Partie 50

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Belle-mère: RIYAD !

Riyad :... Je suis fatigué. Excuses moi maman !

Belle-mère: pourquoi c'est moi que tu viens de gifler ?

LAYAL : laisse ma tante, je vais me reposer dans ma chambre.

Riyad: t'as pas compris je crois, je t'es dis retourner avec les invités !

B-m: c'est comme ça que je t'ai élevé ? Tu parles comme ça à ta femme ? Va ma fille, va te reposer tu en a déjà assez fait. Et toi touches là encore et tu te trouvera une autre mère !

Mes jambes m'ont portés je ne sais comment jusqu'à ma chambre, je laisser derrière moi un mari furieux et une mère défaite. Il fini par rejoindre la chambre tard dans la nuit ses vêtements pué le tabac froid et autre chose que je n'arrive pas à identifier, on se donne le dos mais aucun ne se préoccupe de l'autre, deux étrangers.

Riyad: j'ai jamais aimé une femme comme je t'aime toi. Ca me bouffe je sais pas quoi faire pour te satisfaire, pour te voire sourire comme au 1er jour. Je sais que je suis excessif dans le boulot mais c'est pas une raison pour partir sans mon approbation t'es ma femme rowaïda ! Tu m'as défié en rentrant seul si tu me l'aurais demander de t'aurais ramener, maintenant je dois penser quoi de toi ? Je suis pas Jabar, laisse moi finir, je sais qu'il devait venir demander ta main avant que tu ne sache enfin bref ton père me la dis le jour ou je lui ai demandé ta main il ne m'a rien caché mais j'ai pris le risque, je me suis juré de te le faire oublier. Pendant tout le temps où il était chez nous il me rendais fou à se rappeler vos sorties, vos disputes, vos éclat de rire, j'étais jaloux d'un souvenir, jaloux de ne pas avoir eu cette relation avec une femme, je suis tombé amoureux de toi alors que tu étais juste une nostalgie pour lui.

LAYAL: je ... il... C'est du passé. Mon problème aujourd'hui c'est nous. C'est même pas le fais que tu m'es gifler sa je te pardonne, je te pardonne aussi t'es conversations avec ta maîtresse pendant que nous consommions notre mariage tous frais en voyages de noces, je te pardonne aussi de me manquer de respect en me parlant d'un homme autre que toi, je te pardonne tout parce que je suis ta femme mais soit sur que je ne suis pas ta batterie de recharge ! Ne me fait pas regretter mon passé. Ce soir, tu m'as trouver assise dans la cuisine je pensais à comment me faire pardonner...

Riyad (faisant face): TE faire pardonner ?

LAYAL : oui d'avoir écourté notre "lune de miel" ...

Riyad : alors comment tu vas faire ?

LAYAL : je suis enceinte.

À ce moment là il sort du lit comme si il y avait un scorpion sous le draps, il me regarde et se tien la tête en s'insultant lui même de tout les noms de m'avoir fait subir tout ça, il passe d'un coin de la pièce à un autre, je ne sais plus s'il était lui même à se moment là, il m'embrasse de partout puis repart dans son délire, il parle tout seul et souris pour finir en larme et terminer par me rejoindre dans le lit. Il me fait des promesses que je sais intenable mais je suis fasciné de le voir aussi heureux.

Riyad : qui est au courant ?

LAYAL : toi simplement.

Riyad: ne le dit à personne pour le moment je vais faire accélérer les travaux dans l'appartement et faire venir ta mère on fera une grande soirée ou on leur annoncera à tous en même temps !

LAYAL : si tu veux...

Riyad : j'ai besoin de te le dire que je t'aime ?

LAYAL : oui obligée tu connais les hormones de femmes enceintes ?!

Riyad: demande moi se que tu veux quand tu veux à n'importe qu'elle heure du jour ou de la nuit...

LAYAL : Riyad ?

Riyad: oui mon amour ?

LAYAL : je suis épuisé tu m'en veux si je dors ?

Riyad: t'es folle attend j'éteint la lumière et je vais prendre une douche.

Les travaux de l'appartement sont terminés, je suis quasiment à 3 mois de grossesse, Riyad ne se lasse pas de m'appeler toutes les heures à savoir si j'ai une envies particulière, il ne part plus aussi longtemps qu'il y a quelques mois, je décide de le surprendre au travail, je demande donc  au chauffeur de prendre son après-midi c'est moi qui ira chercher mon mari.

J'arrive un peu en avance et décide de prendre l'ascenseur particulier pour arriver directement dans le bureau, je lui tiendrais un peu compagnie, on ira boire un thé quelque part pour finir par rentré ensemble et se lover devant la tv. Enfin c'est comme ça que j'ai imaginé notre fin de soirée. L'écran m'affiche l'étage du bureau, je rentre mais ne trouve personne j'entend simplement la voix de Riyad et celle d'une femme venant des toilettes.

Riyad: il ne faut plus que ça se reproduise ! Combien de fois de t'ai dis de ne plus venir, cherche plus après moi !

...: si tu étais aussi amoureux que tu le dis tu ne serais même pas tenté par mes msg...

Riyad: non seulement j'suis amoureux mais en plus elle va me donner un enfant.

...: des enfants je vais t'en donner 10 si c'est ce que tu veux, au pire attend qu'elle accouche prend lui est divorce.

Riyad: T'ENTEND CE QUE TU DIS !!! Je crève sans elle tu comprend ça ? Quand elle m'a dit qu'elle avait vu nos conversation je voulais la tuer pour ne plus voir la honte et le dégoût dans ses yeux. Elle a laisser un autre pour faire sa vie avec moi.

...: et si l'autre revient la chercher un beau jour ?

Riyad: je le tue.

C'est paroles m'ont fait froid dans le dos. Je pensais à partir et il n'aurais rien su de ma visite, mais je ne sentais plus mes jambes, rien que le fais qu'il envisage de tuer Jabar me rend folle, et je sais de quoi il est capable. Je les écoute parler pendant qu'ils se rhabillent, je regarde les sous-vêtements d'une autre aux pied du bureau, la ceinture de mon mari sur la poignet de la porte, un collant sur l'accoudoir du fauteuil ou je suis assise. Et là m'a vie défile devant mes yeux, mon enfance, mes parents, Aamir, Jabar, quand un cris me sort de mes pensées.

Riyad : LAYAL !

Hysteric LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant