Vers sept heures du matin, mon copain a dû partir au boulot totalement décalqué, j'ai hâte qu'il me raconte commet c'est passé son premier jour.
Non, plus sérieusement, moi aussi j'étais claqué, ils avaient fini de faire leur fête à cinq heures du matin.
Vers les coups de neufs heures, je me suis permise d'aller sonner chez eux, encore une fois, c'est Jack qui est venu m'ouvrir, à croire qu'il est le seul à savoir ouvrir une porte.
« Tu peux pas te passer de moi, on dirait, ricane-t-il en me voyant.
- Oh, je suis hilare, Gilinsky. Je suis pas là, pour tes blagues de bon goût. Je tenais juste à dire que s'il y avait encore une fête de ce genre en semaine, et je te promet que les flics vont venir plus tôt que prévu dans ta baraque.
- Elle est passé où la petite samaritaine, d'hier ?
Le 'dans ton cul' était très tentant, un peu puérile, mais aurait fait un effet très convaincant.
- Je rigole pas, contrairement à tes potes et toi, mon mec il bosse, et il peut pas dormir deux heures par jours.
- Calme, on fera plus attention.
Je vois passer une petite brune, à moitié à poil.
- Je vois que t'as du boulot à terminer, je vais te laisser, lâchais-je subitement. »
Il m'a regardait assez interloqué.
Je regagnais ma maison, tous les cartons n'étaient pas encore déballés, mais je n'avais pas la Foix de faire ça aujourd'hui.
Je n'aimais pas tous ce calme, toute cette ambiance de solitude.
J'ouvrais un carton, la première chose qui attira mon œil, c'est l'enceinte que j'avais dans mon ancienne chambre d'ados.
Je l'ai sortis, brancha mon téléphone à l'enceinte, et je changeai d'habits.
Une simple brassière de sport et un petit short en coton, et je courais dans les couloirs de ma maison.
Si Isaac me voyait, il soufflerait surement, j'avais beau l'aimer plus que tout, c'est vrai qu'il n'était pas forcément fun.
La musique résonnait dans toute l'habitation, je mettais mon ordinateur sur la table de la salle à manger, et d'un coup, une idée d'histoire me parvint.
J'étais dans ma lancé, tous était parfait à ce moment-là, la musique qui faisait vibrer les murs et les lignes qui s'allongés au fil des heures.
Je ne sais combien de temps, je suis restée comme ça, à écrire, et à rien faire d'autres, mais je fus arrêter quand la sonnette sonna.
J'enfilais rapidement un petit sweat, et ouvrit.
Je reconnus immédiatement le tatoué, accompagnait de plusieurs de ses amis, je suppose. Puis je vis accoudé à la rambarde, Gilinsky qui semblait lassé.
Je le vis arquait un sourcil en me voyant, certes ça changeait de mes petites robes toutes mignonnes et sans forme, mais c'était pas la première fois qu'il voyait une fille en short, non plus.
« Salut, tu dois être la nouvelle voisine, lança un métis en souriant.
- Exacte, enfin, j'habite avec quelqu'un mais il est pas là, bref on s'en fou. Vous êtes venu pour quelques choses en particulier ? Demandais-je toujours adossé à ma porte d'entrée.
- On s'est dit que tu avais peut-être besoin d'aide pour déballer tes cartons vu que tu es arrivée, hier, on se demandait si tu voulais de l'aide.
En y pensant, l'idée est pas conne. J'évite le sale boulot, et je l'ai utilisent en larbin gratuitement.
- Oh, ce serait adorable, renchéris-je d'un ton mielleux. Bah, venez entrer. »
Je l'ai invitent à entrer, pendant que je l'ai voient examiner chaque parcelle de ma maison.
« Au fait, on a oublié de se présenter, moi, c'est Tez, me dit le métis.
- Je crois que tu connais déjà Gilinsky, en revanche, moi non, je m'appelle aussi Jack, mais appelle moi Johnson, comme c'est mon nom de famille, tu t'emmêleras moins, ricane le blondinet.
Je hochais la tête, il restait encore deux garçons aux noms inconnus.
- Bon, on va pas y passer quatre heures, non plus. Le blond décoloré, à la coiffure de trav c'est Sammy, après celui qui a la coupe de meuf, c'est Nash, bon Nate, tu te souviens de lui, hein, on va pas épiloguer.
- Enchanté, en tout cas, moi, c'est Riley, souriais-je. »
Ils me sourirent tous, et me propose de commencer par le plus lourd.
On déballe les cartons, en apprenant à se connaître. Finalement, ils sont plutôt gentils, bon Jack G, tire toujours la gueule, mais bon, ça n'empêche pas, que le reste des garçons soit très agréables.
J'ai même donné mon numéro de téléphone, et même mes réseaux sociaux aux garçons.
« On a bien travaillés, vous voulez quelque chose à boire ? Ou même à manger ?
- Je ne serais pas contre quelque chose à boire, réclame poliment le blondinet essoufflé. »
Je me dirige donc vers la cuisine, cherché à boire.
« Oh putain, elle est quand même sacrément bonne, cette voisine, chuchote un des mecs. »
Je fronce les sourcils, je n'arrive pas à distinguer la voix qui vient de prononcer ça, mais je prends mes boissons et essaye d'entendre le reste de la conversation.
« On continue nos soirées tard, on l'invite, on lui fait oublier son mec, et vla le bon plan.
- T'as vu sa gueule, Sammy. Sérieusement, elle doit aller à l'église chaque jour, et je parie combien qu'elle a jamais vu le loup de son mec.
- Encore, mieux, gars. Les meufs comme ça, au lit, c'est les meilleures.
- Bon, fermez vos gueules, elle devrait pas tarder à revenir. »
Je n'ai pu qu'entendre un seul nom, mais toutes les voix avaient parlé.
Au moment, la porte d'entrée, s'ouvre, je me précipite, pour aller déposer les boissons dans le salon, mon copain, me regarde de haut en bas.
« Comment t'es habillé ? Demande-t-il étonné.
- Bah, je devais pas sortir, et euh, bafouillais-je, bah voilà.
- J'aime pas du tout, ça te grossit vachement, et au fait. Salut les gars, je suppose que vous êtes les voisins. Bref, moi je suis crevé, je vais me coucher directe, et me prépare rien à manger, parce que j'ai déjà graille au bureau, souffle-t-il lasse. »
Je souffle, notre vie de couple commence bien décidément.
« Tu veux venir à la maison, genre pour manger un bout et tout ça, me propose le décoloré.
- Ça ira, je suis aussi exténuée, je pense aller me coucher maintenant, en tout cas merci de votre aide. »
Ils essayent de m'inciter à venir, mais je réussi à les faire sortir de chez moi.
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Mdr, hello.
En vérité, cette histoire, elle est des barres à écrire, vraiment.
Genre, je me prends pas la tête et tout, mdr.
- Maddy qui s'ennuie déjà des vacances
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Fraternity
Fanfiction« Comment ça on va vivre à côté d'une fraternité ? Gueulais-je au promoteur. » On avait tout juste d'emménager dans un quartier sympa avec mon petit-ami, qu'une confrérie est venu perturber notre bonheur. « Allez Riley, c'est pas si terrible que ça...