Partie 45

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Je me lève quelques heures plu tard en sursaut MERDE le boulot, je suis en retard !!!!! je m'habille je ne sais comment ni avec quoi et descend cette escalier de marbre en furie. Il me parait plus long que d'habitude cet escalier ! j'arrive dans la salle à manger et aperçois ma tante et ses enfants, touts ses enfants, en trin de prendre leur petit déjeuner. Ma belle mère me souris

B-mère: Regarde ma fille qui est rentré cette nuit ?

Je comprend donc qu'il faut que je fasse croire que je n'étais pas au courant.

Layal: Ha Riyad sois le bienvenu chez toi ton voyage c'est bien passé ?

Riyad: Très bien merci, je disais à ma mère que je suis entièrement disponible pour finir les préparatifs de notre mariage mais prend une chaise et.. excuse moi je ne connais pas encore tes habitudes tu prends un thé ou un café ?

Belle-sœur: Quand elle est pressé comme ça ma cousine prend un café noir et une date.

Riyad: Je vois que ma sœur connais mieux ma fiancée que moi y'a du boulot.

Tout le monde se met à rire aux éclats. Mais je sens dans la voie de Ryad une certaine décontenance, il était sérieux, serte ironique mais sérieux.

Riyad: Et où vas-tu aussi pressé ?

Layal: Je dois aller travailler et je suis très en retard !

Riyad: Je te dépose.

Layal: Tu n'es pas obligé et tu dois être épuisé du voyage, je peux prendre le bus.

Riyad: Comme tu veux. Si tu préfère le bus à ma compagnie..

Les visages si joyeux jusque là se sont fermés, ma tante et ses filles lui explique que je n'avais pas dis ca pour le blessé mais au contraire que je pensais lui épargner une circulation qui s'avère être à cette heure de la matinée effroyable ! Moi je reste là a me demande si c'est bien le même homme qui était avec moi quelques heures plus tôt. Nous nous regardons dans les yeux mais aucun mot ne se dit tandis que les filles autour de nous continuent de me trouver des excuses aux yeux de leur frère.

Riyad: Si tu es prête je t'attends dans la voiture.

Belle-mère: A se soir ma fille passe une bonne journée, et ne t'en fais surtout pas il est d'une jalousie maladive.

Belles-soeur: Il pourrait même être jaloux de la chaise sur laquelle tu t'assoies.

Sur ces paroles je les entends encore rire, et me retire en les remerciant et les préviens que se soir je ne viendrais pas. Une fois dans la voiture le ton est donné, moi la tête dans un 90° contre la fenêtre et lui la sienne dans le sens contraire.

Riyad: Je ne veux plus que tu travailles.

Layal: Pardon ?

Riyad: Je sais se n'étais pas dans nos conditions, nous en avons jamais parlé mais se n'est pas pour les raisons que tu crois.

Layal: Ha oui tu m'en diras tant et pourquoi donc alors ?

Riyad: Si tu veux travailler je te donnerais une place d'assistante ou de secrétaire mais dans un salon de thé c'est plus possible.

Je suis complètement d'accord avec lui et comprend maintenant sa réaction. Le fait que je le lui dise le détend mais le laisse aussi sans voix.

Riyad:Tu ne va pas te mettre en colère ?

Layal: Ce n'est pas une raison pour que je le sois et en plus tu ne m'as pas non plus interdit de travaillé ailleurs.

Riyad: J'aime.

Layal: Tu aimes quoi ?

Riyad: Toi.

Layal: Je te demanderais simplement cette dernière journée pour l'annoncer à mes collègues.

Riyad: Bien sûre, je viens te cherches ce soir à quelle heure ?

Layal: 19h merci

Riyad: Passe une bonne journée.

Hysteric LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant