JUSTIN BIEBER - FIGHT TO DEATH - TOME 2

XII. Affaires

- Tu sens le sexe, me reprocha-t-elle

- Je sens ? Lui demandai-je amusé

- Tes cheveux en bataille, ton suçon, tu as transpiré putain Justin tu pues la meuf

- Alex arrête de me taper tes crises à deux balles, lui demandai-je alors

- Déjà que ta pute loge ici, ça te suffit pas ? Me demanda-t-elle

- Faut croire que non chérie

Alex était dans ma chambre, au même titre que Lyhanna. Les deux attendaient probablement que je prenne partie, ce que je n'avais aucune intention de faire. Je devais m'occuper d'un gars qui n'avait pas payé depuis longtemps et lui exploser la tête alors je n'avais pas vraiment le temps pour elles. Je l'écoutais seulement d'une oreille en chargeant mon flingue, avant de le glisser à l'arrière de mon jean.

- Tu as finis ? la coupai-je alors

Elle me regarda bouche bée et pris d'une pulsion d'adrénaline, je plaquai ma bouche contre la sienne. Je ne pris pas la peine d'observer la réaction de Lyhanna. 

- Tu sais Alex, t'es vachement plus sexy quand tu la fermes, la complimentai-je avant de prévenir Jake dans sa chambre

Il saisit également son flingue et se joint à moi pour se diriger vers l'une des voitures garées devant.

- Il vit en coloc avec plusieurs mecs, vaut mieux y aller à deux

Je ricanai en le laissant prendre la place du conducteur.

- Mec tu penses que des merdeux d'étudiants vont m'avoir ? lui demandai-je

- Je leur ai vendu des jericho et des smith, m'apprit-il alors, n'importe qui peut tirer facilement avec ces flingues

J'acquiesçais d'un signe de tête, comprenant sa décision.

- Tu l'a bien choisie cette Lyhanna, me dit-il, Elle est... commença-t-il

Je lui lançais un regard accusateur.

- Ravissante, rit-il alors

- C'est pas ce que t'allais dire, riais-je aussi

- J'allais dire qu'elle était bandante effectivement, commença-t-il, je pourrai lui faire plein d'autres compliments mais ça serait déplacé

- Dire que je l'ai ramené et que j'ai même pas pu baiser avec elle quoi, soufflai-je amusé

- Attends tu l'a toujours pas fourré ? me demanda-t-il

Je regardais la route, je savais que si je me retournais vers lui, je partirai en fou rire.

- Pas depuis que je l'ai revu non, confirmai-je

- Et cette nuit ? me demanda-t-il