es pas su lui donner d'enfants. Je regrette tout, si je n'aurais pas étais présente dans ta vie Issam, rien de tout ça ne serait passer. Je suis désolé.

Issam : Dis pas ça Kawtar, ta fais de moi un autre homme.

Moi : Tu ne m'aime pas comme tu aimes Samira. Je suis désolé de m'avoir mise à travers votre chemin.

Je monte en haut, pris mes valises et jeta mes affaires à l'intérieur sans prendre le temps de les plier. Je me vider de mes larmes, ce n'est pas possible d'aimer à ce point, d'être blesser à ce point. Je continuer jusqu'à ce que des mains s'enroulent autour de ma poitrine, cette même personne me serra contre elle. Son odeur...Issam.

Lui : Non, tu ne partira pas.

Moi : Issam...

Lui : On a galèrer, on vient de s'installer ici loin de tout. Je ne te laisserais pas partir aussi vite, je te laisserais pas. Elle repart ce soir, c'est toi que je veux voir sourire, c'est toi que je veux voir en rentrant du bureau, c'est toi que je veux embrasser chaque jour, que je veux prendre dans mes bras...Que je veux aimer.

Mes larmes coula de plus belles, il me retourna délicatement pris ma tête entre ses mains et m'embrasse le front.

Lui : J'ai pas vu à quel point tout ça t'affecter, je voyais le bonheur de Ayrina et tout ça me suffisait. Mais le tiens, fais le miens. J'ai besoin de toi Kawtar.

Moi : J'ai d'autant plus besoin de toi, Issam. 

Lui : Reste, reste avec moi, avec Ayrina. 

Il déposa quelques milliers de baisers sur mon visage, et me serra dans ses bras. 

Lui : Je prend ma journée, je vais rester avec toi aujourd'hui. 

Moi : Ton père...

Lui : Il comprendra.

On descend ensemble, il y'avait ma belle soeur et ma soeur.

Ayem : Issam, c'est la premièreet dernière fois que je vois ma soeur dans cette état là.

Myah : Grave. 

Issam : J'vous le promet les filles, elle sera heureuse.

Elles : In Shâ Allah.

...: Je pars maintenant moi, je n'es plus rien à faire ici.

Issam : Oui.

Samira s'approcha de sa fille l'embrasse et vient se poser devant moi et me dis tout bas << C'est pas finit, je repars mais je reviendrais plus forte, et je te promet que tu divorcera plutôt que prévue.>>

Je lui lança un regarde salle, et elle finit par sortir de la maison.

Ayem : Bon, j'ai cours moi cette après-midi. Bisous.

Issam : Vous pouvez déposer Ayrina ? C'est...

Myah : Oui pas de soucis, Ayrina on y va ma chérie ?

Elle : Oui.

Moi : Fais attention au bébé qui se trouve ici -en lui pointant son ventre-

Issam : Aaah, mabrouck !

Myah : Merci, bon salut les amoureux compliquée.

Moi : Ciao les belles gosses.

On les raccompagne à la porte, une fois qu'elles sont monter dans la voiture on rentre à l'intérieur.

**

J'étais entrain de plier le linges, il me rester un pull lorsque Issam me le prit et le fit tomber par terre.

Moi : Mais je le plier !

Lui : M'en fiche.

Il m'approche de lui, je pose mes mains sur son torse.

Lui : Je vais te manger Kaw, me regarde pas comme ça.

Moi : Comment ? 

Lui : Ton regard là.

Moi : Il a quoi mon regard ? Si il est comme le tiens, c'est parfait.

Lui : Ton regard il est pleins d'amour, ils brillent.

Moi : Comme les tiens.

On se regarda dans le blanc des yeux, avec son indexe il me caressa chaque recoin de mon visage, je fit de même avec son visage et il finit par poser ses lèvres sur les miennes....Je l'aime énormément follement, passionnément à la folie. 

Deux classes social différentesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant