Lui? Jamais!

Chapitre 24

Un de partit, cinq de revenus...

PDV Mike

Julia me fait rêver ! Non, vraiment.

Hier, je ne lui est pas dit, mais...je vais devoir partir pour Hollywood.
Pour deux mois, je vais la laisser ici, en Australie.

Je profite de chaque minutes, de chaque secondes et de toute les petites choses qui arrivent.

Le soir arrive rapidement. Nous parlions, nous nous bagarrions et nous nous embrassions.

Nous avions complètement oublier de souper. Nous avions rester sur le divan pour dormir.

Une chance que son divan est grand. Position...parfaitement confortable.

Au lever du soleil, son odeur remplissait mes narines.

Mon avion part dans cinq heures.
J'ouvre les yeux et la voie. Elle est tellement belle .

Je me lève pour retourner chez-moi, mais je trouvais ça trop lâche de l'abandonner comme ça.

Je lui écris un message.

Salut ma belle Julia,
Je suis désolé, mais je dois partir pour Hollywood.

Mon vole est dans cinq heures. C'est un échange étudiants. Je suis désolé de ne te l'avoir pas dit, mais je souhaitais juste partir. Le gang, ma famille et...tu n'en fais pas partie. Les inscriptions était il y a un ans, tu n'étais pas encore là!

On se revoit dans deux mois. Je t'aime.

P.s. Ses deux derniers jours étaient les plus beaux de tout ma vie.

Mike Osborn

Rendu aux derniers mots, ça devenait de plus en plus dure.

Je part à Hollywood. Fini les kangourous pour deux mois.

Moi qui pensais que c'était une bonne idée ! Je pars chez-moi et je revient chez elle pour lui donne ma moto blanche.

Moi, je vais apporter ma noir à Hollywood.

Une fois entré chez-moi pour de bon, je fais mes bagages, j'appelle le gang pour leur en informer et je vérifie constamment l'heure. Le temp passait vite, trop vite.

Mon vole est dans maintenant... dans une demi-heure! J'entrepris de partir...maintenant.

J'aurais voulu qu'il pleuve pour mettre de l'ambiance, mais il fessait doue, soleil.

Une fois arrivé à l'aéroport, une fille familière était là.

-Mike Osborn!me cria...Julia?

Elle s'avance d'un pas décidé.

-Pourquoi tu me dis que tu m'aimes et pouf, tu pars!me cria-t-elle.

Comme un gros crétin, je ne dis rien et le la prend dans mes bras.

Elle est figer, sous le choc. Mais elle met ses bras autour de moi pour me serré.