Partie 51

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...: tout est claire je crois...

J'attrape la cravate et m'avance vers lui, l'autre prostituée continue de s'habiller c'est devenu un jeu de piste pour elle tellement ses affaires se trouvent dans toutes la pièces. Je lui passe autour du cou est lui noue comme à mon habitude chaque matin.

LAYAL :  maintenant tu vas m'écouter dans le calme. Je suis encore ta femme, je porte ton adn dans mes entrailles, nos sangs vont être mêlés, j'ai subis pour toi, j'ai pardonné pour toi, j'ai souffert pour toi, tu as été mon soir d'été, délicat et sensuel comme tu es le feu de l'enfer, infernal et nuisible ca va je te sert pas trop ? Bouge pas... Riyad, je vais poser les clefs de la voiture sur ce bureau, tu ne vas pas me suivre ni me courir après pas même me retenir, je vais descendre dans le calme et faire le point sur ce que tu viens de me faire, et si tu as encore une goute d'humilité ou d'honneurs ne me donne aucune explication si ce n'est pourquoi, il y a une année de ca quand je t'ai demandé ce qu'il y a entre toi et Julia tu ne m'as pas répondu. Dis toi que tu aurais pu m'éviter de gâcher ma vie. Je rentrerai ce soir sûrement un peu tard et là j'attendrais ta réponse.

Riyad: me fais pas ca LAYAL ! Si tu m'aimes un peu ou si tu aime notre enfant tu rentre avec moi là tout de suite, on oublie tout et on commence notre vie tu sais très bien que t'es mon univers meme si je ne le dis jamais je sais que tu le sais...

LAYAL : à ce soir.

Je marche sans même savoir ou je vais, la nuit est tombé que je suis encore sous le choc, je me rend compte que je suis à 2 rue de mon appartement et à cette heure ci il n'y a plus d'ouvriers je part donc me réfugier chez moi. Je m'effondre Sue le sofa et là toutes les larmes retenues jusque là n'ont plus de raison de ne pas être versé. Je suffoque à en être bercer et m'endorme pour me réveiller le lendemain matin. Je rentre au domaine ou m'attendent ma belle-mère, mon beau-frère, une de mes belle-sœur et Riyad.

B-m: si je n'était pas aussi inquiet je t'aurais gifler !!!!!

B-soeur : t'as vu ton téléphone ?

Les questions se suivent mes restes sans réponses, la sueurs perle sur mon front mais je meure de froid ! Riyad me regarde et ne dis toujours rien, ma belle-mère continu son interrogatoire et la voit bloquer d'un coup. Mon petit beau-frère se porte la main à la bouche, j'ai juste le temps de voire une marre de sang à mes pied et mon mari qui ralenti ma chute dans ses bras. Je me réveille le lendemain soir, à peine ai-je ouvert les yeux que je sais ce qu'on va m'annoncer, Riyad et là la tête dans ses mains tandis que ma tante pleure encore du petit fils qu'elle vient de perdre. Une larme coule sur ma joue, elle me prend dans ses bras et me murmure qu'elle est désolé. Je reste seul avec Riyad, il se confond en excuses, je lui en veut tellement mais je n'arrive pas à lui dire. Il sort pour laisser la place à sa mère.

B-M: tu dois lui pardonner.

LAYAL : je l'ai vu avec une autre...

B-m: ce que je vais te dire me brise le cœur, et seul une femme peut comprendre ce que tu ressent, il est le fils de son père et j'ai moi même vécu toute ma vie dans l'ombre de ses femmes mais il restait le père de mes enfants. Il ne le fait pas parce qu'il t'aime pas loin de là et ne crois pas que c'est des excuses que je lui cherche mais sa reste un homme. Une femme est les pierres de sa maison, elle est l'honneur de sa famille un homme lui n'a pas de valeur en tout cas pas celle qu'à une femme aux yeux de ses parents ou une mère au yeux de ses enfants.

LAYAL : de qu'elle enfant on parle là ? J'ai perdu le mien. Et je n'ai pas envie d'en envisager d'autre pour le moment avec lui. Maintenant ma tante je suis fatiguée je voudrais rester seul.

Les jours, les semaines, le mois passe, je n'ai le goût à rien Riyad s'acharne à m'offrir des cadeaux hors de prix, il me parle de projet le seul réaliser pour le moment est l'appartement. Nous avons fini par emménager, je passe mes journée enfermé dans ma chambre à ne plus me nourrir ni même prendre soin de moi je parle une fois par semaine avec Rita c'est le seul bonheur qu'il me reste, me rappeler du passé, je vois qu'elle n'ose pas me parler de ce qu'il c'est passer mais le jour ou j'ai eu le courage de le faire elle était hors d'elle, elle voulais venir avec son frère et faire un attentat au domaine. Moi qui sui pourtant discrète sur ma vie privée j'avais besoin de vider mon cœur sans même me soucier de son mari à côté qui avait les larmes aux yeux ou de Jabar le poing serré un temps et la terreur dans un autre il me hurlé de préparer mes affaires, qu'il aller venir me chercher je pensais alors au paroles de Riyad même ma mère me supplier de rentrer. Mon père en retraite et retourner vivre en France et à acheter une petite maison dans le sud de la France et une en Algérie pour que ma mère et un pied à terre dans son pays. Il ne me reste plus qu'Aamir que je vois casi tout les dimanche mais il m'appelle tout les jours au réveil et au couché, il s'en veut de m'avoir poussé à cette destiné.

APPEL SKYPE

RITA: sa va ma biche ?

LAYAL : et toi ma poulette ?

RITA : rien de spécial, y'a ma mère qui vient avec Jabar pour les vacances ils vont pas tarder normalement mais elle veut dormir chez ta mère !

LAYAL : oui c'est ce qu'elle m'a dit. C'est bien qu'elles profitent wallah ou moins elle va lui changer les idées.

Rita:  LAYAL t'es sur ca va ? T'as pas l'air...

LAYAL : ...

Rita: LAYAL wech pleure pas stp ptn j'sais pas quoi faire là ! Vas-y c'est plus possible il faut que tu rentre là !

Hysteric LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant