Chapitre 21 - La chambre

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Je pousse un cri de plaisir. Il se joins à moi. Il commence son agréable va et vient en moi. Cette fois, il y va bien à fond. Il n'y a pas de douceur dans les balancements de son bassin, juste du désir. Ses va et vient sont rapides et chacun d'eux sont plus puissant que le précédent.

- Vas y, jouis pour moi Bébé.

Il s'arrête un instant. Je lâche un râle.

- Désolée princesse. Sa sort tout seul.

De quoi ? Pas le temps d'y penser plus de deux secondes, qu'il me repénètre. Tony m'agrippe les hanches et me pénètre de plus en plus fort et de plus en plus violemment. Je sens le plaisir monter en moi. Il accélère la cadence. Et n'y tenant plus, je jouis autour de lui.

Tony continue à la même vitesse et pousse des grognements de temps à autres. Il s'arrête, m'attrape par les cheveux et me soulève légèrement de façon à ce que je sois juste sur mes genoux. Il tire mes mains vers lui et les sert dans mon dos. Il s'approche de mon oreille et me dis :

- Jouis encore pour moi Hanna. Il m'embrasse le cou et le feu dans mon ventre se rallume. Tony me pénètre et me propulse dans le plaisir. Encore et encore. Tout mon corps tremble. Tony me sert les mains dans le dos et continue de m'embrasser le cou sous mes cris de plaisir et de désir. Il glisse un doigt entre nous et atteint mon clitoris. Le feu éclate en moi et je jouis une seconde fois. Tony me suis de près  et on s'effondre tous les deux sur la couverture. C'est un moment si parfait. Nous restons quelques instants enlacés puis nous nous rhabillions.

Nous dégustons enfin les sandwich et buvons le champagne. Nous parlons de tout et de rien. Du beau temps, de comment je suis arrivée à la côte d'azur, de son frère et sa soeur, des anecdotes de Margot. En aucun cas, nous parlons de Michael ou de la maman de Margot. Je meurs d'envie de poser des questions sur cette dernière mais je ne veux pas gâcher le moment que l'ont partage avec ça.

Quand on a finis de manger, Tony remballe notre pique nique improvisé et il va tout déposer dans sa voiture pendant que je l'attend sur la plage.

Mains dans la mains, nous marchons en silence sur la plage, les vagues viennent nous lecher les pieds. Je regarde l'horizon et je me dis que je suis bien avec Tony. Mais une petite voix au fond de moi me dit que c'est injuste envers Michael. Cette voix n'était pas sensé être enfermée à double tour ? J'essaye de l'oublier.

- Je voudrais savoir un truc ?

Tony brise le silence. Sa voix est tout d'un coup bien sérieuse. Je l'observe. Il me regarde avec insistance.

- Quoi ? Je répond inquiète.

- Pourquoi tu as accepté aujourd'hui ?

Il semble douter. Je le regarde dans les yeux mais en un clignotement le doute à disparu. Et son regard devient joueur, son sourire en coin apparaît.

- Tu ne peux pas résister à me regarder, tu ne peux pas résister à mon regard.

- Ce sont tes yeux, ils sont si bleus. Si beau.

Je m'égare là.

- Alors ? Me demande t-il.

- Quoi ?

- Pourquoi ?

J'aimerai éviter cette conversation. Je détourne le regard. Tony m'attrape le menton et me force à le regarder dans les yeux.

- Répond moi sincèrement.

Ce que je fais :

- Je me suis disputée avec Michael. Il est parti à la campagne chez ses parents. Tu m'as donné l'occasion de vivre une aventure et de l'oublier rien qu'un week end. Et comme a dit ma meilleure amie on a qu'une vie.

Un sourire naît sur des lèvres mais il doute toujours, je le vois.

- Est ce que tu avais envie d'être avec moi ?

- Je ne serais pas là sinon, je répond.

- Tu n'as pas fait sa parce que tu étais en colère contre Monsieur Parfait ?

Je lève les yeux au ciel.

- Peut être un peu. Mais j'avais envie d'être là, ici avec toi.

Et je plonge mon regard dans le sien pour lui prouver ma sincérité. Je pense qu'il me croit car il hoche la tête puis m'attrape le menton et m'embrasse fougueusement. Sa langue vient jouer avec moi et je me perds dans son baiser.

- Moi aussi j'ai envie d'être près de toi, me dit-il après s'être écarter de moi. Rentrons chez moi maintenant.

Le trajet en voiture ne dure pas aussi longtemps que la dernière fois, on arrive assez vite. Tony a gardé sa main sur ma cuisse tout le trajet. En arrivant devant la grille de sa grande maison, je suis encore époustouflée par la vue et par cette bâtisse. Elle vend du rêve.

Cette fois, Tony me fait visiter chaque pièce. Le grand salon, la salle à manger, la cuisine, le petit salon, à l'étage les 3 chambres, dont la sienne, celle de Margot et la chambre d'ami que je connaissais déjà. Chaque chambre contient une salle de bain.

- Pourquoi avons nous été dans la chambre d'amis et pas dans ta chambre à toi ? Je demande.

- Car c'était la plus proche, répond-il comme si c'était une évidence.

Je me retiens de dire le contraire. La plus proche est sa propre chambre à lui alors que cache t-il ? Sa m'intrigue.

Mais j'oublie vite car Tony est déjà en train de m'embrasser dans le cou et de me dévêtir. Plus nous nous embrassons plus j'oublie et je me laisse aller à l'effet Tony Black. On se retourne nu tous les deux, par je ne sais quel miracle, dans la chambre d'amis. Encore. Je n'ai pas le temps de lui poser la question du comment du pourquoi cette chambre, qu'il entre un doigt en moi, je gémis.

- Oh Tony !

- Crie mon nom princesse.

Il commence sa torture érotique de va et vient dans mon vagin d'abord avec un doigt puis il en rajoute un autre puis un troisième. Je geins de plus en plus fort et il va de plus en plus vite. Je suis ses mouvements en même temps en soulevant le bassin. Mes mains aggripent les draps du lit et je pince les lèvres pour ne pas crier.

- Lâche toi, douce Hanna. Lâche toi pour moi.

Je pousse un cris quand je sens sa langue sur mon clitoris. Tout en me doigtant, Tony joue avec sa langue sur mon petit bouton. Je n'ai jamais ressenti ça de toute mon existence. Cette électricité qui me parcours dans tout le corps pendant qu'il me lèche et me doigte. Mon corps se contacte soudain et n'y tenant plus j'explose en milles morceaux. Tony mordille mon clitoris et je pousse un cris. Il rigole.

- Moi aussi, je veux jouir, dit il quand mes tremblements ont cesser. Écarte les jambes !

Je le regarde interloquée. Moi aussi j'ai envie de jouer. Du coin de l'oeil, je vois son pénis dur et qui pointe vers le haut. Sans attendre, je l'attrape et commence à le masser doucement puis je le branle franchement.

Tony pousse un cri étonné d'abord puis se laisse tomber sur le lit et je le branle plus fort et plus vite.

- Oh pas trop vite princesse.

C'est la première fois que je fais ça. Généralement, Michael a horreur de ça. Du sexe oral. Je regarde sa queue et d'un coup, une idée folle me traverse l'esprit : j'ai envie de la mettre en bouge. J'ai envie de le sucer. Merde ! Je n'ai jamais fais ça, moi. Je ne sais pas comment m'y prendre.

J'observe Tony. Il est allongé sur le dos, les yeux fermés.

- Continue comme ça, Hanna.

Je le branle plus vite.

- Hum, oui comme ça.

N'y tenant plus, je fonce vers son entre jambe et englobe son sexe dans ma bouche.

Puéricultrice Professionnelle (Ou Presque) [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant