-Chapitre 35

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Toute bonnes choses...

PDV Mike

Je suis tellement content d'avoir enfin avoué. J'ai pratiqué tellement longtemps pour ce texte. Je suis soulagé et tellement contant. C'est certain que ce bonheur risque de tomber grâce à moi, mais je souhaite que ça dure le temp que tout ça mérite de l'être.

Ce n'est pas évident et facile d'aimer une autre personne, tu ne sais jamais comment cela va finir. C'est si simple de dire "je t'aime" à une autre personne, mais savoir si elle est vraiment sincère, c'est moins évident.

Avec Julia, c'était évident, depuis le début, depuis le tout début. Il m'a fallu un an avant, mais c'était juste le temps qui nous fallait avant de baisser les armes et de l'avouer ouvertement.

Sur la scène, c'était comme si j'étais libre, pour une fois. L'assemblée était forcée d'entendre mon message comme je voulais qu'elle l'entendent et ça faisait mon affaire.

Maintenant que mon passé est réellement mon passé, je peux penser à autre chose. Colline m'avait prêté sa voiture, moi j'ai prêté mes motos. J'espère juste qu'elles seront intactes après.

Julia me regardait depuis le début du trajet, moi je la regardais du coin de l'œil avec un sourire incontrôlable. Je devais aussi avouer que j'étais déconcentré par son si beau visage.

Demain, nous partons en Californie. Je vais pouvoir voir où Julia a grandit. Elle me parle souvent de Léa, je suis impatient de voir qui elle est.

-Mike, me susurre-t-elle. moi aussi je t'aime.

Je souris et je lui prend la main. C'était un "je t'aime" sincère, un vrai. Elle me regarde comme ma mère adoptive regardait mon père adoptif, c'était magique et mystérieux, mais tellement beau.

Mec, si tu trouves la femme qui réussit à te faire face et à te défier, c'est la bonne. Elle va te faire chier, tu vas souvent avoir le goût de la butter, mais tu en seras pas capable.

Je la regarde pour le première fois du trajet, ses yeux gris était posés dans les miens. Le moment dura pas assez longtemps à mon goût, mais je me retourne sur la route et vois une grosse lumière blanche.

L'accident était brutal, très brutale. J'étais mal amoché et j'entendais rien d'autre que le cillements des pneus de la voiture de Colline. J'ignorais réellement si c'était réel, parce que tout autour de moi , tout était clair, trop clair pour être vrai. Les couleurs était trop vivent pour l'être.

Allez Mike, réveil toi! Si tout ça est un rêve, tu dois te réveiller!

Être dans l'incapacité de bouger n'était pas dans mes habitudes et je ressentais à contre coeur la même légèreté que le jour qu'on m'avait tirer dessus. Cette légèreté qui m'emportait jadis vers le ciel me gardait maintenant sur Terre, ce qui me permettait de croire à mon rétablissement.

C'était la pire des tortures de voir le corps de ma belle inanimée à mes côtés. Elle n'est pas morte, elle ne pouvait pas me laisser tomber. Je vous en supplie mon seigneur, elle n'est pas morte?

PDV Julia

Les couleurs, mes idées, mes rêves, ma respiration, tout devenait si compliqué. La totalité des trucs qui me semblait banal devenaient si difficiles et la simplicité paisible  me semblait si attirant. J'avais tellement mal à la tête dans cette voiture, maintenant, c'est devenu confortable, je voulais y rester toute ma vie.

Des images joyeuse étaient devant moi, des images de Daniel. Des images de la seule personne à qui je pensais tous les jours, Daniel.

Les émotions n'étaient en moi que des rêves, comme si maintenant tout était possible. J'ai...non!

Je ne suis pas...morte? Non! Je ne veux pas mourir! J'ai besoin de vivre! J'ai besoin de voir Léa, j'ai besoin de revenir en Californie avec Mike, j'ai besoin de ressentir la douleur, j'ai envie de souffrir! Je devais vivre.

Tous les sons étaient lointains. J'entendais la respiration de Mike, j'entendais les battements de son coeur, j'entendais les ambulances, j'entendais les policiers, j'entendais les personnes autour, j'entendais les bruits des vagues, j'entendais mes parents apprendre la nouvelle de l'accident, j'entendais les respirations de tout le monde. Respire Julia, il est important de juste respirer.

Ouvrir les yeux étaient devenus une épreuve, pleurer était trop lourd et la gravité était irrégulière. Je me concentrais sur  ma respiration, qui était trop faible. Mon corps était fatigué. En temps normaux, je suis une battante, mais là, je n'avais plus les armes pour me battre, il me restait juste un moyen, me battre à main nues. Pendant ce moment, je ne devais pas vivre, mais je devais survivre.

PDV Mike

Je savais que je m'en sortirais, je pouvais m'informer aux ambulanciers. Je devais savoir si elle était vivante. Je me sentais impuissant et j'avais envie de crier puisque j'avais la gorge en feux. Je ne pouvais rien faire. Même si je suis Mike Osborn, je ne pouvais rien faire.
Il me restait juste à attendre, attendre et attendre.

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Important!!!

Allo. J'ai voulu donner une vrai fin à ma fiction, parce que je fais une petite pause de Lui? Jamais! Pour me consacrer à mes examen finaux. Promis, après je vais revenir plus forte que jamais ! Si je publie des chapitres de Lui? Jamais Tome 2, les chapitres ne seront pas autant régulier que le Tome 1.

Promis je commence dès maintenant à écrire le Tome 2.

Merci encore de suivre ma fiction. J'étais vraiment contente quand j'ai vue le 1k de vue! Merci, vous ne savez pas le bonheur que vous me procurer!

Je vous embrasse😘

P.S, si vous voulez me contacter, me dire ce que vous avez aimé dans le Tome 1 et que vous voulez que je le mette dans le Tome 2, ce sera un honneur!

J'espère que vous avez aimé et je sais que je fais vraiment de grosse erreurs de français, mais je vais un jour tenter de les corriger.

Merci!!!

Lui? Jamais!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant