Ce livre contient un poireau.

To truite or not to truite

Bonjour.
Cela fait fort longtemps [dans une galaxie lointaine] et donc j'ai des trucs passionnants à raconter !
C'est exceptionnel !

Tout d'abord, le top 10 des pires façons de se faire réveiller, un top très subjectif puisque basé sur mes expériences personnelles.

10. Le réveil naturel, tranquillou, mais à 6h du matin alors qu'on est samedi et qu'on a eu une semaine de bagnard.

9. Se réveiller en retard parce qu'on s'est rendormi et/ou parce qu'on a oublié de mettre son réveil et devoir courir partout pour ne pas arriver en retard. Bonus : se prendre le petit orteil dans le coin de la porte et manquer de se casser la figure en sortant du lit.

8. Bonjour papa, comment ça va ? Oui on est dimanche, je n'ai rien à faire et je n'ai jamais demandé à être réveillée. Comment ça tu savais pas ? Ben maintenant tu sais. Comme la semaine dernière d'ailleurs. Et celle d'avant.

7. Se réveiller à 4h du matin parce qu'on doit partir en colo en avion, et en ayant passé la moitié de la nuit à stresser comme une malade. Nuit de quatre heures donc.

6. Se faire réveiller à l'aube par un animateur amateur de clairon et de chants pirates au camping. Les tentes on une très mauvaise isolation sonore.

5. Se réveiller à 4h du matin parce qu'on doit rentrer de colo en BATEAU (bleurgh) alors qu'on s'est couché à minuit la veille, boum oblige, mais qu'on s'est endormi bien après à cause d'une camarade de chambrée adorant faire ses vocalises de metal en dormant.

4. Se faire réveiller en sursaut par son radio-réveil parce qu'on s'est trompé de bouton et qu'on a mis l'horrible sonnerie stridente à la place de la radio.

3. Se réveiller parce qu'on est malade. C'est jamais agréable, surtout si on sbleurgh partout sur le lit de sa cousine. Je viens de vous foirer votre prochain repas ? Je sais c'était fait exprès. Je suis diabolique.

2. Se réveiller au milieu de la nuit en sueur et complètement paumée à cause d'une nouvelle saloperie de terreur nocturne à l'huile de noix malgache.

1. Être sorti de sa somnolence pré-sommeillienne par une charmante araignée de taille variable qui a décidé de faire une partie de toboggan nocturne sur son visage. Le petit plus : que ça se produise deux fois en une semaine. La deuxième était vraiment grosse.

Et puis quelques uns de mes nombreux et magnifiques surnoms. Pour la plupart ils sont liés à des délires rarement cautionnés par la principale intéressée, c'est-à-dire moi. Certains m'ont été donnés par mes colocs mentales.

Kiki
Picard
Dieu
Mr Freeze
La jument
Kikilari Clinton
Capo
Porte
J
Ukelele
Sherlock
Heichou
La dézippeuse de fermetures éclair
Ptérodactyle
Le taon
La truite
Petite-fangirl-de-merde
Steak
Etc...
J'en ai encore plein en stock et mes amies aussi, mais il faut garder une part de mystère dans le couple.

De plus, je me pose régulièrement certaines questions :

Suis-je la seule à aimer les dissections ?

À être une fangirl mais ne pas en être fière ?

À aimer les mélanges bizarres de nourriture ?

À ne jamais avoir perdu de chaussette dans la machine à laver, et donc à n'avoir jamais porté de chaussettes dépareillées ?

À ne jamais avoir rêvé d'être une princesse ? (Mais plutôt une fille bien badass...)

Je voudrais un bonhomme de neige...

>>>---:)